Sainte Angèle Merici
Fondatrice de la Compagnie de Sainte Ursule de Brescia (✝ 1540)
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- 88ème anniversaire du Professeur Robert Faurisson
France
- Le tribunal enterre définitivement la Grande Mosquée de Marseille
- La mosquée fermée prônait le djihad armé, prières de rue en cours
- Cinq Marocains écroués pour violences graves et vols sur prostituées
- D, Africain, tue un étudiant Indien pour lui voler son portable
- Nacer et Harouna condamnés pour avoir cambriolé la maison du crime
- 13 000 euros cachés au cimetière Montparnasse par des djihadistes
- Le secrétaire général du Front National Nicolas Bay en visite secrète en Palestine occupée
- Et Jean-Marie Le Pen est toujours Président d’Honneur…
Etranger
Europe
- Le maire de Londres demande une tolérance zéro face aux actes antisémites
- Italie : l’envahisseur se noie dans la baie de Venise sous les quolibets de la foule
- Grèce : le gouvernement Syriza ouvre la première mosquée d’Athènes financée par l’État
- Allemagne : coup de filet dans les milieux nationalistes
- Pays-Bas : « Si ici ça ne vous plait pas, partez ! »
- Autriche : une collégienne musulmane invente une agression raciste
- C’est à lire !
Monde
- États-Unis : accusations de racisme contre la censure de Facebook
- Syrie : accord sous l’égide russe, turque et iranienne et frappes contre Daech
- C’est à lire !
Vidéo
- Hitlerjunge Quex (1933) vost
Kiosque
- Rivarol n° 3267
Ephéméride nationaliste
- 27 janvier 1896 : naissance de Agustín Muñoz Grandes
- 27 janvier1918 : naissance de thies christophersen
- 27 janvier 1930 : naissance de Erwan Bergot
Agenda
- Dijon : Conférence d’Hélène Grimaldi, présidente du CFH
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Actualité nationaliste en France
88ème anniversaire du Professeur Robert Faurisson
Le mercredi 25 janvier 2017, une délégation commune de Jeune Nation et du Parti Nationaliste Français, emmenée par Yvan Benedetti, directeur de JN et porte-parole du PNF, était à Vichy pour assister au repas donné en l’honneur de Robert Faurisson, à l’occasion de son 88ème anniversaire !
Près d’une centaine de personnes furent présentes pour témoigner de leur soutien et de leur amitié au grand Professeur ! Organisée par l’entourage proche du célèbre révisionniste, la journée fut une véritable réussite, à l’ambiance chaleureusement amicale et conviviale !
Seul organe nationaliste représenté, Jeune Nation – aux côtés du Parti Nationaliste Français, lui aussi seul mouvement authentiquement nationaliste présent grâce à ses militants venus de plusieurs régions de France – tenait à réaffirmer par sa présence son attachement et son soutien indéfectible à la cause de la vérité historique, ainsi qu’à son principal ambassadeur, quand tant de radicaux auto-proclamés prétendent, par pseudo-stratégie ou lâcheté – mettre sous le boisseau ce sujet central, capital, véritable clef de voute du système mondialiste et du judaïsme politique !
France
Le tribunal enterre définitivement la Grande Mosquée de Marseille
Quelques mois après la résiliation du bail de la Grande mosquée de Marseille par le conseil municipal, la justice vient d’entériner définitivement la décision.
Dans une décision rendue mardi, le tribunal administratif vient d’autoriser la ville de Marseille à résilier complètement le bail de cette mosquée en projet depuis plus de 10 ans.
Mais le projet de cette mosquée n’est pas abandonné pour autant, précise Me Benoît Candon, avocat de l’association en charge du projet qui a prévenu que les mosquées de la ville n’avaient pas les capacités pour accueillir les fidèles et prévient –menace ?- que ces gens devront donc prier dans la rue.
Ce bail avait été signé en 2007 entre la mairie de Marseille et l’association « La Mosquée de Marseille », mais des problèmes financiers et des dissensions internes ont eu raison de ce projet qui devait être bâti sur une superficie de 8000 m2.
