Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Soral, Conversano, les Juifs, l’Islam… réflexions d’un national-socialiste – Vincent Reynouard
- Bourgogne : clôture de l’année militante à Dijon !
France
- Nicols Moreau, jihadiste : « Si vous me condamnez au-delà de 18 mois, je reprendrai les armes »
- Les piratages de cartes bleues explosent, les frais bancaires aussi…
- Des cadeaux de bienvenue pour les envahisseurs
- Les (((Éditions Nathan))) vont supprimer la mention… «actuelle Palestine» sur le manuel d’Histoire-Géo
- Vol de cocaïne au 36 quai des Orfèvres : jusqu’à 13 ans de prison pour les flics pourris
Etranger
Europe
- Allemagne : l’Afghan meurtrier de Maria Landsberger est un tueur en série
- Vague de jihadistes mineurs arrêtés pour terrorisme en Allemagne et en Belgique
- Suède : les fonctionnaires de l’Office des migrations faisaient du zèle
Monde
- Le pape François Zéro reçoit le rabbin de la communauté sépharade de Buenos Aires
- États-Unis : Dylann Roof, coupable de la fusillade Charleston, encourt la peine de mort
- Turquie : deuxième attentat contre les forces de l’ordre en moins d’une semaine
- Niger : « La démographie du pays est une bombe à retardement »
Vidéo
- Henry de Lesquen : les perles du français
Nouveauté littéraire
- Le Grand Procès de l’Holocauste – Michael A. Hoffman II
Kiosque
- Le Harfang Vol 5, n°2
Ephéméride nationaliste
- 19 décembre 1883 : naissance d’Abel Bonnard
- 19 décembre 1897 : naissance de Louis Darquier de Pellepoix
- 19 décembre 1945 : assassinat de John Amery
Agenda
- Bretagne : Réveillon de la Saint-Sylvestre du PNF
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Actualité nationaliste en France
Soral, Conversano, les Juifs, l’Islam… réflexions d’un national-socialiste – Vincent Reynouard
Partant de la bagarre entre Alain Soral et Daniel Conversano, dans cette vidéo, Vincent Reynouard explique les raisons profondes pour lesquelles, bien que national-socialiste revendiqué, sa stratégie est celle de la non-haine à l’encontre de quiconque (y compris ses ennemis) et de la non-violence.
Plan de la vidéo :
– Soral/Conversano : des torts partagés
– L’extrême-droite telle que la présentent certains n’existe pas
– L’Islam tel que le présentent certains n’existe pas
– Les problèmes indéniables posés par l’immigration incontrôlée
– La juiverie telle que la présentent certains n’existe pas
– Pour le national-socialisme
https://www.youtube.com/watch?v=bRefVOS9Z_g&feature=youtu.be
Bourgogne : clôture de l’année militante à Dijon !
Les membres de la communauté de vie et de combat formée par le Parti Nationaliste Français de Bourgogne et le rassemblement unitaire Bourgogne Nationaliste s’étaient donné rendez-vous ce vendredi 16 décembre au soir pour clôturer ensemble leur année militante ! Ce fut l’occasion de faire le point sur les activités de l’année écoulée et notamment sur l’intensification et le rythme désormais régulier de celles-ci, depuis la dernière rentrée politique. Tout cela amenant au constat d’un bilan très positif pour 2016, complété par un taux de 100% de ré-adhésion au PNF, ainsi que l’arrivée de nouveaux membres dans le groupe !
Les objectifs en terme d’actions militantes pour 2017, notamment en termes de diffusion de la nouvelle campagne « Maitres chez nous ! » du PNF (affiches et autocollants) ou encore du tract s’opposant à l’accueil des migrants sur les terres bourguignonnes, furent fixés et les deux prochaines conférences du premier trimestre furent d’ores et déjà planifiées (Héléne Grimaldi, présidente du Cercle Franco-Hispanique en janvier et Pierre-Marie Bonneau, avocat et membre du Présidium, en mars) ! Suite à cela, les dates des événements nationaux de l’année à venir furent rappelées, puis un exposé fut fait sur l’actualité de la répression du régime contre les Nationalistes, notamment des récentes et lourdes condamnations d’Hervé Ryssen et de Jérôme Bourbon.
La réunion militante fut suivie d’un apéritif dinatoire dans la plus chaleureuse des camaraderies – car le nationalisme est d’abord une amitié ! – qui se prolongea jusque tard dans la nuit !
Nous souhaitons de joyeuses fêtes à tous ceux de notre sang et nous leur donnons rendez-vous en 2017 pour une nouvelle année militante encore plus active !
