Sommaire
Le modèle de Manuel Valls : un oncle interné pour agression sexuelle par Emmanuel Ratier
La Gueuse aux ordres d’Israël : pour la première fois un premier ministre célèbre la fête nationale d’Israël
Les Afro-Maghrébins, détenus-rois des prisons de la République
Flic républicain : honte du genre humain
« Il y a des limites où l’obéissance cesse d’être un devoir, c’est celles de la loi »
Un mois après son installation, Ségolène Royal attaque sévèrement ses collègues
Bygmalion : une conférence à 300 000 euros avec Pierre Lellouche
Occupation & faits divers
La croissance à zéro au premier trimestre
Affaire du Gaucho : non-lieu pour Bayer
Lettre de Jacques Veker à Fabrice d’Almeida
ACTUALITÉ NATIONALISTE
In memoriam : Maurice Comte
Nous évoquions le 13 mai l’ouvrage publié par Maurice Comte chez Akribeia, Une vie sous le signe du Führerprinzip. Le combattant de l’Europe nouvelle s’est éteint le 14 mai 2014.
Ce jeune ingénieur avait rejoint les maquis pour échapper au STO. Ce résistant passa à la Milice française après avoir été capturé en juillet 1944. Il participa au repli de la Milice vers l’Allemagne puis rejoignit la Division Charlemagne en novembre. Lors des combats en Poméranie, il sera blessé à la bataille de Körlin. Capturé en 1945 par des Polonais, il fut déporté au camp de la mort de Tambov en Russie, dont il ne fut libéré qu’après trois ans de détention.
FRANCE
Le modèle de Manuel Valls : un oncle interné pour agression sexuelle par Emmanuel Ratier
La Gueuse aux ordres d’Israël : pour la première fois, un premier ministre célèbre la fête nationale d’Israël
Manuel Valls – comme les autres membres de son gouvernement – ne célèbre pas Jeanne d’Arc, ni les fêtes catholiques, pas plus que les solstices. Invité régulier du CRIJF, il vient a contrario de participer mardi à la fête nationale israélienne de l’ambassade du petit État criminel en France.
C’est la première fois qu’un premier ministre en exercice participe à une telle cérémonie. Aucun médiat français n’a couvert l’événement ; seul l’un d’entre eux a publié une dépêche sur le sujet.
Les Afro-Maghrébins, rois des prisons de la République
La Voix du Nord et les syndicats de surveillants de prison poursuivent leur dénonciation du comportement des détenus dans les établissements pénitentiaires du Nord. Piscine gonflable dans une cellule, prisonnier qui se prend en photo en se droguant, un autre fumant un narguilé, fête de fin d’année avec d’importantes victuailles et déguisement en Père Noël : les protégés de Christiane Taubira et Manuel Valls se croient tout permis. Jusqu’à poser dans la cour de la prison avec des vêtements au nom du gang Los Bandidos ou peindre sur le sol de la prison en immenses lettres : « On baise les matons ».
Une terrible preuve du laxisme de la République et de l’impossible réinsertion de plusieurs dizaines de milliers de criminels, pour la plupart étrangers.
« Là les photos, c’est une partie du problème. Parce qu’avec ces téléphones, on ne sait pas ce que les détenus peuvent faire. Ils peuvent préparer une évasion, embêter des personnes qui ont été leurs victimes, continuer à alimenter un trafic… C’est grave ! »
s’alarment les syndicats qui invitent Christiane Taubira à « remettre en place un plan de fouilles générales des prisons, par surprise », ce que « l’administration ne le fait plus actuellement » sur ordre du gouvernement.
Flic républicain : honte du genre humain
Si Manuel Valls empêche les surveillants de prison de faire leur travail et protège les racailles en prison, c’est aussi le cas dans la rue avec les policiers. Ils sont empêchés de faire leur travail et de traquer les criminels. Certains flicracailles acceptent avec joie cette position de larbins du système et se font les zélés agents de la police politique.
« Il y a des limites où l’obéissance cesse d’être un devoir, c’est celles de la loi »
En 2010, répondant aux ordres de l’UMP, deux officiers de gendarmerie avaient été invités à arrêter un syndicaliste lors d’une visite du président de leur République d’alors, Nicolas Sárközy. Ils avaient arrêté en début de matinée l’opposant, qui a été détenu sans la moindre justification durant plusieurs heures avant d’être libéré au moment précis où l’hélicoptère du petit dictateur quittait la région.