La mosquée fermée prônait le djihad armé, prières de rue en cours
Depuis la fermeture de la mosquée de Lagny-sur-Marne, des prières sont organisées dans la rue, notamment sur la place Marcel-Rivière
A sa demande, le ministre de l’Intérieur Le Roux le recevra le 15 février prochain en présence du député de la circonscription, Yves Albarello (LR), afin d’évoquer la situation de la mosquée de Lagny-sur-Marne. Début décembre 2015, celle-ci avait été fermée alors que certains fidèles étaient soupçonnés de prôner le djihad armé et de participer au départ de jeunes Français vers la zone irako-syrienne. Neuf personnes avaient été assignées à résidence et vingt-deux autres interdites de sortie du territoire.
Depuis, des musulmans qui fréquentaient la mosquée ont organisé des prières de rue et elles perdurent, notamment place Marcel-Rivière au cœur du quartier Orly Parc. « Ils sont là cinq fois par jour. Ils sont une quinzaine en semaine. Le vendredi, quand ils sont plus nombreux, ils débordent sur des espaces publics. Il est important que cette situation ne perdure pas », avance le maire Jean-Paul Michel.
Cinq Marocains écroués pour violences graves et vols sur prostituées
Lundi soir, cinq marocains suspectés d’avoir, à Brest, Quimper et dans d’autres villes bretonnes, violemment agressé et volé des prostituées ont dormi en prison. L’un est livreur, l’autre restaurateur, un autre intérimaire. Tous vivent à Brest ou au Relecq-Kerhuon, et un seul d’entre eux avait un casier judiciaire chargé de deux condamnations : en 2012 pour conduite en état d’ivresse, et en 2015 pour stupéfiants.
À l’issue de leur garde à vue, qui a duré non loin de 96 heures, ils ont été mis en examen pour enlèvements, séquestration et vols à main armée en bande organisée, ainsi que pour association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un crime et, pour deux d’entre-eux, pour viols.
Passibles de la cour d’assises, ils encourent jusqu’à trente ans de réclusion criminelle. « À ce stade, ils se taisent ou contestent les faits brestois, mais des éléments matériels ont permis de les confondre », explique le procureur Éric Mathais. « Quant aux faits de Quimper, deux des cinq reconnaissent une participation à minima ».
Ces cinq hommes, âgés de 23 à 34 ans, tous de nationalité marocaine et résidant en France en situation régulière, écumaient des sites internet de petites annonces pour entrer en contact avec des prostituées.
Le 3 janvier, à Brest, rue de la République, l’un d’eux est censé avoir un rendez-vous galant avec une jeune femme brésilienne. Elle vit ici depuis quelques semaines, avec une autre compatriote, avec un visa de tourisme. À l’heure du rendez-vous, l’homme débarque avec quatre comparses. Ils les menacent, notamment avec la réplique d’un Beretta, des bombes lacrymogènes et un pistolet à impulsions électriques, et repartent avec 1.600 euros en liquide, des bijoux et des téléphones.
À Quimper, le 13 janvier, ils montent d’un cran dans l’horreur : même approche de deux filles, mêmes violences pour leur voler du numéraire (plus de 2.000 euros), mais en outre, deux d’entre-eux violent les dames. « En constatant leur montée en puissance, il fallait les arrêter au plus vite », relève Thierry Le Floch, chef de la sûreté départementale.
Ce sera chose faite, jeudi dernier en tout début d’après-midi au Relecq-Kerhuon, grâce notamment à une « exceptionnelle coordination des hommes de la sûreté et de la P.J. », se félicite le procureur Mathais. Et à l’exploitation d’empreintes et de téléphonie, laissés sur les lieux de leurs méfaits.
En arrêtant ce gang, les policiers ont mis fin à une litanie de faits bien plus importante, dont les premiers pourraient remonter à février 2016. « Pour l’heure, nous faisons des rapprochements avec des faits similaires qui ont eu lieu à Rennes, Lyon, Dijon, Le Mans, Vannes, Saint-Malo, Strasbourg et Metz », poursuit Éric Mathais.
L’enquête s’annonce tentaculaire : « À ce titre, il n’est pas exclu que la JIRS (Juridiction interrégionale Spécialisée) soit saisie », a conclu le procureur.
Issa.D, Africain, tue un étudiant Indien pour lui voler son portable
La nuit des faits, vers 1 heure du matin, Manimaran Thangavel, 28 ans avait été découvert, inconscient et très grièvement blessé, sur le palier de l’appartement de l’un de ses amis, situé dans un immeuble de la rue Mademoiselle.
