Saint Jean Bosco
Fondateur des sociétés de Saint-François-de-Sales et des Filles de Marie-Auxiliatrice (✝ 1888)
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Compte-rendu de la conférence organisé par le Parti Nationaliste Français Bourgogne : « Brasillach, Primo de Rivera et la Phalange espagnole »
- La dictature: une solution pour redresser la France? (2/3) – Vincent Reynouard
Actualité nationaliste en Europe
- Manifestation de l’Aube Dorée – Imia 2017
- Gênes (Italie) : Conférence de l’APF
France
- Jawad Bendaoud, logeur de terroriste, en pro+6cès pour trafic de drogue
- Mehdi Boulenouane, caution de 500 000€ en cash : émeutes à Grenoble
- Aziz Allag : tentative de meurtre au cocktail Molotov sur un braquage
- Six Roumains torturent et violent un prêtre à Montfort l’Amaury
- Mohamed Lahouaiej Bouhlel poussait sa femme à bout
- Mise en examen, une Musulmane repart en Syrie rejoindre Daech
- Macron, faux candidat antisystème soutenu par les médias et des milliardaires
- Le FN perd son groupe à Lyon sur fond de divisions internes
- Front national Bourgogne-Franche-Comté : le groupe de Sophie Montel perd une conseiller régional
- La Fondation Soros contre la sécurité et la protection des Français
Etranger
Europe
- Croatie : le directeur du lycée refuse l’expo Anne Franck
- Allemagne : l’invasion migratoire a couté 21 milliards d’euros en 2016 au contribuable
- Suisse : des étudiants expulsés pour loger ces envahisseurs qu’on appelle « migrants »
- Suède : renforcement de la sécurité des centrales nucléaires contre le terrorisme
- C’est à lire !
Monde
- État juif : les combines de Netanyahu pour se maintenir au pouvoir
- Chine : future mise en service d’un drone furtif emportant 2 tonnes de bombes
- C’est à lire !
Vidéo
- Robert Faurisson défend sa thèse sur Lautréamont chez Michel Polac
Radio
- Méridien Zéro Pavillon Noir #14 – “Chronique du 30 janvier 2017”
Ephéméride nationaliste
- 31 janvier 1941 : naissance d’ Eugène Terre’Blanche
Agenda
- Commémoration du 6 février
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Actualité nationaliste en France
Compte-rendu de la conférence organisé par le Parti Nationaliste Français Bourgogne : « Brasillach, Primo de Rivera et la Phalange espagnole »
Ce samedi 28 janvier, le Parti Nationaliste Français de Bourgogne et le rassemblement unitaire Bourgogne Nationaliste, organisaient leur première conférence de l’année 2017 ! Une quarantaine de personnes avaient répondu présent à l’invitation des deux structures, venant confirmer le succès croissant de nos conférences bimestrielle !
L’invitée du mois de janvier était Hélène Grimaldi, présidente du Cercle Franco-Hispanique, une association fondée en 1982 et qui s’attache à faire connaitre l’Espagne nationaliste et le national-syndicalisme de José Antonio Primo de Rivera dans notre pays. Elle donna à l’assemblée une conférence consacrée à « Brasillach, Primo de Rivera et la Phalange espagnole », permettant aux personnes d’en savoir plus sur cette doctrine très méconnue en France, malgré les liens importants ayant existé avec les Nationalistes Français de l’époque.
La conférence fut suivie d’une série de questions assez pointues, qui permirent de donner d’utiles précisions sur certains aspects du thème. Puis les discutions se poursuivirent autour du verre de l’amitié et des deux stands présents, avant qu’une vingtaine des participants n’aillent s’attabler pour un repas en compagnie la conférencière et continuer ainsi la soirée dans une ambiance chaleureuse et conviviale !
La dictature: une solution pour redresser la France? (2/3) – Vincent Reynouard
Dans cette série de 3 vidéos, Vincent Reynouard répond à un spectateur selon lequel la France « a besoin d’un régime autoritaire pour imposer, par la force s’il le faut, les décisions qui permettraient de redresser le pays ». Loin d’être contre, Reynouard précise cependant les choses….
https://www.youtube.com/watch?v=hO5wDff78-A&feature=youtu.be
Actualité nationaliste en Europe
Manifestation de l’Aube Dorée – Imia 2017
L’Aube Dorée a manifesté ce samedi 28 janvier 2017 à Athènes pour marquer l’anniversaire de la crise de 1996 autour des deux ilots rocheux et inhabités d’Imia, situés en mer Egée et faisant partie du Dodécanèse, qui se trouvent sur la frontière gréco-turque. Pendant quelques jours la tension a été vive, les forces navales des deux pays étant mobilisées. Lors de cette opération, l’accident d’un hélicoptère militaire a provoqué la mort de trois officiers grecs. Pour les nationalistes, derrière le terme « accident » se cachait l’incurie et la pusillanimité d’un gouvernement ayant trahi et bradé la souveraineté nationale.
Depuis, chaque année, à la date de l’anniversaire de l’événement, l’Aube Dorée organise un rassemblement en la mémoire de cet évènement et en hommage à ces trois officiers militaires.
Gênes (Italie) : Conférence de l’APF
Avec Yvan Benedetti, directeur de Jeune Nation et porte-parole du PNF.
France
Jawad Bendaoud, logeur de terroriste, en procès pour trafic de drogue
Jugé pour trafic de drogue, le logeur présumé de deux djhadistes des attentats du 13 novembre a fait une apparition brève mais remarquée au tribunal de Bobigny. Il a écopé de 8 mois ferme et a par ailleurs été placé en garde à vue après avoir insulté des policiers pendant son procès.
«Enfant de p…, enc… de ta mère» (ad libitum). Jawad Bendaoud entre dans le box de la 13e chambre correctionnelle de Bobigny, menotté dans le dos, surexcité. Ses cheveux très noirs sont retenus en catogan, il porte un bouc et une moustache soigneusement entretenus. Devant le tribunal qui va le juger pour trafic de stupéfiants, il continue de hurler, mettant en cause les policiers: «Ils m’ont tapé ces fils de p… C’est des hommes ça? Dehors, quand tu veux! Il m’a rentré la matraque dans les parties, je suis pas Salah Abdeslam!».
