Plus que partout ailleurs, la clé principale des élections aux Etats-Unis est celle de l’argent Un candidat, à de miles exceptions près, comme c’est le cas de Donald Trump qui dispose d’une considérable fortune personnelle, ne peut espérer mener une campagne électorale victorieuse sans l’aide de contributeurs financiers qui, en retour comptent voir leurs idées, leurs intérêts pris en compte d’une manière ou d’une autre. Connaître ces contributeurs est donc d’une importance majeure.
Actuellement, la campagne pour l’élection présidentielle est caractérisée par le fait que quinze des vingt-cinq plus gros contributeurs démocrates sont juifs ou d’origine juive. C’est ce qu’on peut constater en parcourant la liste du site Opensecrets.org, on y retrouve notamment parmi la centaine de personnes répertoriées, les noms de Sheldon et Miriam Adelson, Michael Bloomberg, George Soros, Bernie Marcus et celui de Donald Sussman, le plus gros donateur actuel étant Tom Steyer, financier, activiste et philanthrope, un moment candidat à l’investiture démocrate cette année, né de père juif. Mais à sa suite, nous trouvons d’autres personnages intéressants :
Daniel Abraham, magnat de la diététique à la tête de Slim-Fast, qui avait défendu le projet de création de deux Etats en Palestine lors des négociations d’Oslo et se définit « progressiste démocrate convaincu ».
Stacy Schusterman, l’égérie d’une des plus importantes associations caritatives juives.
Steven Spielberg, le célèbre réalisateur de cinéma, dont la fondation USC Shoah œuvre à la préservation de la mémoire de l’Holocauste est le numéro 35 de la liste, et est aussi un progressiste convaincu.
Seth Klarman, financier, fondateur d’un hedge fund à Boston, est devenu un progressiste démocrate par aversion envers Trump, et est numéro 28.
L’Israélo-américain Haim Saban, l’un des principaux financiers de la filière du divertissement et producteur en France, notamment, des musiques de Goldorak, Ulysse 31, Les mystérieuses cités d’Or, Starsky et Hutch, L’homme qui tombe à pic, Dallas, important des dessins animés japonais, créant avec Ruppert Murdoch la chaine Fox Kids pour les enfants, indique que la première motivation de son don c’est Israël.
Peu soutiennent Trump, qui d’ailleurs, n’a pas à prouver son sionisme. Mentionnons Chema Moskowitz, dont le mari fut l’un des grands fondateurs du mouvement pour la colonisation en Israël, est numéro 39.
Mais Trump dérange car il défend non pas le cosmopolitisme, mais les Blancs, les descendants des fondateurs des Etats-Unis. Ce problème n’existe pas avec Joe Biden qui tout autant, sinon plus que Trump fait profession de foi philosémite.
Un discours qu’il a prononcé le 21 mai 2013 à Washington, devant une assistance de responsables juifs, ne laisse aucune ambiguïté à ce sujet Qu’on en juge :
« L’héritage juif a fait ce que nous sommes, il a pesé plus qu’aucun autre facteur durant ces 223 dernières années. »
Et il, poursuivait ainsi :
« Le fait est que l’héritage juif la culture juive, les valeurs juives, sont une part si essentielle de ce que nous sommes qu’on doit dire en toute honnêteté que l’héritage américain est en fait un héritage juif. Qu’on y songe, je vous fais le pari que 85 pour cent des changements (socio-politiques), que ce soit à Hollywood ou dans les médias sociaux, sont le fait des personnalités juives de cette industrie. Leur influence est colossale, réellement colossale et, ajouterais-je, dans le bon sens du terme : on se trouve en présence de réussites et d’apports incroyables, d’une influence en profondeur dont les valeurs pétrissent toute la culture américaine et imprègne notre Constitution. » (Jennifer Epstein, « Biden: `Jewish heritage is American heritage’, » Politico, 21-05-2013)
Dans ce même discours, Biden évoque aussi le rôle capital des Juifs dans l’évolution de la jurisprudence américaine ; citant à cet égard sept juges de la Cour suprême : Cardozo, Ginsberg, Breyer and Kagan. « On ne peut pas parler de la reconnaissance des … droits dans la constitution sans considérer ces juristes d’exceptions que nous avons eus ». Et jusqu’au décès récent de Ginsberg cette année, il y en avait encore trois !