France
Nicols Moreau, jihadiste : « Si vous me condamnez au-delà de 18 mois, je reprendrai les armes »
Nicolas Moreau était jugé mercredi 14 décembre pour avoir combattu un an et demi dans la zone irako-syrienne. Dans le box des prévenus, cet ancien marin pêcheur aux épaules larges et à la mèche de cheveux luisante, tient à faire une mise au point. « Si vous me condamnez au-delà de dix-huit mois, franchement, je reprendrai les armes. Pas contre la France mais contre d’autres pays. » « Lesquels ? », lui demande, étonné, Laurent Raviot, président de la 16e chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Paris. « La France n’est pas le pays qui fait le plus de mal, répond-il. Mais si je prends une peine conséquente, je ne me laisserai pas faire. » « Ça a le mérite de la franchise », rétorque le président Raviot, quelque peu abasourdi par une telle stratégie de défense.
Nicolas Moreau, qui a comparu mercredi 14 décembre pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, a séjourné et combattu dans la zone irako-syrienne entre janvier 2014 et juin 2015. Mais jusqu’au 17 octobre 2014, la justice l’ignorait. Ce jour-là, Flavien Moreau, son frère, est le premier jihadiste à être jugé à son retour en France. Avant d’être condamné à une peine de sept ans de prison, il vend la mèche face au tribunal : « Mon frère est en Syrie, il dit qu’il a ouvert un restaurant. »
C’est seul et avec « 500 euros » en poche que Nicolas Moreau rejoint en janvier 2014 le groupe rebelle « Jaïch Al-Fatah » à Atmé, une petite ville du nord-ouest du pays. Là-bas, il apprend le maniement des armes : la kalachnikov, le lance-roquettes, et des rudiments en matière d’explosif. En juillet de la même année, il décide de prêter « allégeance à Daech », « un moment de faiblesse », selon lui. Puis, il ouvre un restaurant de spécialités marocaines à Rakka, qu’il finance, dit-il, grâce à « un butin de guerre ». Dans son établissement, il sert beaucoup de « cas sociaux qui n’avaient aucun avenir en France », mais aussi des « diplômés ». Il part ensuite en Irak, à Mossoul et à Fallouja, « pendant six mois ». Contrairement à d’autres djihadistes, Nicolas Moreau n’est pas avare de détails. Non, pendant dix-sept mois, son rôle ne s’est pas limité à des tours de garde. Il a participé à « plusieurs opérations », affirme-t-il.
Si en juin 2015 il finit par fuir l’EI, c’est à cause des vingt-deux jours au « trou » parce qu’il refusait de retourner combattre en Irak. Aujourd’hui encore, les circonstances de son retour restent confuses. « J’ai tenté de traverser la frontière, mais comme j’y arrivais pas, je me suis rendu aux Turcs », assure-t-il.
Élevé dans la région de Nantes, il vit une enfance heureuse jusqu’à la séparation de ses parents. A 12 ans, il est placé en foyer, puis dans un centre éducatif renforcé. Lors de l’audience, le président du tribunal énumère ses quatorze condamnations pour outrages, violence avec arme, vol aggravé et usage de stupéfiants. En 2008, il est condamné à cinq ans de prison ferme. « J’accepte pas de me faire marcher sur les pieds, que ce soit par la justice ou par les autres », argumente-t-il pour expliquer ce palmarès. Pendant sa détention, il découvre le Coran. A sa sortie, il pense ne plus avoir d’avenir en France et part faire le djihad.
A son retour dans l’Hexagone, le 23 juin 2015, il tente, face aux enquêteurs, de monnayer sa libération en échange de renseignements. Que savait-il cinq mois avant les attentats du 13 novembre 2015 ? Cette question a rythmé une bonne partie des débats. A sa descente de l’avion, Nicolas Moreau évoque lors d’une audition un certain Abou Souleyman qu’il aurait croisé en Syrie. Il affirme aujourd’hui que c’était Mohamed Abrini, l’un des auteurs présumés des attentats de Bruxelles. « Si j’avais été en liberté, j’aurais pu aider à arrêter ce chien d’Abrini. » Il décrit à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) l’Emni, les services secrets de l’EI, chargés de préparer des attaques. Et cite Abou Omar, alias Abdelhamid Abaaoud.
Après les attentats perpétrés à Paris et à Saint-Denis, il envoie aussi un courrier au juge, dans lequel il écrit : « Si ça peut intéresser les abrutis de la DGSI, j’ai croisé Samy Amimour [l’un des trois kamikazes du Bataclan] en mars 2015 à Rakka. » « Je vous avais dit que je pensais qu’ils étaient en Europe, vous l’avez appris à vos dépens », fanfaronne-t-il face au tribunal.