La présidente, très posée, attend que Jawad Bendaoud se calme, demande à ses avocats si la chose est envisageable, en vain. «Redescendez Monsieur au dépôt», ordonne-t-elle à l’escorte. Exit le prévenu qui, lors d’une précédente convocation, avait refusé de comparaître.
Reste son complice supposé, Mohamed Soumah. Il est, lui, extrêmement poli. «J’aimerais exercer mon droit au silence», déclare-t-il. Il se taira donc au sujet des faits présumés, mais s’exprimera brièvement sur sa personnalité et, plus précisément, sur les seize mentions qui ornent son casier judiciaire (contre six seulement pour celui de M. Bendaoud): «J’ai fait beaucoup de c… que je regrette, j’étais jeune, c’était pas facile à la maison. J’ai mûri, c’est plus pareil, vous voyez».
L’expulsé – qui doit sa triste célébrité au fait qu’il a logé des terroristes de novembre 2015 à Saint-Denis – et le semi-muet ont été mis en examen dans le cadre de l’instruction sur les attentats islamistes du 13 novembre 2015.
Le procureur, Jean-Cédric Gaux, : «les prévenus ne pouvaient pas ignorer les conséquences de leurs déclarations», et l’affaire est suffisamment sérieuse, qui porte sur «plusieurs centaines de grammes de cocaïne» selon les intéressés. «On n’est pas sur un «dépannage» de cannabis, en présence de guetteurs de hall d’immeuble», enchaîne le magistrat. Il requiert à l’encontre de Mohamed Soumah, qui aurait manipulé de plus importantes quantités de drogue, 3 ans de prison, un mandat de dépôt, 5000€ d’amende et trois ans d’interdiction de séjour en Seine-Saint-Denis. À l’encontre de Jawad Bendaoud, un an de prison, un mandat de dépôt et la même interdiction de séjour départementale. Ce dernier écope finalement de 8 mois de prison ferme et d’un mandat de dépôt. Mohamed Soumah, lui, est condamné à deux ans ferme.
Jawad Bendaoud a été placé en garde à vue au commissariat de Bobigny: les policiers qu’il a injuriés ont porté plainte pour menaces de mort, outrage et apologie du terrorisme.
Mehdi Boulenouane, caution de 500 000€ en cash : émeutes à Grenoble
La caution de 500 000 € d’un trafiquant avait été réglée en liquide. L’enquête pour déterminer l’origine des fonds a abouti à une vague d’arrestations la semaine dernière et à des représailles dans la cité.
Même si, comme le veut l’adage, l’argent n’a pas d’odeur, il faut quand même pouvoir en justifier l’origine. Qui plus est quand il s’agit de régler une caution de 500 000 € en liquide en échange de la remise en liberté d’un prévenu dans une affaire de trafic de drogue. Une dizaine de personnes — soupçonnées de blanchiment lié à un trafic de stupéfiants — ont été présentées à un juge d’instruction de Lyon. Une dizaine d’autres devraient suivre le même chemin.
Interpellés mardi dernier, ces suspects faisaient l’objet d’investigations menées par les enquêteurs de la police judiciaire de Lyon et de l’antenne de Grenoble (Isère), après la remise de mille billets de 500 € destinés à assurer la libération, au mois de juin, de Mehdi Boulenouane, présenté comme le caïd de la cité Mistral à Grenoble. A l’époque, pas moins d’une trentaine de « généreux donateurs » s’étaient pressés à la régie du tribunal de grande instance de Lyon afin d’y déposer la somme réclamée par la justice. L’un d’eux avait même versé 70 000 €.
Devant l’impossibilité de le maintenir en détention, le parquet avait aussitôt fait appel de cette décision et le trafiquant présumé, âgé de 31 ans, avait été réincarcéré au mois d’août dans l’attente de son jugement dans le cadre d’un vaste trafic de drogue. Le procès a eu lieu en octobre et il a écopé de dix ans de prison. Il a fait appel de ce jugement. Le même homme a aussi été condamné, mardi, à trente mois d’emprisonnement pour une escroquerie aux crédits à la consommation.
La vague d’arrestations déclenchée mardi dans le dossier de la caution a suscité des représailles dans la cité Mistral. De nombreux proches de Mehdi Boulenouane — et notamment sa compagne, ainsi que l’un de ses avocats, Me David Metaxas — ont aussi été interpellés.
Une voiture a été projetée contre une salle polyvalente de ce quartier sensible de Grenoble. Le véhicule a ensuite été incendié. Le feu a totalement ravagé le bâtiment. Venus sécuriser les lieux, des policiers ont fait l’objet de plusieurs jets de cocktails Molotov.
On nous dit que c’est une vengeance par rapport à des arrestations dans la cité. Mais ce sont les habitants qui payent les pots cassés. Ici, tout est pourri par le trafic de drogue. Et dès que les policiers dérangent les petites affaires des dealeurs, ça part en vrille. »
« Sur le strict plan légal, rien n’interdit de payer en liquide une telle caution, rappelle Me Thomas Bidnic, un autre avocat de Mehdi Boulenouane. Et parler de blanchiment alors qu’il s’agit de l’exécution d’une décision de justice, cela n’a pas de sens. »
Aziz Allag : tentative de meurtre au cocktail Molotov sur un braquage
Provocateur, Aziz Allag comparaît devant la cour d’assises du Haut-Rhin, pour y répondre d’un braquage accompagné d’une tentative de meurtre, commis en janvier 2011 dans une station essence de Mulhouse. Il a toujours nié les faits.
Le 30 janvier 2011, peu après 17 h, un homme vêtu d’une large doudoune blanche pénètre dans la station essence Total de l’avenue de Colmar, à Mulhouse. Malgré la nuit tombante, son visage est en partie masqué par une paire de Ray-Ban. Il tient surtout en main une boîte de conserve, enflammée à l’aide d’alcool à brûler. Un cocktail Molotov de fortune, qu’il lance sans sommation au visage de la caissière, aussitôt transformée en torche humaine. Rictus aux lèvres, son agresseur s’enfuit sous les yeux de témoins médusés, après avoir raflé le contenu du tiroir-caisse, soit quelque 1 000 € en liquide. Grièvement brûlée au visage et au torse, la victime va rester plongée en coma artificiel pendant deux mois, le temps que ses souffrances deviennent tout juste tolérable.