L’agresseur d’un jeune Indien le 23 décembre dernier à Paris a été identifié. Le jeune homme de 28 ans, poignardé, était mort de ses blessures.
Evacué en urgence vers l’hôpital européen Georges-Pompidou, ce jeune ressortissant indien, employé dans un restaurant asiatique à Savigny-sur-Orge, est finalement décédé des suites de ses blessures. L’autopsie a révélé qu’il avait succombé à un coup de couteau au niveau du thorax.
Saisis des investigations, les limiers de la crim’ ont rapidement découvert que, le soir des faits, un homme était monté à la station Bercy, sur la ligne 6 du métro, dans la même rame que la victime, avant d’être filmé en train de la suivre, rue de Cambronne. Le même suspect a ensuite été repéré dans le XVIIIe arrondissement. Les enquêteurs ont également découvert deux couteaux abandonnés dans les fourrés d’une résidence sur le chemin emprunté par l’étudiant indien entre la sortie du métro Cambronne et le domicile de son ami sur le palier duquel il avait été retrouvé inconscient.
« L’analyse de ces couteaux a permis d’isoler deux empreintes génétiques, confie un enquêteur. Il y avait celle de la victime mais aussi celle de l’auteur présumé de ce meurtre ». Connu de la police pour des faits de vol et de port d’arme blanche, l’identité du suspect, enregistré sous l’alias « Omar Bongo » du nom de l’ancien président gabonais, dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), a finalement été formellement établie grâce aux policiers du commissariat du XVIIIe arrondissement.
Après vérifications, les enquêteurs de la brigade criminelle ont découvert qu’il avait été placé en détention après sa condamnation pour un vol à l’arraché d’un téléphone portable sous la menace d’une arme blanche, le 2 janvier dernier.
Extrait de sa cellule de la prison de Nanterre (Hauts-de-Seine), ce 10 janvier, le suspect, de son vrai nom Issa D., 28 ans et de nationalité sénégalaise, a avoué avoir dérobé le téléphone de l’étudiant indien. Le même homme a expliqué avoir « pris l’habitude » de menacer des passants avec « deux couteaux » avant de les dépouiller de leurs portables. Selon nos informations, il a encore indiqué s’être battu avec la victime qui, selon, lui était également armée d’un couteau, avant de parvenir à lui dérober son portable. Il a également expliqué ne «plus se souvenir l’avoir frappé à coups de couteau ».
Le meurtrier présumé a finalement été mis en examen avant d’être reconduit dans sa cellule. Les investigations se poursuivent afin d’identifier d’autres victimes potentielles.
Nacer et Harouna condamnés pour avoir cambriolé la maison du crime
Ils avaient cambriolé à deux reprises la maison où Anne Ionesco avait été assassinée, moins d’un mois plus tôt, à Maudétour-en-Vexin. Deux « jeunes » de Mantes-la-Jolie (Yvelines) ont été condamnés, ce mardi soir, pour y avoir dérobé une télévision, des bijoux et de l’argenterie, laissant à proximité une partie du butin, après avoir brisé les scellés judiciaires. Ils ont écopé de 15 mois de prison avec sursis.
Anne Ionesco a été tuée à 46 ans de deux balles dans la tête le 2 décembre 2012 dans sa maison isolée, située sur les hauteurs de Maudétour-en-Vexin. Son assassin, Marc Dubois, un technicien de TDF de 54 ans, se pendait quatre jours plus tard.
Cette villa cossue et à l’écart, deux jeunes de Mantes-la-Jolie l’ont cambriolée moins d’un mois plus tard, le 16 janvier 2013, en plein après-midi. Ils ont sorti une télévision, de l’argenterie, des bagues. Ils avaient coupé le grillage, forcé une porte et une fenêtre au pied de biche, malgré les scellés apposés sur la maison et malgré l’alarme. Ils s’étaient échappés à temps et cela ne les avait pas découragés : deux jours plus tard, en soirée, ils revenaient pour terminer le travail, en prenant des risques immenses. Les gendarmes qui surveillent de près la maison les surprennent à leur sortie. Les militaires effectuent les sommations mais les deux jeunes s’échappent à pied, laissant leur véhicule, au risque de voir les gendarmes ouvrir le feu comme ils en ont la possibilité.
