« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »
C’est ce qui s’affiche dans toutes les églises de France en ce moment pour justifier l’accueil du migrant.
La question philologique est de savoir si c’est uniquement en français qu’on trouve l’ambigüité sur le mot « prochain ».
« Prochain » en français n’a qu’un seul sens, celui de « suivant », de « successeur immédiat ». La formulation en français de ce commandement est donc au fond très logique, on n’emploie pas l’impératif « aime ton prochain comme toi-même », mais le futur, forcément, le prochain arrive dans le futur.
Or, appliqué à l’actuel flux migratoire, « suivant » a clairement le sens de « remplaçant ».
Le commandement devient donc:
« Tu aimeras ton successeur et remplaçant comme toi-même ».
Et là, le commandement devient très étrange : d’un côté il suggère qu’on a tendance à s’aimer soi-même plus que tout ; mais d’un autre côté, il a l’air de dire que cet amour de soi doit nous conduire à souhaiter notre destruction et notre remplacement par notre prochain, notre successeur et remplaçant.
L’affiche présentée dans les églises montre deux enfants, un Indien et un Chinois, ceci confirme et résume tout ce qui vient d’être dit: on aurait pu montrer des adultes, mais non, on montre des enfants, l’avenir, les prochains, les suivants, les successeurs et les remplaçants. Remplaçant de qui ? Mais de celui qu’on ne montre pas : le Gaulois.
L’affiche ne s’adresse d’ailleurs qu’à ce Gaulois : il n’y a pas de race, mais ce serait quand même bien si les blancs disparaissaient. Plus étrange encore, tous les hommes sont frères et égaux et pourtant l’Église ne s’adresse qu’aux blancs, les autres n’étant là que pour être accueillis par eux.
Comprenne qui pourra, ce qui est en train de se passer semble être du calibre d’une Apocalypse.
Eglise francilienne : en Ile-de-France, de toutes façons, les blancs deviennent minoritaires, même dans les campagnes où leurs maisons ne sont même plus vendables, ou à perte …
Cette acceptation forcée des cultures, des races et des individus non-compatibles à nos vies et à nos sociétés et civilisation, est expressément menée via l’Eglise catholique – car c’est l’endroit ou psychologiquement le Chrétien est docile et obéissant. C’est vraiment diabolique: à travers le Christianisme la Bête introduit le poisson du flux migratoire afin de détruire le Christianisme. L’Eglise n y est pour rien, mais l’esprit qui règne dans l’Eglise est très mauvais. Il faut s’en débarrasser de Bergoglio le Maléfique le plus rapidement possible.
De plus, tous les think-tanks et lobbies pro- immigrationnistes (qui sont souvent solidement implantés dans le Gouvernement) institutionnalisent des migrants en leur donnant des postes de Professeurs universitaires.
Si, si, c’est vrai !!
A l’Université de Clermont-Auvergne seront embauchés des Syriennes, des Soudanais ( qui parlent à peine quelques mots en fr. ) et selon l’article, les étudiants ne seront pas forcement au courant du non-citoyenneté française de leur « profs ».
Le monde est à l’envers: les sauvages enseignent les civilisés:
https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand/education/puy-de-dome/2018/10/17/a-l-universite-clermont-auvergne-des-refugies-vont-bientot-enseigner_13016683.html#refresh