Six ans plus tard, ou presque, le procès d’Aziz Allag, âgé aujourd’hui de 40 ans, s’est ouvert devant la cour d’assises du Haut-Rhin, à Colmar. L’accusé, qui est arrivé libre à l’audience, a toujours nié être l’auteur de l’attaque. La victime, en revanche, est convaincue de l’avoir reconnu, en le croisant en juillet 2011 en plein cœur du quartier mulhousien de Bourtzwiller. Seule certitude : l’intéressé est un habitué des tribunaux. Conduite en état alcoolique, vols, recels et menaces de mort… Son casier judiciaire porte trace de 22 condamnations, mais lui n’y voit que des « petites bêtises de jeunesse », commises pour financer ses achats de cannabis. Depuis quelques temps, il préfère carburer à la bière Bavaria 8.6, au Lexomil et au Subutex. Résultat : d’une voix pâteuse, il multiplie les propos fantasques et vindicatifs, flirtant à chaque instant avec l’outrage. Cela commence dès le tirage au sort des jurés : « On joue au bingo, là, ou quoi ? » La présidente de la cour Marie-Catherine Marchioni s’interrompt aussitôt, pour se tourner vers l’avocat de la défense : « Me Bentayeb, vous n’avez pas un rôle facile, mais je vous invite à canaliser votre client… »
Rebelote 20 minutes plus tard, à l’occasion de l’interrogatoire de curriculum vitae. « Par quoi vous voulez que je commence ?, grogne l’accusé. J’ai vécu une belle enfance, mes parents étaient même trop gentils… Et puis j’ai couché avec plein de filles ! » La présidente tente en vain de guider son propos : « Oui, bon, pour l’instant, on s’intéresse à votre enfance. » « Ah, mais j’ai commencé très tôt… » À l’évidence, l’accusé se désintéresse des questions qu’on lui pose. Ses relations familiales ? « Qu’est-ce que ça a à voir avec l’affaire ? » Ses études ? Il hausse les épaules : « J’ai quitté le collège en 4e. J’ai jamais aimé l’école, j’arrêtais pas de redoubler. » Le mariage, la vie de couple, les enfants ? « C’est pas mon truc », répète-t-il à trois reprises, d’un ton monocorde. « Je vivais aux crochets de mes parents. Le RSA, quand on sait gérer, ça suffit. » Imperturbable, la présidente poursuit son interrogatoire : « Comment occupez-vous vos journées ? » « La télé et quelques bières. » « Et vous en avez bu, des bières, avant de venir ce matin ? » « Oui, une. » « Et vous avez aussi pris des médicaments ? » « Oui. 0,8 mg de Subutex et quatre Lexomil. » « C’est beaucoup, ça, M. Allag. » « Pour vous peut-être… » Le dialogue de sourds se prolonge jusqu’en fin de matinée. Peu avant midi, un officier de policier vient déposer à la barre. Il résume l’enquête de la brigade criminelle de Mulhouse, parle d’une agression d’ « une violence inouïe » , d’un mode opératoire « jamais vu en 25 ans de carrière ». Impassible, Allag n’écoute même pas, trop occupé à inspecter la lampe de pupitre posée devant lui.
À la reprise, à 14 h précises, il n’est carrément pas là du tout. Il arrive avec 20 bonnes minutes de retard : « Je ne connais pas Colmar, je me suis perdu… » Vrai ou pas, l’excuse est rejetée par la cour : le voilà placé sous mandat de dépôt. Serré de près par deux policiers, Aziz Allag rejoint le box vitré situé derrière son avocat. Va-t-il changer d’attitude ? Au contraire. Il multiplie les interventions intempestives, allant jusqu’à injurier un second policier venu témoigner à la barre : « Mythomane, enlève ta sale gueule de là ! J’ai rien à faire ici, moi ! C’est pas moi qui ai fait le coup… » C’en est trop. La présidente l’envoie, sous bonne escorte, se calmer hors du prétoire.
Il revient trois quarts d’heure plus tard, pile pour le début d’une visioconférence avec un témoin de l’affaire… lui-même détenu pour violences conjugales : « La moitié de Bourtzwiller sait qu’Aziz est l’agresseur de la caissière, assène le témoin. Moi, il m’a jeté un vélo de 30 kg au visage, en m’accusant de l’avoir balancé à la police, alors qu’ il s’est lui-même vanté du coup dans tout Mulhouse. Attention, madame la présidente, c’est un vicelard ! C’est un type qui agresse les personnes vulnérables, les faibles… » Pour la première fois de la journée, l’accusé tente – un tout petit peu – de se contrôler, en maugréant tout bas…
Six Roumains torturent et violent un prêtre à Montfort l’Amaury
Six individus ont été condamnés par la cour d’assises des Yvelines pour avoir agressé et torturé un prêtre à Montfort l’Amaury.
La cour d’assises des Yvelines a rendu son verdict dans une violente affaire remontant au mois d’octobre 2011. Six hommes et femmes ont écopé de quatre à huit années de réclusion criminelle. Les accusés, originaires de Roumanie, sont âgés de 22 à 43 ans. Le procès, qui se déroulait à huis clos, s’est terminé le mercredi 25 janvier.
C’est dans la nuit du 2 au 3 octobre 2011 que la bande avait agressé un prêtre de 88 ans à son domicile de Montfort l’Amaury. L’homme d’Église avait été torturé pour qu’il donne sa carte bancaire et son code secret. Les malfrats lui avaient mis un club de golf dans la bouche. Ils avaient également montré leur intention de lui couper les doigts avec un sécateur. L’un avait obligé le religieux à subir un acte sexuel. Les voleurs étaient ensuite repartis avec un ordinateur. À l’extérieur, ils étaient attendus par un couple chargé d’assurer leur fuite en voiture.
Dans les heures et jours suivants, deux retraits seront réalisés, pour une somme de 1 000 euros. L’équipe avait aussi tenté d’acheter des vêtements et des chaussures. Chacun sera identifié au fil des semaines par les gendarmes de la brigade de recherche de Rambouillet.
Lors du procès, le prêtre a témoigné à la barre. Il a déclaré qu’il accordait son pardon à ses tortionnaires.