Cette voiture permettra aux enquêteurs de retrouver Nacer M., puis Harouna C., son complice, tous deux âgés de 23 ans aujourd’hui. Une information judiciaire avait été ouverte au cas où les cambriolages auraient eu un lien avec l’affaire criminelle, ce qui sera écarté.
La présidente sort une photo dans le dossier et montre aux deux jeunes le désordre laissé après leur passage. « Vous ne vous rendez pas compte combien c’est gênant ce que vous avez fait. Cela s’appelle être des charognards », lance la présidente. « Cela vous a rapporté combien ? » Nacer : « 230 €… » La procureur avait requis 12 mois de prison dont huit avec sursis.
13 000 euros cachés au cimetière Montparnasse par des djihadistes
Les enquêteurs sont parvenus à démanteler la cellule terroriste de Strasbourg en novembre dernier en faisant passer l’un des leurs pour un sympathisant djihadiste. Et ont découvert que des complices avaient dissimulé une grosse somme d’argent à Paris.
La planque des terroristes est plutôt surprenante, en juin 2016, les policiers antiterroristes ont récupéré 13 300 euros glissés entre les dalles d’une tombe à l’abandon du cimetière du Montparnasse (Paris 14e). L’argent était destiné à l’achat de fusils d’assaut par une filière djihadiste, démantelée fin novembre 2016 à Strasbourg et à Marseille. Le groupe s’apprêtait à commettre un attentat en France.
Quelques mois plus tôt, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a reçu des informations indiquant qu’un certain Nil Shewil, alias Abou Taha Mohamed, préparait une action violente. Basé en zone irako-syrienne, il avait été filmé avec Rachid Kassim en train de décapiter deux otages.
Pour déjouer ce projet, les policiers ont réussi à infiltrer le réseau. Contacté par l’émir, le policier infiltré a alors reçu pour ordre de trouver « quatre fusils d’assaut kalachnikov et seize chargeurs ». Le « cyberpatrouilleur » reçoit plus tard un message sur l’application Telegram, utilisée par les terroristes, qui lui demande de récupérer l’argent dans le 14e arrondissement de Paris : « Salam Aleykum frero, le paquet est dans le cimetière Montparnasse. Prends un petit chemin de terre qui part à gauche du panneau vert 28e division 3e section continue tout droit (…) tu trouveras la tombe au nom de (…), le paquet est entre la pierre tombale et la dalle de la tombe dans une fente. »
Le lendemain, les policiers de la DGSI se rendent sur place et trouvent une enveloppe renfermant les 13 300 euros en billets de 50 et 100 euros.
Entre novembre et décembre, six hommes ont été mis en examen et écroués, soupçonnés d’avoir voulu commettre cet attentat le 1er décembre en région parisienne, notamment à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et au 36 Quai des Orfèvres.
Interpellés à Strasbourg et à Marseille pour, ils avaient fait allégeance au groupe Etat islamique et disposaient d’instructions « communiquées par un donneur d’ordre depuis la zone irako-syrienne ».
Le secrétaire général du Front National Nicolas Bay en visite secrète en Palestine occupée
L’ex mégrétiste, aujourd’hui secrétaire général du Front National va notamment rencontrer des membres de la communauté « francophone » en Palestine occupée
Le secrétaire général du Front National n’a pas twitté ni partagé l’info sur son Facebook. Pourtant depuis mercredi 25 janvier, il est en discrète visite dans l’entité sioniste.
Pour le député européen, ce déplacement est présenté comme « “privé” et a été délibérément tenu discret, quasiment secret », écrit le journalope (((Barak David))) dans Haaretz.
Nicolas Bay a rencontré dès son arrivée (((David Shayan))), une jeune figure montante de la droite israélienne, qui est président des Jeunes du Likoud, le parti de Benjamin Netanyahou. (((Shayan))) a confirmé avoir rencontré Bay, tout en ignorant à quelle formation politique il appartenait. « Ce n’est qu’après la réunion, qui n’était pas officielle, que j’ai appris que Bay était du parti de Marine Le Pen », a-t-il dit.
Selon « Haaretz », Nicolas Bay doit également rencontrer des membres de la communauté juive francophone israélienne.
Et Jean-Marie Le Pen est toujours Président d’Honneur…
Mercredi 25 janvier 2017, la Cour de cassation a validé la suspension de la procédure engagée par le parti en août 2015 en, « estimant qu’un tel procédé violait les propres statuts du Front national ».
