L’emprise de l’Holocauste est telle que l’image du vampire étouffant le monde, paralysant toute recherche historique sur la Seconde Guerre mondiale en général et l’Allemagne nazie en particulier, s’impose aux esprits lucides.
Quoi que l’on dise à propos du regretté Robert Faurisson, il faut savoir qu’il a payé un prix énorme pour s’être confronté aux partisans de l’Holocauste.
Vous souhaitez poser des questions pertinentes sur les chambres à gaz ? Vous souhaitez contester le récit officiel grâce à une argumentation crédible et des preuves sérieuses ? Vous osez insister pour obtenir des réponses à vos arguments et à vos doutes sur l’Allemagne nazie ? Alors, bienvenue au club antisémite…
Robert Faurisson a été appelé « le père de la négation de l’Holocauste » précisément parce qu’il a anticipé ce que les gens de bon sens auraient dû faire il y a longtemps : il a défié les grands prêtres de l’Holocauste, une idéologie qui tétanise la recherche historique sérieuse. Noam Chomsky, à son honneur, ne croyait pas que Faurisson était un antisémite. Chomsky déclara alors :
« Le professeur Robert Faurisson a été un professeur respecté de la littérature française du XXe siècle et de critique documentaire pendant plus de quatre ans à l’Université de Lyon-2 en France. Depuis 1974, il mène des recherches historiques approfondies sur la question de « l’Holocauste ». Depuis qu’il a commencé à publier le résultat de ses recherches, le professeur Faurisson a fait l’objet d’une sournoise campagne de harcèlement, d’intimidation, de calomnie et de violence physique dans une tentative grossière de le faire taire. Des fonctionnaires aux ordres ont même tenté de l’empêcher de poursuivre ses recherches en lui refusant l’accès aux bibliothèques et aux archives publiques. Nous protestons fermement contre ces abus visant à priver le professeur Faurisson de sa liberté de parole et d’expression, et nous condamnons la campagne honteuse pour le bâillonner. Nous soutenons fermement le juste droit du professeur Faurisson à la liberté académique et nous exigeons que les responsables de l’université et du gouvernement mettent tout en œuvre pour assurer sa sécurité et le libre exercice de ses droits légaux. »
Chomsky a été attaqué par un certain nombre d’universitaires juifs pour avoir déclaré que Faurisson avait parfaitement le droit de poursuivre ses recherches universitaires ou ses recherches historiques. Chomsky a jugé bon de préciser ce qui suit :
« Permettez-moi d’ajouter une dernière remarque sur le prétendu « antisémitisme » de Faurisson. Notez d’abord que même si Faurisson devait être un antisémite enragé et un pro-nazi fanatique, – [De telles accusations ont été portées à son encontre dans une correspondance privée que Chomsky aurait dû citer en détail ici.] – cela n’aurait aucune incidence sur la légitimité de sa démarche, conforme à l’exercice de ses droits civils. Au contraire, il aurait fallu prendre sa défense. C’est un truisme d’affirmer que, depuis toujours, c’est précisément dans le cas d’idées censurées que le droit à la liberté d’expression doit être le plus vigoureusement défendu ; il est trop facile de défendre la liberté d’expression en faveur de ceux qui n’ont pas besoin d’une telle défense. En dehors de cette question centrale, est-il vrai que Faurisson est un antisémite ou un néo-nazi ? Comme indiqué précédemment, je ne connais pas assez bien ses écrits pour l’affirmer. Mais d’après ce que j’ai lu, et surtout en raison de la nature des attaques portées contre lui, je ne trouve aucune preuve pour étayer l’une ou l’autre de ces allégations. Je ne trouve pas non plus de preuves crédibles dans les documents que j’ai pu lire lu le concernant, que ce soit dans le domaine public ou dans une correspondance privée. A mon avis, le professeur Faurisson est en quelque sorte un libéral relativement apolitique. »
Je soutiens de tout cœur Chomsky, car les idées doivent être réfutées et rejetées par d’autres idées, soutenues par des preuves documentées. L’honnêteté intellectuelle n’a rien à voir avec le harcèlement, voire la persécution de la personne en cause.
Pourtant, depuis la Seconde Guerre mondiale, l’Occident est submergé par une idéologie qui cherche à étouffer la recherche en histoire. Si vous voulez réfuter ce que dit votre adversaire, il suffit maintenant de se livrer à une attaque ad hominem. L’historienne française Valérie Igounet a déclaré que Faurisson était un « faussaire antisémite » qui « provoquait le scandale ». Voilà une méthode radicale pour éluder les questions gênantes !
Quoi qu’il en soit, Faurisson n’était pas un homme violent, même s’il a été agressé physiquement en 1989 par un groupe appelé « Les Fils de la Mémoire juive ». Si les historiens conformistes veulent que nous les prenions au sérieux, alors ils doivent cesser de se livrer à des attaques ad hominem contre Faurisson et d’autres chercheurs dissidents et se préparer à répondre aux questions censurées dans le cadre des règles académiques.
Jonas E. Alexis
Source : holocaustdeprogrammingcourse.com via Bocage-Infos