« Il y a des limites où l’obéissance cesse d’être un devoir, c’est celles de la loi »
a déclaré la représentante du parquet hier, réclamant quatre mois de prison avec sursis et 1 000 euros d’amende. Ces réquisitions prennent une résonance particulière alors que le gouvernement d’occupation multiplie les arrestations arbitraires, les contrôles d’identité contre les opposants politiques patriotes ou défenseurs de la famille.
La magistrate a également évoqué une « manœuvre de guerre » contre un homme qui avait été présenté durant des réunions des forces de l’ordre comme « l’ennemi public numéro 1 ».
À l’audience un valet de la dictature, le colonel Patrick Martzinek, a prétendu que l’homme était « libre » de quitter les lieux, affirmant que « la brigade est un lieu de convivialité ».
Un mois après son installation, Ségolène Royal attaque sévèrement ses collègues
Dans un entretien accordé à Paris Match, Ségolène Royal a attaqué les autres membres du gouvernement. Elle a affirmé, un mois après sa nomination, être victime de machisme, de mépris, de condescendance, de « boules puantes ». Elle a également pris le parti de l’étranger, en prenant le parti des États-Unis dans l’affaire Alstom, et attaquant les positions d’Arnaud Montebourg.
« General Electric est une très bonne opportunité pour Alstom. C’est le meilleur projet industriel. Pourquoi ne pas le dire ? Et pourquoi vouloir systématiquement faire fuir les investissements étrangers ? Nous en avons bien besoin, pourtant »
a-t-elle affirmé, attaquant par ailleurs à Michel Sapin sur le sujet de l’écotaxe. Sûre d’elle-même et dominatrice, elle a également fait preuve d’une immodestie stupéfiante, déclarant qu’elle était « peut-être même la plus compétente » du gouvernement. En 2013, elle avait affirmé ne pas avoir été nommée ministre car « au gouvernement, [elle] leur ferai[t] de l’ombre »
Ces propos et fanfaronnades inconvenantes ont déplu à plusieurs ministres et jusqu’à Manuel Valls.
« J’ai rappelé les principes. Il y a un principe qui s’impose, c’est la solidarité. […] Il n’y a pas de statut privilégié dans ce gouvernement ».
a-t-il précisé dans un train alors que, plutôt que de se préoccuper du redressement du pays, il se rendait à une réunion politicienne électoraliste.
« Ceux qui veulent me museler se trompent. Oui, je parle. C’est ma liberté et je la garderai quoi qu’il arrive »
a répondu la candidate défaite de 2007 et ex-compagne de François Hollande.
Bygmalion : une conférence à 300 000 euros avec Pierre Lellouche
Les révélations se poursuivent dans l’affaire de la société Bygmalion. Cette entreprise dirigée par des proches de l’israélite Jean-François Copé, est accusée d’avoir surfacturé une réunion organisée durant la campagne de 2012 de l’UMP. Pour quelques propos tenus par Pierre Lellouche, défenseur fanatique d’Israël, devant une petite assemblée, la société a facturé 299 000 à l’UMP.
La Cour des comptes ayant invalidé les comptes de campagne de Nicolas Sárközy, ce ne sont pas les Français qui ont finalement payé pour cette escroquerie présumée, mais les militants de l’UMP.
Occupation & faits divers
-Deux individus, âgés de 17 ans à l’époque des faits, ont été jugés à Marseille pour avoir rançonné des pédocriminels. Avec l’aide de deux jeunes filles, ils piégeaient des dégénérés en les attirant à des rendez-vous avant de les faire chanter. Huit pédocriminels en liberté ont été « escroqués » ; l’un d’eux n’a pas craint de porter plainte.
-Une mère célibataire de 32 ans a été arrêtée à Périgueux. Elle est accusée d’avoir abandonné ses enfants de 9 et 12 durant plusieurs pour s’offrir un peu de bon temps. « Avant de partir, elle a tout de même pris soin de laisser de l’argent à ses garçons, âgés de 9 et 12 ans, pour qu’ils puissent acheter de quoi se nourrir. Ils se ramenaient des kebabs ou commandaient des pizzas » précise un journal.
La croissance à zéro au premier trimestre
La croissance française a été nulle au premier trimestre 2014, plus faible que prévue (0,1 %) et moins forte qu’en 2013 (0,4 %). La consommation des ménages a fortement reculé (-0,5 %), tout comme les investissements des entrepreneurs (-0,5 % également).
