« […] le luxe de demain, ce sera d’être isolable » – Jacques Attali
Bill Gates, à travers sa Fondation Bill & Melinda Gates, le projet ID2020 qu’il finance et des industries pharmaceutiques dans lesquelles il détient des parts importantes, entend bien profiter du coronavirus pour nous imposer une vaccination quasiment mondiale et y inclure un implant d’identification et de traçabilité.
Ce projet de Bill Gates rejoint celui d’une autre figure bien connue du Nouvel Ordre Mondial : Jacques Attali.
Il y a quelques années déjà, au cours d’une émission de Public Sénat, Jacques Attali expliquait en toute décontraction le plan de puçage de radio-identification appelé RFID.
Tout l’objectif officiel du système est d’organiser la traçabilité de chacun.
Jacques Attali y expliquait que vous pourriez être pucé “volontairement ou sans le savoir”. Ce plan vise à une “traçabilité universelle”.
Et Jacques Attali concède que, dans le monde futur, “le luxe de demain, ce sera d’être isolable”, c’est-à-dire de parvenir à échapper à cette traçabilité.
Isolable donc… mais que signifie une telle formulation ? On voit, un peu partout dans ce qu’on appelle l’Occident, se propager des vidéos de gens arrêtés, souvent avec une brutalité disproportionnée, pour trouble à l’ordre sanitaire. Une femme enceinte voit débarquer des policiers en armes pour l’appréhender chez elle en Allemagne – suite à des posts corona-sceptiques, d’après la rumeur – ; une jeune femme est plaquée au sol avec force en Angleterre par un « policeman » zélé faisant facilement quatre fois son poids ; en Nouvelle-Zélande, des camps pour « personnes à risques » sont annoncés. Et j’en passe.
Isolé, concentré, emprisonné, tracé, pucé… Tout ces termes annoncent une seule et terrible vérité : l’avènement à visage découvert d’un parfait totalitarisme. Au sens littéral du terme.
Orwell et Huxley devraient quitter les rayons de science-fiction des libraries pour être placés dans ceux des livres d’actualité. La botte dont parlait l’écrivain anglais juste avant de mourir est en train de s’écraser sur nous sous un déluge d’hypocrisie bienveillante – tout ceci est pour votre bien, évidemment – et de mesures éternellement « temporaires ».
Il devient d’ailleurs difficile, même pour l’individu formé et conscient de la sinistre mascarade, d’entrevoir la fin de cette « situation de crise ». Après tout, en démocratie, l’anormal devient la norme tant qu’on laisse le temps au temps. Quand on voit des marques proposer des masques de plus en plus personnalisés ou perfectionnés, on se doute que ce genre de campagnes ne saurait être mise en place pour un monde où ces muselières perdraient leur légitimité à la fin du mois…
Marginal de Retz
Pourquoi vous mentionnez le »futur du goy » ? Les juifs en seront exemptés ?