Un recours, déposé dans la foulée, a été rejeté ce jeudi matin par la Cour d’appel de Versailles.
Ces deux victoires à la suite permettent à Jean-Marie Le Pen de conserver son titre président d’honneur. Une décision qui semble réjouir le fondateur du parti: « Ces décisions de justice s’imposent sans délai aux dirigeants du parti que j’ai fondé et dirigé durant 40 ans. Apaisement et rassemblement sont les préalables aux succès électoraux. Il faut maintenant panser les plaies d’une base militante meurtrie et en finir avec l’esprit d’exclusion », écrit-il dans un communiqué.
Ainsi, même en n’étant plus un membre officiel du FN, le patriarche Le Pen reste membre de droit de toutes les instances dirigeantes du mouvement.
Etranger
Europe
Le maire de Londres demande une tolérance zéro face aux actes antisémites
Le britannique de papier, de surcroit maire musulman de Londres, Sadiq Khan, appelle les Londoniens à signaler toute forme de crimes racistes, “peu importe sa trivialité”
Sadiq Khan a rencontré lundi soir des survivants de la Shoah©, dans le cadre du programme de la ville pour la Journée internationale de commémoration de l’Holocauste le 27 janvier.
« Je demande à tous les Londoniens de signaler toute forme de crime de haine, peu importe sa trivialité, a déclaré Khan au Guardian. Une brique avec une croix gammée jetée dans la fenêtre d’une maison juive n’est pas une question triviale, mais doit être traitée. »
« Ce n’est pas uniquement la personne qui est victime qui est touchée… mais les vagues du traumatisme sont ressenties par toute la communauté juive, et nous devons comprendre ce traumatisme psychologique », a-t-il ajouté.
« Nous avons le privilège de compter parmi nous à Londres des survivants de l’Holocauste, qui peuvent partager leurs mensonges histoires, qui enrichissent nos vies. Nous devons redoubler d’effort pour être certain que rien de ce genre n’arrive encore. »
Italie : l’envahisseur se noie dans la baie de Venise sous les quolibets de la foule
Un incident éclairant sur l’air du temps s’est produit à Venise. Un jeune Africain était en train de se noyer dans le Canal Grande et plutôt que de lui venir en aide, les gens l’ont observé ou filmé avec leur portable tout en se moquant de lui.
Sur les images qui ont été diffusées sur internet, on peut même entendre des remarques faites par les passagers des bateaux qui sont passés à côté de cet homme qui se débattait contre les éléments. « Il est stupide. Il veut mourir », « Vas-y, rentre chez toi », « Laissez-le mourir à ce moment », entend-on sur les images.
Plusieurs bouées de sauvetage lui ont toutefois été lancées sans que l’homme ne parvienne à les attraper. Pateh Sabally, Gambien de 22 ans arrivé en Italie en 2015 et auquel les autorités italiennes avaient octroyé l’asile, s’est donc noyé.
Le responsable des sauveteurs a déclaré qu’il ne voulait blâmer personne, avant d’ajouter que « quelque chose de plus aurait pu être fait pour le sauver ». Après que la vidéo a été diffusée sur des réseaux sociaux, une enquête sur l’incident a été ouverte.
En 2016, plus de 180 000 envahisseurs, dont la plupart sont venus d’Afrique subsaharienne, sont arrivés en Italie par bateau. Cela représente une augmentation de 18% par rapport à 2015.
Et cette véritable invasion migratoire est une charge supplémentaire sur les épaules des Italiens alors que l’État peine à subvenir correctement aux besoins de sa propre population victime de séismes, d’avalanches meurtrières faisant de nombreux sans-abris. Ceci expliquant peut-être cela…
Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=-RC7LDiQTy4
Grèce : le gouvernement Syriza ouvre la première mosquée d’Athènes financée par l’État
Athènes va avoir sa première mosquée officielle, d’une superficie d’environ 500 m². L’édifice ne pourra cependant accueillir qu’environ 350 fidèles en même temps. Mais c’est l’État qui finance sa construction dont le coût est estimé près d’un million d’euros !
Deux lois se sont succédé avant que les députés grecs (206 sur 300) partisans de l’invasion-colonisation de leur propre pays, n’adoptent finalement, en août 2016, un amendement ouvrant la voie à sa construction. Le ministre de l’Éducation et des Cultes Nikos Filis soulignait alors la nécessité pour «la cohésion sociale» de construire une mosquée à Athènes où vivent près de «200 000 musulmans».