Pour le procureur, Nicolas Moreau affiche surtout « un parcours qui fait froid dans le dos ». « Sa coopération avec les services de police et sa lutte contre Daech » ne sont que des « fables », dit-il. « Vous avez donné quelques éléments sur des individus, mais à aucun moment vous avez donné des informations opérationnelles en mesure d’empêcher une attaque », lui dit-il. Il décrit aussi un homme d’une « dangerosité sociale extrême » et au « tempérament violent ». « Il a combattu et assume avec fierté être prêt à mourir pour ça ? Son retour pose beaucoup de questions », conclut-il, avant de requérir la peine maximale : dix ans de prison ferme assortis d’une peine de sûreté de deux tiers.
« Avez-vous quelque chose à ajouter pour votre défense ? », demande le président du tribunal. Nicolas Moreau répond avec toujours autant d’aplomb : « Monsieur le procureur, je vous ai trouvé faible et ridicule. Votre niveau intellectuel n’est pas plus élevé que celui d’un vendeur sur un marché. » Le jugement est mis en délibéré le 2 janvier.
Nicolas Moreau encourt 10 ans de prison pour association de malfaiteurs à caractère terroriste, alors que dans un État digne de ce nom il devrait être passé par les armes pour trahison.
Les piratages de cartes bleues explosent, les frais bancaires aussi…
L’utilisation frauduleuse de coordonnées bancaires a explosé en 2015. Plus d’un million de Français ont subi un piratage de leurs comptes bancaires. Un million de Français ont été victimes en 2015 de débits frauduleux sur leurs comptes bancaires pour un montant de 416 millions d’euros. C’est le casse du siècle. Une fraude massive et généralisée selon un rapport de l’Insee et de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).
Le mode opératoire des pirates : l’envoi de courriels frauduleux d’apparence officielle invitant la victime à renseigner ses coordonnées bancaires. Des données enregistrées par le fraudeur qui, soit les utilise, soit les revend sur le marché noir du web. Quelque temps plus tard, de petits prélèvements sont opérés sur les comptes des victimes, souvent en provenance de l’étranger. Les montants fraudés sur chaque compte sont modestes, inférieurs dans la moitié des cas à 300 €, mais ils sont répétés. Un tiers de victimes ont subi plusieurs débits frauduleux.
Cette fraude s’industrialise. Et les Français sont de plus en plus nombreux à en souffrir. « Depuis 2010, le nombre de victimes de ce type d’infraction a doublé », explique Christophe Soullez, le chef de l’ONDRP. « Les deux tiers de nos affaires portent sur les paiements à distance », confirme François-Xavier Masson, de l’Office de la police judiciaire spécialisé dans la cybercriminalité.
Néanmoins la loi impose aux établissements de rembourser immédiatement leurs clients en cas de fraude constatée. En effet lorsque le caractère frauduleux du « débit » est établi, la loi prévoit que le client victime ne doit supporter aucune conséquence financière. La banque doit recréditer le compte du montant de la somme détournée et elle n’est pas autorisée à facturer des frais. Et ce dispositif particulièrement favorable aux consommateurs a évidemment un coût colossal pour les banques.
On apprenait en même temps qu’à compter du 1er janvier prochain les tarifs bancaires vont fortement augmenter. Frais de tenue de compte, retraits dans une autre banque, paiements par carte bancaire, de nombreuses opérations vont se voir appliquer une augmentation ou devenir payante. Avec une conséquence directe sur le portefeuille des clients.
La décision d’augmenter significativement les frais de tenue de compte, quasi inexistants il y a encore deux ans, a été prise par beaucoup d’établissements. Autre mauvaise nouvelle pour beaucoup de clients : les frais imposés lors des retraits dits « déplacés », c’est-à-dire à un guichet ou un distributeur d’une autre banque, vont majoritairement augmenter. Enfin, certains établissements devraient choisir d’augmenter les frais appliqués sur cartes bancaires à débit immédiat, de 3,35% en moyenne. Traditionnellement moins chères que celles à débit différé, celles-ci auront donc tendance à combler cet écart. Une manière peut-être, d’inciter leurs clients à choisir la seconde solution, plus propice aux découverts… et donc plus rentable pour les banques.
