St Thomas, apôtre
Sommaire :
France
- Farouk Yahiaoui, 20 ans de prison ferme
- Karim Marrouki, 17 condamnations, frappe sauvagement son épouse
- Fathi Akremi, multirécidiviste Tunisien voulait aller à Nice égorger des Français
- Interdite de séjour, la femme du terroriste Ali Belkacem va en prison
- Un Sénégalais condamné pour agression violente sur une policière
- Règlement de comptes dans le milieu affairiste « franco-israélien » à Paris
- Avortement : Alliance Vita débusque les mensonges du gouvernement !
Etranger
Europe
- Un envahisseur heureux pendant l’attentat de Berlin
- Allemagne : hommage à Lukasz Urban, chauffeur polonais, qui a lutté pour sa vie
- Italie : les envahisseurs prennent la place des patients à l’hôpital de Cagliari
- Allemagne : les fuites au Bundestag ne viennent pas de pirates russes
Monde
- Facebook confie la censure aux mains des activistes du milliardaire juif Soros
Vidéo
- Henry de Lesquen : « Versailles ou Bamako? »
Kiosque
- Altaïr n° 170
Ephéméride nationaliste
- 21 décembre 1972 : mort de Paul Hausser
Agenda
- Bretagne : Réveillon de la Saint-Sylvestre du PNF
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France
Farouk Yahiaoui, 20 ans de prison ferme
Mort de Valentin: 20 ans de réclusion en appel pour l’agresseur
Farouk Yahiaoui vient d’être condamné à 20 ans de réclusion en appel par la cour d’assises de Toulouse pour vol avec violence ayant entraîné la mort. Une agression sauvage sur un étudiant albigeois de 24 ans, Valentin Rivié, le 1er juin 2012, près du parc Rochegude.Valentin, dans un état critique, s’était éteint quatre jours plus tard à l’hôpital Purpan de Toulouse. En mars 2013, la cour d’assises du Tarn avait condamné Farouk Yahiaoui à 18 ans de réclusion pour vol avec violence ayant entraîné la mort.
Karim Marrouki, 17 condamnations, frappe sauvagement son épouse
Le nourrisson hurlait pendant que le père battait maman et giflait la voisine
Les affaires de violences conjugales sont souvent terrifiantes. Celle examinée hier par le tribunal correctionnel de Digne l’est encore plus car cette fois, la sauvagerie à laquelle s’est livrée Karim Marrouki s’est déroulée devant l’enfant du couple, un bambin de tout juste 4 mois qui a vu à plusieurs reprises le poing de son père venir s’écraser sur le visage de la mère. Un poing qui lui a même effleuré la tête, sans gravité heureusement. Le bébé, en pleurs, a également été ballotté de l’un à l’autre (l’une l’enveloppant dans ses bras pour le protéger, le second désirant lui soustraire l’enfant), pour finir chez la voisine chez qui le prévenu est allé sonner pour lui coller l’enfant dans les bras. Le temps de retourner se déchaîner sur Noémie. Cette dernière est ensuite venue se réfugier chez cette même voisine, avant de s’écrouler sur le sol, inconsciente.
Cela n’a pas suffit à calmer Karim qui a continué à la frapper, à coups de poing et de pieds dans les côtes. Il a terminé en lui crachant dessus. « Elle était dans un état lamentable, raconte la voisine. Lorsque Noémie reprend connaissance, son premier réflexe est de regarder si son fils va bien. À ce moment-là, il est toujours en sécurité dans les bras de la voisine, qui poursuit : « Elle m’a dit « Ne me laissez pas seule. Ne lui donnez pas le bébé !»« .