Quatre autres mosquées à travers le pays, qui fonctionnaient jusqu’ici clandestinement, ont également obtenu des autorisations du gouvernement de traîtres. «Ces mosquées ne sont pas nouvelles, elles fonctionnaient depuis plusieurs années mais nous avons réussi à les légaliser», s’était félicité en août le ministre de l’Éducation.
Le projet avait été annoncé en 2000. Depuis le ministre avait imputé les retards à des problèmes «techniques et bureaucratiques», pour lequel il a fallu cinq appels d’offres avant que le chantier ne soit finalement attribué, en 2013. Mais il se heurtait également à la résistance de riverains se revendiquant grecs orthodoxes et du mouvement nationaliste Aube Dorée.
Les mosquées officielles de Grèce sont implantées en Thrace, région du nord-est du pays, frontalière de la Turquie, où vivent une minorité musulmane turcophone, des pomaques de langue slave et des Rroms de la région, également musulmans. Alors que moins de 5% de la population grecque se déclare de mœurs mahométanes, le flux migratoire de ces dernières années, avec l’arrivée des premiers envahisseurs venant du Pakistan ou d’autres pays musulmans, comme la Syrie ou l’Afghanistan, a accentué la revendication de mosquées.
L’invasion migratoire qui dure depuis plusieurs années maintenant produit ses premiers fruits empoisonnés : l’installation-colonisation de mœurs étrangères en terre européenne.
Allemagne : coup de filet dans les milieux nationalistes
Vexé du refus d’interdiction du NPD par la Cour constitutionnelle, le gouvernement d’Angela Merkel a lancé une vague de répression contre les nationalistes. Ainsi, dans tout le pays, et notamment à Berlin, 200 policiers ont perquisitionné une dizaine de logements. Ils ciblaient là principalement six personnes prétendument soupçonnées d’être prêtes à passer à l’action violente : deux sont en garde à vue. Leurs cibles présumées, des juifs, des réfugiés, des policiers. Le groupe visé dans ce coup de filet est proche de la mouvance dite des « Reichsbürger » (« les citoyens du Reich » en allemand).
Et le ministre de l’Intérieur s’est félicité : « Enfin, le terrorisme d’extrême-droite est réprimé par les autorités. La preuve, ce sont les mesures prises aujourd’hui et les interdictions décrétées l’an dernier. Nous sommes déterminés et vigilants concernant l’autorité de la loi. »
Mais au final le bilan est maigre : si quelques munitions et des armes ont bien été trouvées, la justice a toutefois du reconnaître qu’il n’existait pas d’éléments sur la préparation concrète d’une attaque !
Pitoyable et mesquine petite vengeance d’un pouvoir qui chancelle face au retournement de l’opinion contre sa politique d’accueil sans limite des envahisseurs…
Pays-Bas : « Si ici ça ne vous plait pas, partez ! »
À un mois et demi des élections législatives, le premier ministre néerlandais a décidé de montrer sa poigne en conseillant aux migrants qui refusent de s’adapter aux Pays-Bas de quitter le pays. Dans une interview au journal Algemeen Dagblad, le premier ministre Mark Rutte a invité les personnes qui ne se plaisent pas aux Pays-Bas à quitter le pays :
« Si vous ne vous plaisez pas ici, partez ! C’est un choix dont on dispose, non, quand on vit dans un pays dont le mode de vie déplait à ce point ? »
Rutte a ajoutté que les Néerlandais n’aimaient pas que des personnes venant dans leur pays en quête de liberté violent ses principes fondamentaux.
Discours qui témoigne de l’hostilité croissante des populations européennes vis-à-vis de l’invasion migratoire qui submerge l’Europe.
Autriche : une collégienne musulmane invente une agression raciste
L’affaire provoque pas mal de remous sur les réseaux sociaux. Une femme aurait crié à la jeune fille : « Vous ne faites pas partie de ce pays » et « Terroriste ». Puis la collégienne se serait retrouvée sur les voies, un passant l’aurait hissée au dernier moment sur le quai. La jeune fille de 14 ans aurait également été à l’hôpital. Et ses parents auraient porté plainte.