Comme on le voit, les banquiers ne sont jamais perdants, ils reprennent toujours d’un côté ce qu’ils ont laché de l’autre…
Des cadeaux de bienvenue pour les envahisseurs
A Niort, une centaine de paquets-cadeaux a été déposée, au pied du sapin de Noël rue Victor-Hugo pour souhaiter la bienvenue aux envahisseurs
L’initiative a été lancée par des mouvements et partis de l’anti-France : La Cantine, l’Arddi (*), EE-LV, le Parti de Gauche, Nuit Debout… Apportés par des militants associatifs et sympathisants de la cause de l’invasion de note pays !
« C’est aussi un appel à la municipalité de Niort pour qu’elle accueille enfin des migrants », ajoutait une anonyme. … »
Sur les paquets, le mot « bienvenue » décliné en tibétain, en espagnol ou en espéranto. Et encore des cadeaux symboliquement adressés à Badou, Samira, Mamadou ou Aïcha…
En guise de guirlanles, des ribambelles de photos suspendues à des fils : prises il y a quelques jours, elles présentent des dizaines d’anonymes posant avec la même valise sur laquelle est écrit « La migration n’est pas un crime ».
Rejoints par plusieurs élus de gauche, la foule de plus cent vingt personnes s’est soudain élargie pour composer une vaste ronde humaine. Le cercle s’est figé quelques secondes, occupant toute la largeur de la rue, avant de se rompre doucement dans une salve d’applaudissements !
Les (((Éditions Nathan))) vont supprimer la mention… «actuelle Palestine» sur le manuel d’Histoire-Géo
Les (((Éditions Nathan))) vont supprimer la mention « actuelle Palestine » d’un manuel scolaire d’Histoire-Géographie adressé aux classes de 6e, a annoncé samedi le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA).
Le BNVCA a également indiqué que l’étoile à 6 branches remplacera celle à 5 branches parue sur la page qui lui deplait.
« Au IIe millénaire avant J.-C., les Hébreux sont un peuple nomade du Proche-Orient. Ils auraient reçu la révélation d’un dieu, Yahvé, qui par une alliance, aurait fait d’eux son peuple élu. Il leur promettait une terre, le pays de Canaan [actuelle Palestine], et, en échange, ils s’engageaient à croire en lui seul », explique le manuel en page 112.
Vol de cocaïne au 36 quai des Orfèvres : jusqu’à 13 ans de prison pour les flics pourris
Les quatre principaux prévenus sont accusés d’avoir dérobé à l’été 2014, 52 kilos de drogue au siège de la police judiciaire parisienne.
Vendredi, le tribunal correctionnel de Paris a prononcé des peines allant de 7 à 13 ans de prison, à l’encontre des quatre principaux prévenus, dans l’enquête sur le vol de 52 kilos de cocaïne au siège de la police judiciaire parisienne, au cours de l’été 2014. Ces peines seront assorties de périodes de sûreté des deux tiers, et d’amendes de 70 000 à 150 000 euros.
Les faits remontent à la nuit du 24 au 25 juillet 2014. Une quantité massive de drogue s’était mystérieusement volatilisée de la salle des scellés du 36, quai des orfèvres. Le butin a été estimé à plusieurs millions d’euros. Plusieurs policiers sont visés dans cette affaire, notamment le suspect numéro un, Jonathan Guyot, qui travaillait à la brigade des stupéfiants. Il est soupçonné d’avoir fait disparaître les scellés, cette nuit-là. Il avait été aperçu, via les caméras de surveillance, entrant dans les locaux avec deux sacs, puis ressortant peu après. Cette identification avait provoqué la stupeur: comment un policier avait-il pu se laisser piéger par des caméras dont il connaissait l’existence ?
Dans le cadre de cette affaire, dix personnes, dont quatre policiers, ont été renvoyées récemment devant le tribunal correctionnel.
La drogue demeure introuvable, mais le frère du brigadier Guyot a reconnu avoir récupéré 200.000 euros, entreposés chez un ami, et les avoir cachés au fond et autour du lac de Créteil.
Etranger
Europe
Allemagne : l’Afghan meurtrier de Maria Landsberger est un tueur en série
L’enquête sur le viol et l’assassinat de Maria Landsberger cette étudiante en médecine de 19 ans, dont le corps a été repêché dans une rivière le 16 octobre à Fribourg-en-Brisgau, rebondit encore en Allemagne. En cause, le passé du jeune Afghan, Hussein K., issu de la tribu des Hazara, une minorité chiite afghane, dont on a appris qu’il s’était déjà attaqué à une étudiante sur l’île grecque de Corfou. Il a en effet agressé en mai 2013 à Corfou cette étudiante âgée de 20 ans et l’a jetée par-dessus un parapet en bord de mer. La jeune femme a fait une chute de 8 mètres sur des rochers et a été gravement blessée. Condamné à dix ans de prison, il a été incroyablement libéré au bout de deux ans, profitant d’une loi d’amnistie dont l’objectif est de désengorger les prisons grecques d’un certain nombre de jeunes prisonniers qui s’étaient bien comportés durant leur détention…
Et les autorités allemandes et grecques se renvoient la balle ! Le ministre allemand de l’intérieur, Thomas de Maizière, s’en est pris aux autorités grecques, leur reprochant de ne pas avoir signalé les antécédents judiciaires du jeune homme dans les fichiers européens recensant les demandeurs d’asile. Si cela avait été le cas, « le suspect aurait été repéré lors des contrôles effectués par les autorités allemandes », a déclaré Thomas de Maizière.