Cette dame a elle aussi subi la violence de Karim qui n’a pas apprécié la teneur de l’appel passé aux pompiers. « Quand je leur ai dit que Noémie était en sang par terre, il s’est jeté sur moi, m’a mis une gifle et m’a dit « Toi, t’es morte ! ». Puis il a téléphoné à quelqu’un pour dire « Venez vous occuper de son cas »… » Le prévenu a ensuite appelé les gendarmes. Il était une heure du matin lorsque les cris ont éclaté dans cet appartement de l’ancienne gendarmerie.
Le fait qu’elle lui ait demandé de baisser le volume de la musique pour que le bébé ne se réveille pas, l’avait contrarié. Le premier coup-de-poing était alors parti. La victime, couverte d’hématomes et d’ecchymoses, est aujourd’hui en proie à une profonde détresse psychologique. Karim Marrouki était sorti de prison le mois dernier après avoir purgé 5 mois de détention. Son casier judiciaire comporte 17 condamnations dont 3 pour violences, ainsi que pour recel, stups, conduite en état alcoolique…
Le tribunal s’est montré plus sévère en lui infligeant 36 mois, interdiction de séjour dans le 04 pendant 3 ans, et 3 800 € de dommages et intérêts.
Fathi Akremi, multirécidiviste Tunisien voulait aller à Nice égorger des Français
«Je veux me battre aux côtés de Daesh et faire un massacre […] Je veux aller à Nice et finir le travail […] Je veux faire le djihad ». Ces propos ont coûté six mois de prison ferme et l’interdiction du territoire français pendant trois ans à Fathi Akremi, jugé mardi à Valence pour “apologie du terrorisme” devant le tribunal correctionnel.
Des propos qu’il a tenus, mardi, aux urgences de l’hôpital de Valence où il avait été conduit après avoir été débarqué d’un TGV dans lequel, complètement ivre, il importunait des passagers.
On aurait pu mettre les mots de cet homme à la dérive sur le compte d’une « provocation suprême » et de l’alcoolisme chronique qui le ronge, comme l’a plaidé son conseil, Me Sandrine Durochat.
À Nice, 5 jours après l’attentat du 14 juillet, il tenait des propos semblables et avait été condamné
Ce ressortissant tunisien d’une cinquantaine d’années n’en était pas à ses premières menaces. Encore moins à son premier rendez-vous avec les juges qui, à vingt-cinq reprises par le passé, l’ont sanctionné pour des faits de vol, de violences, d’agression sexuelle, de menaces de mort…
Ses déclarations aux urgences de l’hôpital de Valence faisaient en effet écho à d’autres propos tenus par lui, le 19 juillet dernier, dans des circonstances glaçantes puisque prononcés à Nice, cinq jours seulement après le terrible attentat de la promenade des Anglais. Il fut condamné par la justice des Alpes-Maritimes.
Fathi Akremi a été déclaré coupable et condamné à six mois de prison ferme et trois ans d’interdiction du territoire français.
Une peine d’expulsion devenue systématique depuis une loi nouvelle adoptée justement après l’attentat de Nice.
Interdite de séjour, la femme du terroriste Ali Belkacem va en prison
L’épouse de Smaïn Aït Ali Belkacem, condamné à la perpétuité pour sa responsabilité dans les attentats de 1995 à Paris, a pu atterrir sans difficulté à Paris.
Le 9 décembre 2016, Aïcha A., 45 ans, épouse de Smaïn Aït Ali Belkacem, 48 ans, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour les attentats de 1995 à Paris, se présente au parloir de la centrale d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne), où elle sera interpellée. Elle est bien titulaire d’un permis de visite. En revanche, elle est aussi interdite de séjour en France depuis le 25 novembre 2016 par arrêté du ministère de l’Intérieur !
Comment Aïcha A. a-t-elle pu atterrir à Paris et passer les contrôles sans rencontrer d’obstacle ? D’autant qu’Aït Ali Belkacem est un détenu particulièrement signalé depuis qu’un projet d’évasion avorté de la prison de Clairvaux avait été mis au jour en 2010 avec l’aide d’Amedy Coulibaly, le terroriste de l’Hyper Cacher, puis en 2013, au centre pénitentiaire de Réau. Comment expliquer cette incroyable faille ?