Mais cette surreprésentation des Juifs se retrouve ailleurs dans le domaine politique puisqu’au moment où il parlait, le président de la réserve fédérale, les maires de trois des plus grandes villes américaines — New York, Los Angeles et Chicago — étaient juifs.
Comme le souligne Biden, le rôle des Juifs dans l’évolution des mœurs est ancien. Dès 1968, Walter Kerr, auteur, réalisateur et critique célèbre, prix Pulitzer, écrivait dans le New York Times :
« Il s’est produit depuis la Seconde Guerre mondiale, une sémitisation progressive de la sensibilité américaine. L’esprit cultivé en Amérique en est venu, dans une certaine mesure, à penser comme un Juif. On le lui a appris ; et il était prédisposé à l’apprendre. Après les comédiens et les romanciers juifs, on a eu les critiques, les politiciens, les théologiens. qui ont pour vocation de transformer les façons de voir» (The New York Times, 14-04-1968)
« Il serait vain de nier la réalité du poids des Juifs sur la culture populaire » écrivait en 1996 Michael Medved, auteur et critique de film Juif bien connu. « N’importe quel bottin des cadres des grands studios, présenterait une écrasante majorité de patronymes juifs aisément reconnaissables. » (« Is Hollywood Too Jewish ? » Moment, Vol. 21, No. 4,1996)
Joel Stein, éditorialiste au Los Angeles Times écrivait en 2008 :
« En tant que Juif fier de l’être, je veux faire connaître à l’Amérique nos succès. C’est vrai que nous contrôlons Hollywood… Peu m’importe que les Américains pensent que c’est nous qui dirigeons les médias d’information, Wall Street ou le gouvernement, ce qui compte, c’est que nous continuions à, faire » (Los Angeles Times, 19-12-2008)
Ces propos sont surprenants, non pas par leur véracité, mais par leur franchise. Certains Juifs se sont d’ailleurs inquiétés de la franchise des affirmations de l’ancien vice-président de Barak Obama. Il va trop loin, écrivait Jonathan (lait, (New York magazine, May 22-05-2013)
Il est vrai qu’aucun peuple ne peut accepter indéfiniment de subir l’emprise spirituelle, intellectuelle et économique d’une minorité. Biden déclarait dans le même discours que :
« Les apports des Juifs à l’Amérique ont été considérables, rapporté au nombre d’individus, aucun autre groupe n’a eu une telle influence. »
C’est la terrible réalité. Deux messianismes s’affrontent : le messianisme juif qui vise à la domination planétaire du peuple juif ; pensé comme le peuple prêtre de l’humanité et qui octroie aux goyim une place dans le monde à travers la loi noachide et le messianisme chrétien, qui assume l’histoire et la civilisation des peuples européens d’origine civilisationnelle gréco-romaine, mais qui est affaibli en Europe, à cause d’une crise spirituelle entretenue par le judaïsme talmudique et la mouvance maçonnique.
Ne l’oublions pas : le combat est certes politique, économique, mais il est d’abord spirituel, l’étage spirituel informant l’étage intellectuel et pour finir l’étage matériel.
Charles JACQUIER
Source : Militant, n°370, Octobre 2020
Pour aller plus loin :
Votre point de vue est totalement centré autour du juif.
Il y a autant de juifs pro-trumps que de juifs pro-biden.
Les juifs ne sont pas une entité unie.
Imaginez que je dise « les chrétiens ont décidé d’élire Macron »…c’a na pas de sens.
Alors oui, il y a des juifs au pouvoir aux USA, et ? pourquoi ne pas faire la même chose avec les chrétiens ? imaginez vous que je dise « Les noirs sont contre TRUMP il suffit de voir OBAMA qui est noir … bref c’est un raisonnement de raciste profond et de bas étage.
Vous avez 1 siecle de retard, Les problèmes du 21 eme siecle, ce ne sont pas les juifs
mais l’islam, les lobbys gauchistes, qui sont la pire représentation de ce que peut être l’humain.
Les juifs se serrent les coudes mêmes pour les pires des criminels car à partir du moment ils sont juifs… Ils obtiennent la solidarité de la ruche(frelons) sans la moindre autocritique.