Face à ces accusations, le ministère grec de l’intérieur a contre-attaqué en rappelant que le nom d’Hussein K. se trouvait sur la base de données Eurodac, où figurent les empreintes digitales des demandeurs d’asile arrivés en Europe. Selon Athènes, si les Allemands l’avaient consulté au moment où le jeune homme s’est enregistré outre-Rhin, à l’automne 2015, ils auraient appris que sa demande avait déjà été rejetée par la Grèce, en 2013, et ils ne l’auraient de surcroît pas enregistré comme mineur, l’intéressé étant né en réalité… en 1996.
Quoiqu’il en soit l’envahisseur afghan, après avoir failli tuer en Grèce, puis avoir traversé l’Autriche et la Suisse, est arrivé à Fribourg en 2015 où il a pu récidiver ignominieusement faisant ainsi la démonstration de la particulière nullité et inefficacité de Schengen.
Rappelons aussi que les enquêteurs allemands le soupçonnent encore d’une autre agression suivie de viol et de meurtre qui s’est déroulée peu de temps avant en Allemagne. Ce qui ferait de cet envahisseur afghan un tueur en série.
Ainsi l’Union européenne comme les États membres laissent se balader à travers toute l’Europe n’importe quel clandestin, condamné de surcroit, qui se révélent ici un jihadiste et là un tueur en série !
Le mondialisme sans-frontiériste tue, le nationalisme c’est la légitime défense !
Vague de jihadistes mineurs arrêtés pour terrorisme en Allemagne et en Belgique
Un jeune Irakien à papiers allemands, âgé de 12 ans, et « radicalisé » selon la terminologie médiatique mais sans préciser à quelle source idéologico-religieuse, a tenté d’actionner un engin explosif improvisé, une boîte de converse bourrée de poudre et de clous, lors d’une foire de Noël à Ludwigshafen dans sud-ouest de l’Allemagne). Après avoir échoué à faire exploser la bombe, l’adolescent l’a enfouie dans son sac à dos et a tenté de la cacher dans les buissons. C’est un témoin qui a indiqué l’activité suspecte de l’adolescent à la police. La presse allemande précise que le garçon a tenté de commettre l’attentat à deux reprises, le 25 novembre et le 5 décembre. L’enquête suggère que cet envahisseur aurait été influencé par l’organisation terroriste État Islamique avec laquelle il était en contact par l’intermédiaire de la messagerie Telegram. Actuellement, le garçon est dans un orphelinat. Il est accusé d’atteinte grave à la sécurité de l’État allemand. Le journal allemand Focus précise que durant l’été 2016, le garçon voulait se rendre en Syrie pour combattre dans les rangs du groupe jihadiste.
Peu après, les autorités belges ont indiqué qu’elles traitaient actuellement une dizaine de dossiers de mineurs en contact avec l’organisation terroriste État Islamique : « On a une dizaine de dossiers de terrorisme dans lesquels un mineur est impliqué » a déclaré le porte-parole du parquet fédéral de Belgique. Les adolescents, des garçons et des filles « recrutés par des organisations terroristes pour perpétrer des attentats terroristes », ont été placés en institution fermée. Ils recevaient des messages vidéo contenant des instructions sur la façon de fabriquer des bombes et de tuer. Selon les projets découverts, les mineurs belges devaient suivre l’exemple du jeune terroriste neutralisé récemment en Allemagne qui a tenté de faire exploser une bombe à clous sur un marché de Noël, à Ludwigshafen sur le Rhin.
Le groupe islamo-terroriste aurait demandé aux adolescents d’agir dans leur voisinage. Grâce à des messages vidéo, ils ont reçu des instructions complètes leur expliquant comment tuer des gens ou comment fabriquer une bombe. L’État islamique espère que les auteurs de cet âge puissent s’introduire dans les failles des systèmes de surveillance et de sécurité.