Aïcha A. n’était pas inscrite au FPR, le fichier des personnes recherchées, qui répertorie non seulement les individus réclamés par la justice mais également les personnes interdites de séjour sur le territoire ou celles qui doivent faire l’objet d’une attention particulière lors d’un contrôle. « Le fichier est alimenté depuis notre base à Écully et nous avons pu constater du retard dans la mise à jour. Nous faisons régulièrement appel à du personnel vacataire. Mais les urgences sont traitées à l’instant T », confie un officier.
Selon la Place Beauvau, la femme de l’artificier du GIA entretiendrait des liens avec la mouvance islamiste radicale. « En juillet 2016, lorsque Belkacem a fait une demande d’accès à une Unité de vie familiale, il a donné l’adresse de la femme d’un individu condamné pour terrorisme comme hébergeur de sa propre épouse », indique une source au renseignement territorial.
Par ailleurs, Aïcha A. était restée en France en 2015 malgré l’expiration de son visa. Elle a ensuite rejoint l’Algérie avec un mois de « retard ». « Un étranger qui se maintient sur le territoire à l’expiration de son visa n’a que très peu de chance d’y revenir une fois qu’il est retourné dans son pays. Madame Aït Belkacem est dans ce cas, il est donc tout aussi incompréhensible, indépendamment de la connotation terroriste, qu’elle ait pu revenir en France », s’étonne un fonctionnaire de la préfecture, institution en charge de faire appliquer l’arrêté d’expulsion.
L’avocat de l’Algérienne entend saisir le tribunal administratif. « Elle n’a pas pu faire valoir ses droits. Son expulsion lui a été notifiée au parloir et elle a été remise dans un avion pour Alger, l’après-midi même. Elle a pourtant trois enfants nés en France ! »
Un Sénégalais condamné pour agression violente sur une policière
Agressée square Couperin, à Melun, la policière a eu 21 jours d’incapacité totale de travail. L’auteur des faits a été écroué.
Hamath, l’auteur de graves violences contre une policière de Dammarie-lès-Lys, a été jugé vendredi dernier en comparution immédiate au tribunal correctionnel. L’agression date du 30 novembre dernier. La victime, âgée de 31 ans, avait été prise à partie lors d’une descente de police à Melun, square Couperin, pour une affaire de stupéfiants. Elle avait été molestée et tirée par les cheveux.
Souffrant de diverses contusions et d’une fracture du sacrum, elle a eu 21 jours d’incapacité de travail. Le suspect, qui s’était débarrassé d’une cagoule, de cannabis et d’une feuille de compte, a été interpellé cette semaine, après avoir été identifié par une empreinte. En garde à vue, le dealer a reconnu les faits. Domicilié à Dammarie-lès-Lys, et sans profession, le Sénégalais est âgé de 21 ans.
Déjà condamné à cinq reprises pour trafic de stupéfiants et trecel de vol, il a écopé de 2 ans de prison avec mandat de dépôt et interdiction de paraître en Seine-et-Marne durant trois ans. Par ailleurs, son précédent sursis a été révoqué.
Le procureur a insisté sur le fait que ” ce quartier était gangréné par le trafic et que les coups portés étaient l’occasion pour le prévenue de se défouler.”
Ce dernier devra également verser 3 600 € de dommages et intérêts à la victime,
Règlement de comptes dans le milieu affairiste franco-israélien à Paris
Dominique G., victime d’une fusillade dimanche dans la capitale, était un proche du clan Hornec, avec qui il était associé dans la récupération des déchets.
Une fusillade en plein Paris. Un homme a été touché de 5 coups de fusil, dimanche 18 décembre aux alentours de 18 heures, dans le XVIe arrondissement de la capitale. Celui-ci était en train de se garer en scooter boulevard Flandrin quand deux hommes se sont portés à sa hauteur en voiture et ont ouvert le feu. La victime a reçu cinq balles de fusil et a été touchée à la tête. Conduite à l’hôpital, très grièvement blessée.