Certains des accusés ont affirmé avoir agi sous l’influence du couple.
Dans ce dossier, l’avocat général avait requis dix ans de prison.
Mohamed Lahouaiej Bouhlel poussait sa femme à bout
D’après «GQ», Mohamed Lahouaiej Bouhlel s’amusait à uriner sur les pieds de son épouse, à étaler ses selles sur les murs et à «éviscérer» les peluches de leurs enfants.
Le procureur de Nice Jean-Michel Prêtre a donné une conférence de presse, durant laquelle il a annoncé que les plaintes sur la sécurité de la Promenade des Anglais, provenant de familles de victimes des attentats de Nice, avaient été classées.
Le magazine «GQ» est revenu très longuement sur les circonstances de l’attentat de Nice, survenu le 14 juillet 2016. Le média s’est également attardé sur la personnalité de Mohamed Lahouaiej Bouhlel et donne des détails déroutants sur sa vie d’homme marié. Né à Msaken, au nord-est de la Tunisie, il était un garçon désobéissant qui frappait ses camarades et qui cassait les portes chez lui.
Le jeune homme était obsédé par son apparence: «Je suis laid», avait-il confié à un psychiatre en 2004, alors qu’il était âgé de 19 ans. Le spécialiste lui a prescrit des antidépresseurs, un anxiolytique et de l’Haldol, un médicament souvent donné pour soigner la schizophrénie et l’agressivité. «C’étaient les débuts d’une psychose. Il ne vivait pas dans le monde réel», avait expliqué le psychiatre au «Times».
Mohamed Lahouaiej Bouhlel ne voyait qu’une seule issue pour s’en sortir: le mariage. A Nice, où il a été élevé, il a épousé sa cousine germaine Hajer Khalfallah en 2006. Il avait 22 ans, elle en avait 21. La jeune femme s’est longuement confiée à la police sur leur union chaotique. «Au début, nous étions heureux. Mais c’était toujours lui en premier. Il faisait très attention à lui-même», a-t-elle expliqué.
En 2010, Lahouaiej Bouhlel a décroché un travail dans une société de distribution de boissons. Mais après six mois, des clients se plaignaient déjà de son comportement déplacé. Fin 2011, après une soirée de boîte, plusieurs serveuses et serveurs ont rapporté avoir reçu des avances inappropriées du jeune homme.
C’est à ce moment-là que le mariage du Tunisien a commencé à prendre l’eau. Il critiquait la cuisine et le ménage que faisait sa femme et passait énormément de temps avec sa mère. Un soir, Hajer Khalfallah est sortie sans l’autorisation de son époux. Celui-ci a répliqué en «éviscérant» la peluche d’un de ses enfants avec un couteau. Un autre jour, il a fait ses besoins dans leurs lits et étalé ses excréments sur les murs. «Il voulait me pousser au divorce pour pouvoir vivre une vie de célibataire, sortir avec des filles et aller en boîte», a témoigné son ex-femme, qui a déposé plusieurs mains courantes contre l’individu.
Hajer Khalfallah subissait constamment les humiliations de son mari, qui s’amusait à uriner sur ses pieds ou à lui verser du vin sur le visage pendant son sommeil. Le couple a fini par entamer une procédure de divorce et Lahouaiej Bouhlel a trouvé refuge chez son ami Roger, un homosexuel qui était très attiré par le Tunisien. «J’aurais adoré être son amant. Il était beau. Je lui ai fait quelques avances mais j’ai très rapidement compris que je ne l’intéressais pas. Il aimait trop les femmes», a confié Roger aux enquêteurs.
Le 14 juillet 2016, Mohamed Lahouaiej Bouhlel tuait 86 personnes et en blessait 458 en faisant irruption sur la promenade des Anglais, à Nice, au volant d’un poids lourd.
Mise en examen, une Musulmane repart en Syrie rejoindre Daech
Alors qu’elle se trouvait sous contrôle judiciaire à la suite d’un premier séjour en Syrie, Sonia Belayati, une « Française de papier » de 23 ans est soupçonnée d’être repartie en zone irako-syrienne en novembre dernier. Un mandat d’arrêt a ensuite été délivré à son encontre.
Originaire de Saint-Etienne (Loire), elle était partie une première fois en Syrie en mars 2015 pour rejoindre les rangs du groupe Etat islamique (EI). « Elle a travaillé pour l’organisation terroriste Daech pendant trois mois. Elle s’est mariée avec un combattant étranger haut placé du groupe », avait à l’époque relaté un responsable turc sous couvert d’anonymat.
Elle devait pointer au commissariat une fois par semaine La jeune Française s’était ensuite séparée de son mari et avait été incarcérée dans une prison appartenant à Daech. Une fois remise en liberté, elle avait réussi à gagner la Turquie où elle avait ensuite été interpellée en juin 2015, selon ce même responsable. Renvoyée en France, elle avait été mise en examen à Paris le 27 juin 2015 pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » et placée sous contrôle judiciaire.
Dans le cadre de ce contrôle judiciaire, elle devait notamment pointer une fois par semaine au commissariat et avait l’interdiction de quitter le territoire, d’après la source proche de l’enquête. Les investigations laissent à penser qu’elle est repartie en zone irako-syrienne début novembre.
Selon le procureur de la République de Paris François Molins, 693 « Français » – dont 288 femmes et 20 mineurs – sont identifiés à ce jour comme combattants dans les rangs de Daech.
Au total, 1.236 personnes sont dans le viseur de la justice française pour leur implication dans des filières irako-syriennes : parmi elles, 355 ont été mises en examen, dont 112 femmes, les autres sont pour la plupart recherchées et font l’objet de mandat d’arrêt ou de mandat de recherche.
Macron, faux candidat antisystème soutenu par les médias et des milliardaires
L’ancien ministre Macron est présenté par les médias comme un homme neuf, qui veut avec rompre avec le système.
Cette liste n’est bien évidemment pas exhaustive.