La zone euro est globalement touchée par le même phénomène : pour l’ensemble des pays, la croissance n’a été que de 0,2 %, comme au dernier trimestre 2013, alors que les prévisions annonçaient 0,4 %.
NATURE & SANTÉ
Affaire du Gaucho : non-lieu pour Bayer
Après treize années de plaintes, pour tromperie, escroquerie et destruction du bien d’autrui, d’enquêtes, et la destruction d’innombrables essaims, la multinationale industrielle a bénéficié d’un non-lieu, alors même qu’entre-temps, le pesticide Gaucho a été soumis à des restrictions. Le Gaucho a été interdit dès 1999 pour le tournesol et 2004 pour le maïs.
L’Union nationale de l’apiculture française (UNAF) a fait appel de cette décision.
« la communauté scientifique n’a pas démontré l’existence d’un lien de causalité entre l’introduction du Gaucho dans les cultures agricoles et l’augmentation de la mortalité des abeilles »
ont affirmé les juges se couchant devant les industriels, expliquant que la multiplicité des causes de la disparition des abeilles – reconnues par tous – rendaient impossible tout procès contre Bayer.
CULTURE & HISTOIRE
Lettre de Jacques Veker à Fabrice d’Almeida
Le révisionniste Jacques Vecker, directeur de la revue Libre expression, a écrit à l’historien Fabrice d’Almeida, spécialiste des questions de propagande par l’image, pour l’interpeller après son passage dans une émission d’Yves Calvi sur la 5e chaîne.
Cher Monsieur,
J’ai suivi l’émission « C dans l’air » du 22 février 2012. J’y reviens avec retard car le sujet et grave. J’en ai retiré l’impression que l’on persiste dans le refus de considérer l’histoire sans passion. Vous sembliez cependant serein, détendu, soucieux d’objectivité, ce que devrait être tout historien qui se respecte. Le problème que le juge Carson posa à l’Espagne est commun à la plupart des pays ayant connu des heures tragiques. La Libye éclaboussa il y a peu notre réalité et en illustra les mécanismes. Nous en sommes depuis à la Syrie et à l’Ukraine. […]
Votre allusion à l’Afrique du Sud est à noter. Que l’on veuille comprendre ce qui s’est passé, que les responsabilités soient recherchées, pourquoi pas. Si l’on a gardé la rancœur en soi, passe encore, mais que l’on envisage de condamner des individus QUI ONT AGI COLLECTIVEMENT AU SERVICE D’UNE CAUSE QU’ILS CROYAIENT JUSTE, cela n’est plus chrétien. Le deuil est personnel, intime, et que ceux qui sont attachés au souvenir d’êtres chers désirent connaître leur destin, cela se conçoit mais dans les cataclysmes de la société, il n’y a plus de culpabilité personnelle et, une fois la tempête apaisée, les lois d’amnistie reviennent à tirer un trait définitif pour repartir du bon pied en méditant la parole de Jésus « Va et ne pèche plus »… Là où la rancœur et la haine persistent, là est le problème. […]
Si je me risque à deviner votre conception intime de l’histoire, vous devriez prendre vos distances avec le dogme de la Shoah et de l’unicité d’un génocide dont la réalité se dissout de plus en plus devant les révélations des révisionnistes. Votre partenaire dans « C dans l’air », Annette, se crut obligée d’évoquer la déportation des juifs de France et la responsabilité de Vichy, mais en occultant le fait que les Juifs s’étaient déclarés les ennemis irréductibles du IIIe Reich, qu’ils furent traités en ennemis par les Allemands, et subirent les conséquences de cet état de fait.
La France, prompte à agresser, avait déclaré la guerre à l’Allemagne, l’avait perdue, ne fut pas occupée trop inhumainement et obéit au vainqueur en leur livrant les Juifs étrangers présents sur son territoire. Ceux-ci, en qualité d’ennemis déclarés ou de suspects furent utilisés dans l’industrie de guerre, comme d’ailleurs les prisonniers de guerre. La guerre est dure, elle cause des morts. Rien là-dedans, en quelque sorte, que de très normal. J’ai été brutalisé par des soldats mais je ne peux leur en vouloir. J’étais là au mauvais moment. Des êtres chers ont été tués. Honorons leur mémoire mais sans faire porter l’opprobre à quiconque. La vie continue et le pardon est la seule attitude génératrice d’harmonie. IL VAUT TOUJOURS MIEUX FAIRE LA PAIX AVANT DE COMMENCER UNE GUERRE.