Le tireur a pris la fuite, accompagné par 2 complices. Leur voiture a été retrouvée brûlée non loin de là. « Présentée comme appartenant au milieu affairiste juif » selon Le Parisien, et proche de la « bande du CO2 », à l’origine de l’escroquerie géante à la taxe carbone, et du clan Hornec, avec qui il aurait été en affaires dans la récupération des déchets, il a sans doute été victime d’un règlement de comptes.
La victime est très défavorablement connue de la justice pour des faits d’escroquerie. Ces derniers éléments peuvent laisser penser à un règlement de comptes, thèse privilégiée quelques heures après la tentative de meurtre. Le parquet de Paris a ouvert une enquête confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne.
Avortement : Alliance Vita débusque les mensonges du gouvernement !
Alors qu’une commission mixte paritaire doit dégager un consensus sur la définition du délit d’entrave numérique à l’interruption volontaire de grossesse, l’association anti-avortement Alliance Vita a décidé de prendre au mot le gouvernement, qui a décidé de s’en prendre aux mensonges concernant l’IVG, afin de contester certains contenus présents sur le site officiel d’information sur le sujet.
Alliance Vita a adressé une lettre au gouvernement pour dénoncer notamment une vidéo intitulée « Y a-t-il des conséquences psychologiques après une IVG ? », dans laquelle un gynécologue affirme « qu’il n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement ». Pour Alliance Vita, cette affirmation va à l’encontre du rapport de l’Inspection des affaires sociales datant de 2010, « qui souligne le manque d’étude objective sur les conséquences de l’IVG qui « demeure un événement souvent difficile à vivre sur le plan psychologique ».
« Le déni de toute séquelle à long terme consécutive à un tel événement est susceptible de tromper les femmes, non seulement lorsqu’elles hésitent, mais aussi lorsqu’elles ressentent ce type de souffrance longtemps après une IVG », insiste l’association dans son courrier adressé au ministère de la Santé.
En dehors de cette revendication, Alliance Vita réclame la mise à jour du dossier-guide contenant les informations sur l’IVG datant de novembre 2014, celui-ci devant par obligation légale se voir ajouter chaque année les nouvelles dispositions concernant l’avortement.
L’arroseur arrosé.
Etranger
Europe
Un envahisseur heureux pendant l’attentat de Berlin
Allemagne : hommage à Lukasz Urban, chauffeur polonais, qui a lutté pour sa vie
Lukasz Urban, chauffeur polonais âgé de 37 ans, qui laisse une femme et un fils de 17 ans, était un costaud de 120 kilos, mesurant 183 centimètres, a dit aux médias polonais Ariel Zurawski, patron d’une société de transports installé près de Gryfino, dans le nord-ouest de la Pologne. « Une seule personne n’aurait pas eu raison de lui ».
Zurawski avait été appelé dans la nuit par la police polonaise pour identifier la victime sur une photo. « On y voyait des traces de coups, il était évident qu’il s’était battu. Son visage était ensanglanté, tuméfié. Il y avait une blessure à l’arme blanche », a-t-il raconté, confiant qu’il avait eu du mal à regarder l’image. « La police m’a dit qu’il y avait aussi une blessure par balle ».
Il a insisté à plusieurs reprises sur un malheureux concours de circonstances ayant abouti à la mort de son employé. Ce dernier, sur la route depuis une semaine et demie, est arrivé à Berlin d’Italie en transportant 24 tonnes d’éléments en acier. Il aurait dû normalement les décharger tout de suite comme prévu, mais la société destinataire a remis l’opération au lendemain. « Il voulait rentrer à tout prix jeudi au plus tard, pour acheter un cadeau à sa femme », a encore raconté l’entrepreneur. Il a donc stationné devant l’entrepôt du client, a dit le transporteur.