Des politiques
- Gérard Collomb le sénateur-maire de Lyon
- (((Daniel Cohn-Bendit)))
- le député PS Richard Ferrand
- le sénateur de la Côte-d’Or François Patriat
- le député de la Manche Stéphane Travert
- le député des Français de l’étranger Arnaud Leroy
- l’ex-ministre et sénatrice de Seine-et-Marne Nicole Bricq
- l’eurodéputée Sylvie Goulard, du Modem
- l’ancien ministre sous Chirac Renaud Dutreil
- (((Bernard Kouchner))), ex mittérandiste, ex-sarkozyste
- Jean-Paul Huchon, ex président du conseil régional d’Île-de-France
- (((Corine Le Page))), ancienne ministre de l’Environnement d’Alain Juppé
- Jean-Marie Cavada, président du mouvement Génération citoyens, ancien du Nouveau Centre
- Jean Claude boulard sénateur maire du Mans
- le FM:. député de Corse Paul Giacobbi qui vient d’être condamné à 3 ans de prison ferme pour détournement de fonds publics
Par ailleurs, il semblerait de plus en plus qu’Emmanuel Macron soit soutenu discrètement par François Hollande.
Des personnalités très fortunées
- le milliardaire (((Xavier Niel))), PDG de Free, copropriétaire du groupe Le Monde
- Jacques-Antoine Granjon, PDG de Vente Privée
- (((Marc Simoncini))), PDG de Meetic
- Christian Dargnat ( ancien haut dirigeant de BNP-Paribas
- Mathieu Laine, fondateur de la société de conseil en stratégie Altermind
- Catherine Barbaroux, ex dirigeante de l’Adie, association de microcrédit
- Françoise Holder, les Boulangeries PAUL
- Le libanais Bernard Mourad, ancien banquier conseil de (((Patrick Drahi)))
Des personnalités du monde des médias
- (((Jacques Attali)))
- Emmanuel Chain, producteur de l’émission Capital
- (((Laurence Haïm))), ex I-Télé
- (((Alain Minc)))
Macron n’a rien d’un candidat en dehors du système.
Le FN perd son groupe à Lyon sur fond de divisions internes
À quelques jours du lancement de la campagne de la Le Pen à Lyon, le Front national local affiche ses divisions. Le parti frontiste a perdu son groupe à la métropole, ses deux élus n’arrivant pas à travailler ensemble.
Le week-end des 4 et 5 février, la Le Pen sera à Lyon pour lancer officiellement sa campagne présidentielle. Le groupe FN à la métropole va être dissous. Composé de deux membres – Christophe Boudot, élu lyonnais, et Michel Casola, élu de Villeurbanne –, il vient d’exploser après la démission de Michel Casola. Car à la métropole de Lyon, le règlement intérieur prévoit qu’il faut un minimum de deux élus pour former un groupe politique.
Avec cette dissolution, le parti perd une tribune mais aussi un collaborateur alors que le FN a besoin de permanents politiques pour assurer son développement. « Avec Christophe Boudot, on ne se parle pas. A Villeurbanne, nous travaillons en équipe pour préparer les conseils municipaux. A la métropole, je travaille tout seul. Je ne fais rien avec Christophe Boudot », avance Michel Casola pour expliquer sa décision de quitter le groupe FN et ainsi de le dissoudre.
Michel Casola pointe aussi l’absentéisme de Christophe Boudot, par ailleurs président du groupe FN au conseil régional, conseiller municipal à Lyon et assistant parlementaire de l’eurodéputé Bruno Gollnisch.
Front national Bourgogne-Franche-Comté : le groupe de Sophie Montel perd une conseiller régional
En Bourgogne-Franche-Comté, le Front national deviendrait, selon certains membres, « une pétaudière lamentable ».
Depuis les élections régionales de 2015, Sophie Montel, proche du vice-président du parti Florian Philippot, dirige un groupe d’opposition de 24 élus au sein de la nouvelle région. Ou plutôt 23. Car la conseillère régionale Valérie Redl a décidé de lancer une fronde contre son parti, entraînant dans son sillage d’anciens candidats aux départementales de 2015, qui assurent ne pas avoir été remboursés de leurs frais de campagne.
La première salve a été tirée le 6 janvier. Préinvestie comme candidate aux élections législatives dans la 4e circonscription de Saône-et-Loire, Valérie Redl annonce au Journal de Saône-et- Loire renoncer à se présenter « par solidarité pour nos candidats (…) qui n’ont pas été réglés de leurs frais ». « Pour certains, cela représente plus de 1 000 euros. Pour un ouvrier, c’est énorme », dénonce-t-elle.
La mesure de rétorsion ne se fait pas attendre. Le 12 janvier, en séance plénière, la direction du groupe fait passer parmi ses troupes une feuille à signer, sans préciser son objet réel : exclure la frondeuse. « J’ai vu une liste circuler dans mon dos. Naïvement, j’ai cru que c’était une carte d’anniversaire », Mme Redl.
Comme pour les élections législatives, les candidats aux départementales ont, la plupart du temps, acheté un kit de campagne – affiches, tracts… – produit par la société Riwal, dirigée par Frédéric Chatillon, proche de la Le Pen. L’achat du kit était financé par un prêt contracté auprès de Jeanne, microparti de la présidente du FN à hauteur de 3 940,50 euros. Seul hic, la Commission nationale des comptes de campagne a réformé une grande partie des comptes de campagne au motif, notamment, que le prix du kit était « surévalué ».
Le remboursement accordé par l’Etat a été diminué de plusieurs centaines d’euros pour chaque candidat. Ce qui ne permet pas, disent certains, de couvrir les frais personnels engagés. Et il est impossible de retrancher ces frais du prêt accordé par Jeanne, qui réclame un « remboursement intégral
». Dans une note transmise par le secrétariat général du FN, ce dernier est présenté comme « un impératif financier mais aussi légal, puisqu’un candidat ne remboursant pas son dû se rendrait coupable d’enrichissement sans cause et nous obligerait à mettre en oeuvre une procédure contentieuse de recouvrement de créance ».
Au-delà de ce scrutin, certains ex-candidats se plaignent d’avoir engagé des frais pendant la campagne des régionales 2015 sans avoir été remboursés par le FN. Le renvoi en correctionnelle du FN et de deux de ses dirigeants pour répondre du financement des campagnes présidentielle et législatives de 2012 a motivé certains à prendre la parole.