Suède : les fonctionnaires de l’Office des migrations faisaient du zèle
Les employés de l’Office pour les migrations du gouvernement suédois ont accordé un maximum de permis de séjour permanent au plus grand nombre possible d’envahisseur avant l’entrée en vigueur des nouvelles règles plus restrictives.
Selon un médiat suédois les fonctionnaires se sont comportés comme des militants ou des activistes pro-immigration par détestation de la nouvelle règlementation qui devait entrer en vigueur et qui allait les contraindre à délivrer des autorisations temporaires de séjour plutôt que des permis de séjour permanent, tout en restreignant le regroupement familial.
Le gouvernement avait annoncé début avril 2016 les réformes de son système d’asile afin de ralentir le flux de l’invasion. A compter de ce moment l’activité de l’Office des migrations a augmenté considérablement. Certains fonctionnaires sont mêmes restés à leur poste pendant leurs congés afin de délivrer le maximum de permis de séjour avant le 20 juillet date d’entrée en vigueur des réformes.
De mai à juin, le nombre de demandes d’asile en suspens qui ont été accordées a augmenté de 20 %, tandis que le nombre d’envahisseurs qui se sont vus accordés une autorisation de résidence permanente est passée de 50 à 62 %. En juillet – période de congé pour les fonctionnaires de l’Office – le nombre d’autorisations de séjour accordées a encore augmenté plus rapidement, et le nombre d’envahisseur recevant un permis de séjour a atteint les 71 %…
Selon le médiat suédois, plus le jour du renforcement des règles approchait, plus le nombre de cas traité et de permis délivré augmentait ! Le 19 Juillet, jour précédant l’entrée en vigueur de la réforme, le nombre de cas a plus que doublé s’élevant à 995, pour 411 le 18 juillet l’avant-veille. Soit un record de 87 % d’autorisations de séjour pemanentes délivrées ce jour-là…
Monde
Le pape François Zéro reçoit le rabbin de la communauté sépharade de Buenos Aires
Isaac Sacca, rabbin en chef de la communauté sépharade de Buenos Aires et président de l’organisation Menora, été reçu par le pape François Zéro le 16 décembre 2016, a indiqué le rabbin sur son site internet.
Le pontife argentin entretient en effet de nombreux rapports avec le monde juif. Archevêque de Buenos Aires, le cardinal Jorge Mario Bergoglio avait signé un ouvrage avec son ami le rabbin Abraham Skorka, qui l’a ensuite accompagné en Israël en 2014.
En 1994, selon le rabbin David Rosen, directeur des affaires inter-religieuses de l’American Jewish Committee, il avait fait preuve de solidarité avec la communauté juive suite à l’attentat terroriste qui avait frappé le centre AMIA à Buenos Aires. Il fut, en 2005, la première personnalité publique à signer une pétition appelant à la justice dans cette affaire. Il avait ensuite visité le centre AMIA reconstruit afin de discuter avec des leaders juifs.
(((Israel Singer))), ancien dirigeant du Congrès Juif mondial, rappelait avoir passé beaucoup de temps à travailler avec Jorge Mario Bergoglio, dans les années 2000, lorsqu’ils s’occupaient tous les deux de distribuer de l’aide aux pauvres de Buenos Aires dans le cadre d’un programme « judéo-catholique » appelé “Tsédaka”.
La Commission pour les relations religieuses avec le judaïsme a rendu public le 10 décembre 2015 “une réflexion théologique” ayant pour but d’enrichir et intensifier la dimension théologique du dialogue juif-catholique. Il recommande aux chrétiens de garder à l’esprit “l’immense tragédie de la shoah”, l’extermination des juifs d’Europe par le régime nazi. Le texte plaide pour “un engagement commun s’opposant à toutes manifestations de discrimination raciale contre les juifs et toutes formes d’antisémitisme”. Le document, qui affirme pour la première fois clairement que l’Eglise catholique ne cherche pas à convertir les juifs, avait été salué par le Grand rabbinat d’Israël.
Nationalistes, n’oubliez pas qu’un juif convertie c’est peut-être un catholique de plus, mais cela ne fait pas un juif de moins !
États-Unis : Dylann Roof, coupable de la fusillade Charleston, encourt la peine de mort
Le jury d’un tribunal fédéral du sud-est des États-Unis a reconnu coupable jeudi 15 décembre Dylann Roof des 33 accusations dont il devait répondre dans le cadre de la tuerie « raciste » qu’il a perpétrée en 2015 dans une église noire de Charleston. L’homme de 22 ans a écouté l’énoncé du verdict sans trahir d’émotion.