Le conducteur a eu le dernier contact téléphonique avec sa femme vers 15 heures. Ils ont parlé peu, car elle était encore au travail et devaient se reparler une heure plus tard. Mais à 16h00 il ne répondait plus au téléphone.
Le camion a quitté son stationnement vers 19H40, faisant un parcours de dix kilomètres environ jusqu’au marché de Noël. « Peut-être quelqu’un pilotait le conducteur», pense le transporteur, car « il n’est pas facile de faire un tel parcours dans Berlin » sans se perdre.
Le parquet national polonais a ouvert une enquête sur « le meurtre d’un citoyen polonais dans le but d’appropriation d’un semi-remorque et de son utilisation pour attaquer un groupe de personnes sur un marché de Noël à Berlin », délit pour lequel la peine maximale est la prison à vie.
Italie : les envahisseurs prennent la place des patients à l’hôpital de Cagliari
En Italie, plus précisément à Cagliari en Sardaigne, la direction de l’hôpital a envoyé une circulaire, signée par le directeur Giuseppe Ortu, datée du 13 décembre 2016 aux chefs de service leur demandant de libérer des places pour les migrants :
« En prévision du débarquement des migrants prévu pour la journée d’aujourd’hui, nous vous invitons à faire le nécessaire pour bloquer les hospitalisations programmées et renvoyer les patients en état de rentrer chez eux, afin de pouvoir affronter l’éventuelle situation d’urgence. »
L’hôpital a donc choisi de soigner en priorité les envahisseurs avant les Italiens sans tenir compte des impératifs de ces derniers, de leur état de santé qui les oblige à être hospitalisés, des opérations prévues, de leur agenda, etc. Toutes considérations qui auraient du freiner leur élan humaniste envers des étrangers clandestins. Le dicton « l’hôpital qui se moque de la charité » va comme un gant à cette direction !
« Une action qui frise la folie, et la dégénérescence dans la gestion de cette immigration. C’est tout simplement incroyable qu’une note officielle ait mis en place cette folie sanitaire. Nous sommes devant des mesures qui laissent stupéfaits et soulèvent des doutes sérieux sur la capacité de gestion de la Santé. » a réagi le députe autonomiste sarde Marco Pili.
Allemagne : les fuites au Bundestag ne viennent pas de pirates russes
Moscou n’a rien à voir avec le piratage des documents secrets du Bundestag allemand. Les documents ont été piratés par un de ses propres députés.
Le 1er décembre le site WikiLeaks a publié 2 500 documents confidentiels du Bundestag, plus particulièrement des documents relatifs à la coopération entre le renseignement allemand et l’Agence de sécurité nationale américaine.
Dans les deux semaines qui ont suivi leur publication, la presse allemande a accusé à cor et à cri des « hackers russes » d’avoir piraté les serveurs du Bundestag. Les cyberattaques contre le Bundestag ont commencé en mai 2015, et les médias allemands ont aussitôt imaginé une « piste russe ». Cependant, leurs versions n’ont pas trouvé de confirmations. Plus encore, la justice allemande est convaincue que les documents ont été transmis à WikiLeaks par un fonctionnaire du Bundestag, voire par un des élus du peuple.
Les documents publiés par WikiLeaks concernent les tentatives des parlementaires allemands entreprises afin de trouver les preuves d’une coopération entre le renseignement allemand et la NSA dans la surveillance des citoyens allemands.
Monde
Facebook confie la censure aux mains des activistes du milliardaire juif Soros
Accusé d’avoir fait le jeu de Donald Trump aux États-Unis lors de la présidentielle, Facebook fait amende honorable et déclare être prêt à s’attaquer aux « fausses informations », comprendre : toute information qui n’a pas été produite et validée par la caste médiatico-politique des valets de l’oligarchie ! Le fondateur de Facebook a fini par plier et a accepté de mettre en place des mesures visant à lutter contre la « désinformation ».