Un cadre du parti en Bourgogne-Franche-Comté reconnaît, sous couvert d’anonymat, « que des candidats à des scrutins ont été mal remboursés… Ou pas du tout. Chaque tête de liste régionale gérait cette question. »
Jean-Lin Lacapelle, secrétaire national aux fédérations et aux élections du parti lepéniste, a pourtant envoyé un mail à la conseillère régionale, le 9 janvier, pour lui reprocher sa « publicité (…) désastreuse pour le mouvement ». « Votre choix de ne pas être candidate vous appartient. Merci, en revanche (…), de ne pas répondre à la presse sur vos motivations et/ou déceptions. Merci Valérie de ne pas jouer le jeu des médias », écrit-il dans son message.
La Fondation Soros contre la sécurité et la protection des Français
Selon des documents révélés par des pirates informatiques américains, la fondation Open Society dirigée par le milliardaire américain George Soros, planifiait de dépenser une somme énorme pour mettre un terme à l’état d’urgence en France.
Les auteurs du document, qui travaillent pour la fondation du milliardaire George Soros, Open Society, qualifient l’état d’urgence en France et les droits que les policiers avaient reçus depuis les attentats du 13 novembre 2015, « d’arbitraires, abusifs et discriminatoires ». Non pas parce qu’ils servent à réprimer les nationalistes, largement fichés, poursuivis et empêchés de s’exprimer mais parce que ces mesures ne sont employées que contre « les musulmans » (les terroristes sont-ils bouddhistes ?) et à quelques reprises contre quelques écolos-gauchistes ou anarchistes façon « Notre-Dame des landes » ou « Sivens »…
La fondation envisage une série des mesures pour les contrer : surveiller les abus par les forces de l’ordre, promouvoir de nouvelles lois, influencer l’opinion publique et la prise de décisions au niveau national, mais aussi européen.
« La société civile pose des questions quant à la sagesse et la légalité de l’approche gouvernementale. […] L’état d’urgence est utilisé non seulement pour lutter contre le terrorisme mais aussi pour placer les manifestants écologistes en résidence surveillée », lit-on dans le rapport.
D’après le document, les mesures prises lors de l’état d’urgence « ne créent que des tensions » au sein de la société française car elles « ne visent des personnes qu’à cause de leur religion, sans une preuve de leur culpabilité ».
Pour cette raison, la fondation de George Soros voudrait offrir plus de 867 000 euros pour mener campagne pour l’abolition de l’état d’urgence.
La fondation Open Society a même déjà trouvé des alliés : Amnesty International France, l’Union des avocats français, la Ligue française des droits de l’Homme, la Quadrature du Net, Voix Public, Counterpoint France, le Collectif contre l’islamophobie en France et Powerfoule auraient accepté de l’aider.
Comme la Hongrie et la Macédoine, la France doit rapidement contrôler les activités antinationales de la Fondation et autres pseudopodes du milliardaire juif Soros, un des principaux agents dans le monde agissant pour instaurer le règne du judaïsme politique.
Etranger
Europe
Croatie : le directeur du lycée refuse l’expo Anne Franck
Le directeur d’un lycée croate a récemment refusé d’accueillir dans son établissement une exposition sur Anne Frank au motif qu’elle présentait les oustachis au pouvoir en Croatie pendant la Deuxième guerre mondiale comme des « criminels ».
Hormis les panneaux consacrés à Anne Frank préparés par le musée éponyme d’Amsterdam, l’exposition, qui était prévue pour la semaine dernière, en contenait six consacrés au rôle du régime croate présenté comme « pronazi ». Ce sont eux qui ont suscité la colère du directeur de cet établissement de Sibenik, sur la côte adriatique.
Josip Belamaric s’est alors opposé à l’exposition le jour de son ouverture, le 17 janvier. « Ils ont présenté les oustachis comme des criminels (…) pas un mot sur les crimes des partisans et des communistes », a-t-il expliqué dans les médias croates.
Le lobby du judaïsme politique qui n’aime l’histoire qu’à sens unique s’est immédiatement déchaînée ! Son pseudopode appelé Centre Simon-Wiesenthal a protesté auprès du chargé d’affaires croate à Tel Aviv et a demandé sans autre forme de procès le limogeage de ce directeur. Un refus de prendre cette mesure « démontrerait que la nostalgie du régime oustachi est tout à fait légitime dans le système scolaire croate d’aujourd’hui », a écrit le Centre dans une lettre de protestation.
De même, quelques jours plus tard, les représentants des Juifs de Croatie ont annoncé qu’ils boycotteraient les commémorations officielles de la Journée internationale de la mémoire de l’Holocauste. Ils entendent ainsi dénoncer une « relativisation » par les autorités des crimes du régime pronazi croate.
Fidèle à la devise d’Ante Pavelic (« Défendre l’honneur et la liberté de la Croatie est le devoir suprême de tout Croate »), il y a donc encore en Croatie des patriotes qui refusent que soit salie la mémoire nationale et le combat des insurgés oustachis contre l’oppression de la nation croate ! Honneur à Josip Belamaric !
Allemagne : l’invasion migratoire a couté 21 milliards d’euros en 2016 au contribuable
Selon un rapport du ministère des Finances allemand publié le 27 janvier 2017, le gouvernement d’Angela Merkel a dépensé quelques 21,7 milliards d’euros pour faire face au flux d’envahisseurs venus d’Afrique, d’orient et d’Asie l’an passé… Et pour 2017, 21,3 milliards sont d’ores et déjà provisionnés…
Cela comprend les frais d’accueil, d’enregistrement des envahisseurs mais aussi de logement, soit plus de 3 milliards d’euros, auxquels il faut ajouter 9,3 milliards versés directement aux régions allemandes, les Länders, pour faire face plus localement et directement à la même tâche.
Le gouvernement fédéral allemand présente la dépense comme un « paquet de mesures de stimulus économique », mais si l’argent est bel et bien injecté dans l’économie selon la doctrine keynésienne, où il est censé générer de l’activité, il vient tout de même de la poche du contribuable…
Selon les chiffres officiels, l’Allemagne a accueilli quelque 890 000 migrants en 2015 pour ensuite réduire le flux à 600 000 en 2016 selon les chiffres de l’agence Reuters, et 400 000 prévus pour 2017.