« Je trouve ça très grave et ces actes me font horreur ». Cette réaction et d’autres du même type, il y en a eu des quantités sur Internet peu de temps après que l’affaire a été connue. La jeune fille a échappé de justesse à la mort, pouvait-on lire sur la « Page des agressions racistes en Autriche ».
Mais manifestement la jeune fille a tout inventé. Interrogée par un médiat, la police a démenti cet incident. « Il y a certes une plainte, mais sur les enregistrements des caméras de surveillance on ne trouve nulle trace d’une altercation physique », a déclaré Irina Steirer, chargée des relations avec la presse. « On y voit seulement la jeune fille et la femme se tenir sur le quai et ensuite monter ensemble dans le RER. »
La jeune fille de 14 ans va être entendue de nouveau et la vidéo va lui être montrée. Elle risque maintenant d’être poursuivie pour dénonciation d’un crime imaginaire.
C’est à lire !
– Révolution de 1917, Trotski avait compte ouvert chez les banquiers de Wall Street :
Dans la terrifiante intimité des bolcheviks par Philippe Oswald
Monde
États-Unis : accusations de racisme contre la censure de Facebook
Une coalition rassemblant près de 80 associations antiracistes américaines, dont la puissante American Civil Liberties Union (ACLU), a accusé mercredi 18 janvier Facebook de procéder à une « censure en fonction de la race », en acceptant trop facilement à leur goût de supprimer des images de violences policières publiées sur le réseau social.
Les associations estiment que Facebook « applique inégalement » ses propres règles, et que son système de modération, largement basé sur les signalements des utilisateurs, est inefficace. Selon les associations, les militants antiracistes voient régulièrement leurs messages supprimés, alors que des communications appelant à la haine en fonction de l’origine, de la religion, ou de la sexualité des utilisateurs sont très présentes sur le réseau social. « Il y a un double standard en matière de modération, qui ne semble pouvoir être résolu que par l’action militante ou l’exposition médiatique de ce problème », écrivent les associations dans un communiqué.
En France, les associations SOS-Racisme, SOS-Homophobie et l’Union des étudiants juifs de France avaient mené l’été dernier une expérience en signalant des dizaines de commentaires racistes, antisémites ou homophobes sur Facebook, Twitter et YouTube. Les résultats du test étaient sévères pour les trois réseaux sociaux, même si Facebook, avec 53 suppressions sur 156 contenus qui lui avaient été signalés, était le « moins mauvais élève » des trois. Facebook et Twitter avaient ensuite commencé des discussions avec les trois associations.
Mais quand on connait la partialité des associations prétendues antiracistes qui considèrent toute critique des populations étrangères ou des phénomènes migratoires comme étant des opinions interdites, on se doute du chantage qu’elles sont capables d’exercer pour étendre toujours plus leur « police de la pensée ».
Syrie : accord sous l’égide russe, turque et iranienne et frappes contre Daech
Des négociations inédites entre Damas et « l’opposition armée » s’étaient ouvertes lundi dernier à Astana dans la capitale du Kazakhstan sous l’égide russe, turque et iranienne. Les parrains de ces discussions sont les pays engagés sur le terrain, soutiens du régime, comme la Russie ou l’Iran, ou de l’opposition, comme la Turquie. « Le format de la “troïka” a montré jusqu’ici toute sa pertinence », avait souligné le patron de la diplomatie russe lors de sa présentation le 20 décembre 2016 à Moscou, en rappelant que ces pays ont « une influence réelle sur le terrain ».
Et mardi, la Russie, la Turquie et l’Iran ont trouvé un accord pour consolider le cessez-le-feu en Syrie, même si peu de progrès ont été réalisés en vue d’avancer vers un règlement du conflit au terme des négociations entre rebelles et émissaires du régime.
Les trois pays parrains des pourparlers de paix vont créer « un mécanisme pour surveiller et s’assurer de la complète mise en œuvre du cessez-le-feu et éviter toute provocation » en Syrie, selon la déclaration finale adoptée après deux jours de discussions dans la capitale du Kazakhstan.
Le « groupe opérationnel » doit commencer son travail « dès février à Astana » avec objectif de « surveiller le cessez-le-feu », a précisé l’envoyé spécial du président Vladimir Poutine pour la Syrie, Alexandre Lavrentiev, jugeant « globalement positif » le résultat de ces négociations.