Le réseau social s’attaquera donc, désormais, en priorité au « pire du pire ». Les informations jugées fausses seront marquées comme telles, et les algorithmes ajustés afin que la publication soit enfouie dans les classements. En clair, Facebook manipulera le classement des publications les plus vus, afin d’étouffer les informations jugées comme « fausses ». Le réseau social va donc mettre en place une nouvelle fonctionnalité qui permettra aux utilisateurs de signaler des contenus qu’ils jugeraient faux. Et passé un certain nombre de signalements, Facebook transférera alors les publications incriminées à un « panel » de 43 acteurs revendiquant le statut de « fact-checkers » (« vérificateurs de faits »).
Parmi les heureux récipiendaires de ce nouveau pouvoir de séparer le vrai du faux, à côté des médiats traditionnels, de toute façon acquis aux mots d’ordre de l’oligarchie qui dirige le monde (l’agence de presse AP, ABC News, le Washington Post…), on trouve des acteurs privés prétendument indépendant : FactCheck.org, Politifact ou Snopes. En réalité des militants de groupes d’extrême-gauche (Snopes) et des « activistes » issus de lobby entre les mains de l’oligarchie !
En effet le Réseau « Ιnternational Fact-Checking » (Factcheck.org) est par exemple parrainé et financé par les nombreux pseudopodes des oligarchies qui dirigent le monde : l’Open Society de Georges Soros, la Fondation de Bill & Melinda Gates, Google ou encore Omidyar Network du milliardaire Pierre Omidyar (fondateur de Ebay).
Et chaque fois qu’un membre de ce réseau considérera une information ou un lien comme faux, la publication deviendra invisible et sera remplacée par un lien vers une page d’explication…
Vidéo
Henry de Lesquen : « Versailles ou Bamako? »
Kiosque
Altaïr
Revue de poésie et tradition
N° 170 Noël 2016
Abonnement 10€ pour l’année –quatre numéros
Jean Pierre Hamblenne BP 19 B – 1420 Braine l’Alleud Belgique
Ephéméride nationaliste
21 décembre 1972 : mort de Paul Hausser
Agenda
Bretagne : Réveillon de la Saint-Sylvestre du PNF
31 décembre 2016 – 1 janvier 2017
© Jeune nation – 2016
Le Dénombrement de Bethléem, vers 1605-1610, Pieter Brueghel le Jeune
(musée des Bons-Enfants – Maastricht)
Dominique Guez, alias « Dodo le Gros » avait été condamné à trois ans de prison à Bordeaux pour escroquerie aux encarts publicitaires aux côtés de Cyril Mouly, cousin de « Marco l’Elégant », autre ponte présumé de l’arnaque au CO2.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-spectre-de-la-taxe-carbone-20-12-2016-6475929.php
http://fr.timesofisrael.com/un-criminel-presume-a-recu-5-balles-en-plein-paris/
La mairie norvégienne de Tromso (70 000 hab.) appelle au boycott des produits des Territoires occupés.
http://fr.timesofisrael.com/une-mairie-norvegienne-appelle-au-boycott-des-produits-israeliens-des-territoires-occupes/
Eyal Sivan et Armelle Laborie publient « Un boycott légitime ».
http://www.lecourrier.ch/145148/un_boycott_legitime
La Ville de Montréal reconnait avoir enfreint la loi en faisant retirer des affiches pour BDS-Québec.
http://www.tvanouvelles.ca/2016/12/15/montreal-reconnait-avoir-enfreint-la-loi-sur-laffichage-electoral
Et Yves Rocher qui rachete l’israélien Sabon et ses « produits de la Mer Morte » !
http://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/0211609835469-yves-rocher-accelere-a-linternational-avec-lisraelien-sabon-2051822.php