Rappelons également que selon les rapports officiels seule une fraction ridicule des clandestins accueillis sur le territoire de l’Europe est directement employable. Des sommes considérables devraient être investies dans la formation, ce qu’une majorité d’employeurs et grandes entreprises allemandes rechignent à faire malgré les encouragements et appels du pied de la chancelière.
La politique de « porte ouverte » à l’immigration de masse d’Angela Merkel fait d’ailleurs l’objet de nombreuses critiques en Allemagne, du parti AfD, Alternative pour l’Allemagne, et jusque dans les rangs même du parti de la chancelière, alors que cette dernière brigue un quatrième mandat en 2017.
Angela Merkel a, pour sa part, reconnu des erreurs dans sa politique migratoire, après la série d’attaques qu’a connue l’Allemagne et elle a dû amender ses positions sur la question et se montrer plus dure, au risque de brouiller son message. Gageons que cela ne la sauvera pas électoralement mais c’est une bien maigre consolation face aux conséquences dramatiques de l’invasion.
Suisse : des étudiants expulsés pour loger ces envahisseurs qu’on appelle « migrants »
Sommés de quitter leur logement pour y loger à la place des « migrants », des étudiants ont manifesté le 25 janvier devant une propriété du Canton, vide depuis des mois.
Une banderole noire accrochée à la barrière du foyer « Les Franchises », dans le quartier du Bouchet, affirme que « l’État cultive le vide ». Propriété du Canton, la maison de trois étages est inoccupée depuis des années. Ce mercredi devant la bâtisse, le collectif étudiant Xénope a dénoncé les logements étatiques laissés vacants.
L’automne passé, celui-ci a été prié de quitter en juin 2017 la maison qu’il occupe à Malagnou. Possession de l’État, elle doit accueillir des familles d’envahisseurs. Mais en novembre dernier, le conseiller d’État chargé des finances aurait pourtant affirmé que si les étudiants trouvaient une maison vide disponible pour l’Hospice Général – qui gère les questions d’asile à Genève – le renouvellement de leur bail ne serait plus remis en question. Si l’on comprend bien, c’est aux étudiants de trouver les futurs logements des envahisseurs qui, à défaut, les remplaceront dans leurs logements…
Si Serge Dal Busco nie avoir fait une telle promesse, l’association a tout de même décidé de prendre au mot le grand argentier et a listé plusieurs lieux vacants. Selon Irène, membre de Xénope, le Canton « préfère laisser des maisons inoccupées plutôt que d’y loger des populations dans la précarité. C’est un scandale ».
Peu après leur départ de la conférence de presse qui s’est tenue ce mercredi dans l’allée du foyer des Franchises, les membres du collectif ont été interpellés par la police. Ils dénoncent un contrôle abusif. Les forces de l’ordre jugent de leur côté que la rencontre avec les médias, sur le domaine public, s’apparente à une manifestation non-autorisée, passible d’une amende.
Suède : renforcement de la sécurité des centrales nucléaires contre le terrorisme
Le 4 février prochain entreront en vigueur les nouvelles exigences de sécurité applicables aux centrales nucléaires suédoises. Désormais les centrales nucléaires devront être gardées par des personnels de sécurité armés et accompagnés de chiens après les récentes attaques terroristes jihadistes en Europe.
Les nouvelles règles de sécurité concernent le périmètre des centrales afin de mieux les protéger contre les attaques terroristes. En Suède, ce renforcement des conditions de sécurité évolue régulièrement au fil du temps, en partie en raison de la forte immigration en provenance du monde arabe !
Les gestionnaires des centrales nucléaires eux-mêmes ont pris de nouvelles mesures de protection. « Nos nouvelles règles sont une nouvelle étape dans les efforts visant à améliorer la sécurité », affirme Stefan Appelgren, chef par intérim de la non-prolifération et de la sécurité nucléaire à l’Autorité de sûreté radiologique suédoise.
Mais la présence de gardes armés accompagnés de chiens n’est pas la seule nouvelle directive qui doit être mise en œuvre. « Nous avons également renforcé la coopération nationale de l’agence dans le domaine de la sécurité, y compris dans le cadre de la coopération avec l’agence de lutte contre le terrorisme, et le renforcement stratégique avec les autorités compétentes », explique encore Stefan Appelgren.
En France on attend encore de savoir qui opérait les multiples drones ayant évolué autour de plusieurs de nos centrales nucléaires dans les années écoulées…
C’est à lire !
– Pologne : libération des archives communistes :
La Pologne rend publiques les archives confidentielles des anciens services communistes
Monde
État juif : les combines de Netanyahu pour se maintenir au pouvoir
Empêtré dans l’affaire des cadeaux qu’il aurait reçus de la part de riches donateurs et soupçonné d’un possible financement illégal de campagne, le Premier ministre de l’État sioniste qui occupe la Palestine aurait été enregistré en train de négocier un traitement de faveur auprès d’un journal d’opposition.
La télévision israélienne a en effet révélé que Benjamin Netanyahou aurait rencontré à une date qui demeure inconnue Arnon Mozes, patron du journal Yedioth Ahronoth, réputé pour ses divergences d’idées avec l’exécutif en place. Selon ces enregistrements, le Premier ministre aurait demandé à Arnon Mozes un meilleur traitement dans les colonnes de son journal (le plus vendu du pays) en échange d’une limitation de la diffusion de son concurrent, le journal Israel Hayom (journal gratuit le plus lu).
Information d’autant plus explosive que c’est le journal de son ami et confident, l’Américain Sheldon Adelson, que Benjamin Netanyahou se propose d’affaiblir. D’autres médiats rapportent également que quelques mois avant son retour au pouvoir en 2009, Benjamin Netanyahou avait rencontré Arnon Mozes et que les deux hommes avaient conclu un pacte. « Il m’avait promis que (le journal) Israel Hayom ne publierait pas le week-end », avait déclaré ce dernier à un proche. Arnon Mozes espérait que ce pacte sauve son journal, confronté à des difficultés financières depuis l’avènement de son rival gratuit en 2007.
Début janvier Benjamin Netanyahou avait été entendu à deux reprises par les enquêteurs dans le cadre d’une enquête sur des cadeaux qu’il est soupçonné d’avoir reçus illégalement d’hommes d’affaires dont la valeur totale a été chiffrée à des dizaines de milliers de dollars. Ces investigations ont soulevé des interrogations sur la possibilité que le Premier ministre, sans rival apparent sur la scène politique, puisse être inculpé et poussé à la démission.