Le 17 juin 2015, après avoir minutieusement préparé son attaque, Dylann Roof avait prétendu participer à une séance de catéchisme à l’église de l’Emanuel, avant d’ouvrir le feu avec un 45 millimètres sur les paroissiens, tuant neuf d’entre eux. Il a tiré 77 fois.
Dans son réquisitoire jeudi matin, le procureur Nathan Williams a insisté sur la « haine écrasante » du jeune suprématiste blanc, ne cessant d’opposer l’hostilité fanatique de Dylann Roof et la bonté et l’innocence des fidèles tombés sous ses tirs. Il a décrit un homme « glorifiant » la ségrégation et dont les écrits, saisis dans sa chambre, « dénigraient les autres races ».
Selon la procédure pénale américaine, la sentence pour ses neuf meurtres commis à l’église de l’Emanuel de Charleston sera rendue au début de janvier. Il encourt la peine capitale. Dylann Roof a confirmé qu’il entendait assurer lui-même sa défense lors de cette dernière phase.
Verra-t-on alors le ballet des pleureuses et autres militants de l’abolition du « châtiment inhumain suprême », qui se déclenche habituellement aux États-Unis et dans le monde entier après toute condamnation d’un « innocent Noir victime des préjugés racistes de la justice et de la société américaine » ?
Turquie : deuxième attentat contre les forces de l’ordre en moins d’une semaine
La Turquie a été frappée par un deuxième attentat à la bombe, une semaine après l’attentat d’Istanbul qui avait fait 44 morts. L’explosion qui s’est produite à Kayseri, une ville du centre du pays, visait un bus transportant des militaires. Treize soldats turcs sont morts et 56 personnes ont été blessées lorsque le bus transportant des militaires a été percuté par une voiture bourrée d’explosifs. Les soldats venaient de la caserne Zincidere, un centre d’entraînement des unités commandos de l’armée situé non loin de Kayseri. Profitant d’une journée de permission, ils se rendaient en ville. Mais alors que leur bus passait devant le campus de l’université Erciyes, une voiture s’est approchée au plus près et a explosé.
L’attentat de Kayseri n’a pas encore été revendiqué, mais les autorités pointent du doigt le Parti des travailleurs du Kurdistan. « De par son style », a souligné le vice-premier ministre turc, Veysi Kaynak, « de part le type d’explosifs utilisés », a renchéri un autre vice-premier ministre, Numan Kurtulmus, il est la copie du double attentat-suicide qui a causé, une semaine plus tôt, la mort de 44 personnes (dont 36 policiers) devant le stade de foot de Besiktas, dans un quartier du centre d’Istanbul. Cette attaque avait été revendiquée ensuite par les Faucons pour la liberté du Kurdistan, proche du PKK.
« Ces attaques terroristes sont liées à ce qui se passe en Syrie et en Irak », a déclaré peu après le président turc, Recep Tayyip Erdogan, prononçant pour une fois une parole de vérité, certes incomplète. En effet, le terrorisme kurde a été bel et bien réactivé depuis que la Turquie s’immisce dans le conflit en Syrie, soit en soutenant les jihadistes de l’État Islamique qui se battent contre les Kurdes de Syrie, soit en raison de la répression dans les zones frontalières kurdes de Turquie par crainte de contagion ou jonction venant de Syrie.
Niger : « La démographie du pays est une bombe à retardement »
Dans une interview accordée à un magazine français, le président nigérien Mahamadou Issoufou a estimé que la démographie au Niger est « une bombe à retardement ».
« Nous avons un taux de croissance de 4 % par an, et un taux de fécondité de 7 enfants par femme. En plus, quand vous interrogez les femmes sur leur désir d’enfants, elles répondent qu’elles veulent neuf enfants, et les hommes, onze. Donc le nombre d’enfants désirés est supérieur au taux de fécondité. C’est un défi énorme auquel nous devons faire face. » a-t-il déclaré.
Pour le chef de l’État, la réponse à apporter à ce problème est l’éducation, et plus particulièrement celle des jeunes filles. « La jeunesse, c’est surtout une chance…, si nous arrivons à l’éduquer, à lui créer des emplois. C’est un facteur de dynamisme pour l’économie du Niger. » Dans ce contexte, Mahamadou Issoufou regrette que les formations dispensées aux jeunes nigériens ne soient pas assez en adéquation avec les besoins réels du pays qui se situent plutôt dans les professions techniques et les spécialisations.