Les Russes ont par ailleurs affirmé avoir transmis aux rebelles un projet de Constitution rédigé par leurs soins afin d’accélérer le processus.
Néanmoins, La déclaration finale de la réunion n’a pas été signée par les deux délégations syriennes, celle du régime et celle des rebelles, qui ont refusé pendant ces deux jours de négocier directement.
Quant aux Américains et au reste de la coalition internationale, ils semblent hors jeu. Certes, ils ont finalement été conviés, geste du Kremlin vis-à-vis de la nouvelle administration de Donald Trump, mais ils seront réduits à jouer les utilités dans les couloirs, comme par ailleurs la France…
Conformément à sa doctrine, en parallèle des pourparlers d’Astana avec les groupes rebelles, la Russie a frappé les jihadistes de l’État islamique mardi 24 janvier. Six bombardiers Tupolev Tu-22M3 ont décollé de Russie et ont réalisé des frappes contre les terroristes de l’État Islamique dans la province syrienne de Deir ez-Zor, a indiqué le ministère russe de la Défense. Un Su-30SM et un Su-35S ont couvert les bombardiers russes depuis la base militaire de Hmeimim, a précisé le ministère.
« Le 24 janvier 2017, six bombardiers à long rayon d’action Tu-22M3 ont décollé d’un aérodrome situé en Russie et, après avoir survolé l’Iran et l’Irak, ont effectué une frappe aérienne conjointe contre un atelier de fabrication de munitions et d’explosifs aux alentours de la localité de Salikhiya, contre des dépôts d’armes et de munitions des terroristes de Daech, ainsi que contre des sites de stockages d’équipements militaires de Daech dans la province de Deir ez-Zor ».
Vidéo :
C’est à lire !
– « Diego Garcia », l’intrigante base américaine dans l’océan Indien :
Base US de Diego Garcia : la sombre histoire dont les médias ne parlent pas
Vidéo
Hitlerjunge Quex (1933) vost
https://www.youtube.com/watch?v=3Jlp_U1XA-E
Kiosque
Rivarol
N° 3267 du 65 janvier 2017 – spécial 16 pages
Sommaire :
En Afrique aussi le bilan de Hollande est calamiteux ; Religion de la shoah : Fillon dans le sillage de Chirac ; Le revenu universel, c’est l’enfer fiscal, l’assistanat généralisé et l’immigration décuplée ; Trump : un discours d’intronisation historique, nationaliste, protectionniste et populiste ; Michel DRAC : “Plus il y a de gens qui s’attendent à une manipulation, moins les manipulateurs ont intérêt à agir” ; Alain Bauer, tuteur de l’étranger etc…
3,5€ en kiosque ou en ligne ici
ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande difficulté) : 100 euros.
RIVAROL 19 avenue d’Italie 75013 Paris Tél. : 01-45-86-06
Ephéméride nationaliste
27 janvier 1896 : naissance de Agustín Muñoz Grandes (biographie)
27 janvier1918 : naissance de thies christophersen
27 janvier 1930 : naissance de Erwan Bergot (biographie)
Agenda
Dijon : Conférence d’Hélène Grimaldi, présidente du CFH
28 janvier 2017 à 18h00
© Jeune nation – 2017
La Passerelle, circa 1760, François Boucher
(Collection privée)
Selon un responsable de l’AfD : « Il n’appartient pas (a un francais) de décider qui peut participer ou non à une commemoration » (en Thuringe).
http://www.rfi.fr/europe/20170127-allemagne-elu-afd-relativise-shoah-marge-berlin-commemoration
« L’atout social de Macron » (1 milliard de chiffre d’affaires), qui « revient tout juste d’un déplacement à Mayotte dans le domaine de la protection de l’enfance » serait amateur de partouzes ?
http://www.ressources-solidaires.org/Jean-Marc-Borello-l-atout-social-d
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/08/14/27837462.html
Financer Tsahal pour payer moins d’impôts en France, c’est non seulement possible, mais c’est meme de plus en plus facile (Cerfa en 1 clic) ! On peut egalement se convertir en ligne, contre un modeste forfait variant de 800 a 2 200 dollars.
http://www.rfi.fr/france/20140801-financer-armee-israelienne-tsahal-payer-moins-impots-france-fiscalite-dons-gaza-cisjordanie
http://www.haaretz.com/jewish/features/1.763469