Chine : future mise en service d’un drone furtif emportant 2 tonnes de bombes
La Chine a dévoilé un drone furtif surnommé « Épée aiguë » ou « Lijian » en chinois mandarin, qui pourrait être capable de transporter plus de deux tonnes de bombes. L’aéronef est présenté comme une avancée remarquable pour l’industrie aéronautique chinoise.
Ce drone est capable de transporter la même quantité de charge utile qu’un aéronef conventionnel, tout en étant plus compact. Il a également remporté la deuxième place des Prix nationaux de promotion de la science et de la technologie en Chine, et c’est aussi le premier aéronef de ce type hors Otan.
Se présentant sous la forme d’une mini-version du bombardier américain B-2, l’Épée aiguë fait près de 10 mètres de long et ses ailes ont une envergure d’environ 14 mètres. À noter qu’il est de production intégralement nationale, construit par la Corporation de l’industrie aéronautique de Chine et il est équipé de deux soutes à bombes internes.
Il est également doté d’un turboréacteur sans postcombustion WS-13, avec une entrée serpentine, une technologie qui permet de cacher le moteur des radars ennemis.
Alors que son premier vol a eu lieu en novembre 2013, ce drone chinois pourrait entrer en service vers 2019-2020.
Ce drone est susceptible d’être utilisé pour la reconnaissance dans les zones équipées de réseaux de défense antiaérienne élevée, ainsi que pour attaquer des navires ennemis dans un contexte de tension en mer de Chine avec le Japon, les États-Unis ou même la Russie.
Il pourrait également être utilisé pour les opérations de combat comme une arme primaire contre des cibles prioritaires hautement défendues. Il est également possible de l’utiliser comme aéronef ou un pétrolier aérien pour d’autres drones ou appareils.
C’est à lire !
– L’implication méconnue d’Israël au Guatemala :
Le « sale boulot » d’Israël dans la « guerre sale » au Guatemala par Gabriel Schivone
Vidéo
Robert Faurisson défend sa thèse sur Lautréamont chez Michel Polac
Emission du 27 avril 1971
https://www.youtube.com/watch?v=zBl04QJpXfs
Radio
Méridien Zéro
Pavillon Noir #14 – “Chronique du 30 janvier 2017”
Nous reprenons avec cet opus la diffusion régulière de la chronique du Lt Sturm. Selon la disponibilité, ces chroniques seront journalières ou compilées sous un format hebdomadaire.
L’émission est ici
Ephéméride nationaliste
31 janvier 1941 : naissance d’ Eugène Terre’Blanche (biographie)
Agenda
Commémoration du 6 février
Paris le 4 février 2017 à 10h00
© Jeune nation – 2017
Les Forges de Vulcain, 1757, François Boucher
(Musée du Louvre – Paris)
Francisrael : intensification de la cooperation.
http://www.israelscienceinfo.com/physique/france-israel-cooperation-spatiale-le-cnes-a-la-12eme-conference-ilan-ramon-bringing-space-down-to-earth/
Sur France 5, Anne-Sophie Lapix-Sadoun et Patrick Cohen recoivent Julien Dray, Bernard Debré, Amir, et d’autres.
http://www.france5.fr/emissions/c-a-vous/diffusions/30-01-2017_550227
Une mère de famille originaire de France tue ses quatre filles avant de se donner la mort. Le père s’oppose à leur autopsie.
http://www.chiourim.com/communaute-francophone-de-bakaa-frappee-de-stupeur/
Le Mexique veut des excuses d’israel.
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201701/30/01-5064580-mur-de-trump-le-mexique-veut-des-excuses-disrael.php
Gil Shaham et François-Xavier Roth ouvrent les Sommets Musicaux de Gstaad.
https://bachtrack.com/fr_FR/critique-shaham-roth-siecles-sommets-musicaux-gstaad-janvier-2017
Sur France Inter, Anna Sigalevitch presente « Exil » de Sonia Wieder Atherton, un spectacle sur « les rescapés de l’Histoire ».
https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-d-anna-sigalevitch/la-chronique-d-anna-sigalevitch-26-janvier-2017
La Maison de la Poésie de Paris presente Les révolutions de Leonard Cohen, avec Chantal Ringuet, Gérard Rabinovitch, Jean-Claude Kuperminc, Delphine Auffret, Christophe Lebold & Gilles Tordjman, Laurent Natrella (de la Comédie Française), Jean-Claude Ghrenassia & son ensemble (en partenariat avec l’Institut européen Emmanuel Levinas)
http://www.maisondelapoesieparis.com/events/les-revolutions-de-leonard-cohen/
Pendant plus de quarante ans, les appartements de Gertrude Stein furent l’épicentre des intellectuels expatriés de Paris. Elle partage sa tombe au Père Lachaise avec Alice Toklas, sa muse et compagne de toute sa vie. Les cailloux que les visiteurs y lancent fréquemment sont le reflet de la coutume juive.
http://www.americancenterfrance.org/front/index.php?lvlid=21&dsgtypid=10&artid=109&pos=2
Pour son nouveau clip « Chantaje » (Sony), la chanteuse Isabel Mebarak dite « Shakira », adulee des enfants, arbore une perruque rose, se promene a l’epicerie avec un porc en laisse, puis seduit un homme qu’elle entraine dans les pissotieres ou elle exhibe un harnais SM, pour finir sur un trone de cuir, aspergee de jets laiteux.
http://www.eonline.com/news/814931/8-reasons-why-shakira-and-maluma-s-chantaje-video-is-breaking-records-on-vevo
« La non-inscription des écrivains juifs de langue française dans les territoires ».
http://www.erudit.org/revue/SocSoc/2002/v34/n2/008137ar.html
Shakira (shak=douteux non croyant/ ira en prononciation libanaise veut dire lire, donc lecture douteuse) Moubarak (béni en arabe) et amal (a mâle) alamuddin (espoir du prêche de la religion(transgenre)) sont deux hommes libanais. Comme beaucoup de peoples d’ailleurs, regardez le nombril, les mâchoires, les musculatures typiquement masculine !
Je sais que l’on va me prendre pour un illuminé, pas de Bavière quand même !