Forte de 3 millions d’habitants en 1960, la population du Niger est estimée à 18 millions d’habitants en 2014. En 2015, une personne sur deux a moins de 15 ans. Les effets de cet accroissement démographique se font déjà sentir notamment par le nombre de « migrants » d’origine nigérienne dans le flux d’envahisseurs qui tente de gagner l’Europe.
Vidéo
Henry de Lesquen : les perles du français
Nouveauté littéraire
Le Grand Procès de l’Holocauste – Michael A. Hoffman II
Ou L’extraordinaire aventure d’Ernst Zündel
Au catalogue des hérésies, il n’en est aucune, à notre époque, qui soit plus sacrilège que de faire montre de scepticisme à l’égard des affirmations relatives à ce que l’on nomme, en novlangue, l’ « Holocauste », et qui concerne l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Survient alors Ernest Zündel, qui a survécu dans son enfance, en Allemagne, au bombardement au phosphore de sa ville natale de Pforzheim par les Alliés, et qui a émigré au Canada en quête de quiétude et de prospérité.
Déterminé à s’opposer à ce qu’il considérait comme la diffamation de son peuple, Zündel publia un ouvrage révisionniste qui frappait le centre nerveux même de l’histoire consensuelle et jetait le doute non seulement sur le chiffre de six millions mais également sur la méthode utilisée pour tuer, les chambres à gaz étant soumises à un examen minutieux.
En 1983, Zündel entama l’épreuve fatidique des arrestations, des procès, des émeutes et des agressions dirigés contre lui en raison de la publication de son livre révisionniste. Neuf ans plus tard, l’affaire culmina avec une décision historique de la Cour suprême du Canada.
Tout le monde s’attendait à ce que les procès spectacles intentés à Zündel se soldent par une victoire facile du gouvernement. Mais, alors que les yeux du monde entier se tournaient vers la salle d’audience de Toronto, par un revirement historique et spectaculaire, l’inquisition visant un éditeur se transforma rapidement en un procès de l’existence même des chambres à gaz homicides. Des aveux surprenants, conformes aux thèses révisionnistes, furent obtenus des témoins à charge, tandis que des experts témoignant pour la défense purent démontrer scientifiquement l’inconcevable, à savoir que ce que l’on présentait, à Auschwitz, comme des chambres à gaz étaient des faux.
Michael A. Hoffman II décrit l’évolution de Zündel en tant que dissident militant, et présente un compte rendu rigoureux du premier procès auquel il assista depuis la galerie de la presse. Il critique les grands médias et évoque en détail le défilé des historiens et des experts qui vinrent corroborer les doutes de Zündel lors de son second procès.
2016, La Sfinge, 336 pages.
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Le Harfang
Vol 5, n°2 décembre 2016/janvier 2017
Sommaire :
L’apocalypse signée Donald ; La coalition croule ; Blancs et discriminés ; Décroissance : entretien avec Jacques de Guillebon ; Limite écologique : entretien avec Falk van Gaver ; Maurice Allais et le désordre mondial ; Le soleil se lève au centre ; Croatie : portrait d’un pays ignoré ; Les excommuniés ; La réforme vue par une non-réformée ; Lecture dissidente : Je serai soldat ; Lecture dissidente : Occident et Islam ; Lecture dissidente : Une fin du monde sans importance ; Lecture dissidente : La mosquée Notre-Dame-de-Paris etc…
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Ephéméride nationaliste
19 décembre 1883 : naissance d’Abel Bonnard
19 décembre 1897 : naissance de Louis Darquier de Pellepoix
19 décembre 1945 : assassinat de John Amery (biographie)
Agenda
Bretagne : Réveillon de la Saint-Sylvestre du PNF
31 décembre 2016 – 1 janvier 2017
© Jeune nation – 2016
L’Immaculée Conception, 1628 – 1629, Peter Paul Rubens
(Musée du Prado – Madrid)
Quelque 200 parlementaires, leaders juifs européens et autres, assistent à une conférence à Bruxelles intitulée « Terrorisme et Sécurité : ce que l’UE peut apprendre d’Israël ».
http://www.i24news.tv/fr/actu/international/132336-161211-empecher-les-refugies-de-se-livrer-au-terrorisme-depute-israelien-a-l-ue
Viola Klein est l’auteure d’une des théorisations les plus pertinentes de ce qu’on appelle aujourd’hui le genre. Elle appartient surtout à la génération des féministes, avec la sociologue juive russe américaine Mirra Komarovsky ou encore Nina Rubinstein, pour la plupart réfugiées ou exilées, sans-papiers, persécutées, dont l’éducation est ‘itinérante’.
https://www.cairn.info/revue-cahiers-du-genre-2016-2-page-5.htm