Peu importe qu’un juif est commis les pires des abominations: La solidarité tribale l’emportera toujours sur le peuple d’acceuil, ses instirutions, son drapeau, ses intérêts vitaux et nationaux.
Le manque de loyauté est une constante récurente chez eux et ça ne date pas d’aujourd’hui.
Je te conseille de lire la France juive d’Edouard Drumont pour te rendre compte de la perfidie des élites juives et de l’instinct tribal presque mafieux soigneusement entretenu par l’ensemble du peuple juif.
En France, je suis désolé mais que ce soit en matière d’immigration, d’avortement ,de régression morale, arnaque bancaire, « big-pharma », escroquerie de haut vol et propagation de diverses théories dites progressistes(le métissage , le genre, écologie, propagande LGBT…) quand on regarde les tenants et les aboutissants c’est toujours la liste Schindler à tous les étages qui apparaît.
En résumé le coq qui chante sa satisfaction en haut du tas de fumier est toujours un membre de la communauté de lumière.
Personnellement, je ne suis ni antisémite, ni antisioniste mais totalement anti-juif!
Vous avez entièrement raison. La France, est sous domination juive et certainement pas pour le meilleur. C’est la LICRA, le CRIF, qui dictent leur ligne de conduite aux politiques. Macron est le valet des Rothschild. A qui a-t-il confié le déconfinement ? (comme s’il était nécessaire de faire intervenir une compagnie pour ‘gérer’ le déconfinement) à la Compagnie Bain and Co; savez vous que cette compagnie est liée au Mossad ? Qui avons-nous comme député ? Meyer Habib, n’est-il pas Israélite? Beaucoup de nos ministres étaient ou sont juifs comme Peillon, Fabius, Lang et bien d’autres. Même Sarkozy, n’était – il pas d’origine juive hongroise ?
Sous la Monarchie, les juifs n’avaient accès ni à la médecine, ni à la magistrature, ni à l’enseignement; nos Rois n’ignoraient pas le pouvoir maléfique de leur influence.
Le crif, la licra, ADL, AIPAC n’existe pas. Ils ne sont que les excroissances du B’nai B’rith.
Les consignes du B’nai B’rith sont données au milieu associatif juif par la voix du « congré juif mondial », son porte parole actuel est Ronald Lauder.
Quand on regarde le pouvoir juif il faut imaginé un iceberg inversé et ne surtout pas faire comme les cadres nationaux catholiques qui regardent la multitudes des associations destinées à brouiller les pistes.
En 2012 avec un ami nous avions fait des recherches pour essayer de comprendre qui dirige la ruche et nous étions arrivés à la conclusion que c’était un ou des rabbins qui dirigeaient le « B’nai B’rith ».
La conclusion simple était que la loi juive était strictement appliquée pour en être et ceci de part les statuts très strict en interne.Pour nous un ou des rabbins de haut rang ayant autorité aussi bien sur les laics juifs que les pratiquants devait tenir discrètement l’édifice.
Nous avons donc conclu qu’un ou des rabbins tenant la plus grande Yeshiva de New-york était le responsable de ces congurés.
Plusieurs noms sont apparus:
Bernard Revel
Samuel Belkin
Norman Lamm
Richard M.Joel
Ari Berman
mais bon ce peut etre aussi m’importe quel lieu d’enseignement du judaisme à New york mais bizarrement tout tourne autour de ce lieu quand on fait des recherches.
« Cohen-cidence »???
Charles Jacquier vous écrivez « Le combat est certes politique, économique, mais il est d’abord spirituel, l’étage sprirituel informant l’étage intellectuel et pour finir l’étage matériel ».
Petit garçon on mettait surtoût L’accent sur le nouveau testament hors je constate que même dans les milieux prétendus traditionnalistes on met aujourd’hui l’accent comme les protestants sur l’ancien testament(les fumeux mystères bibliques…).
1/Je vous pose la question de manière directe: Doit on continuer à tolérer une écrasante majorité de cadres catholiques traditionalistes dans nos rangs?
2/Nous trainons depuis 1815 comme un boulet cette vieille droite nationale-catholique qui aura été de tous les échecs: Louis Phillipe 1, Charles 10, Louis 18, le comte de Chambord , Henri comte de Paris (1908 1999) et (l’in)action Française… Globalement ces gens ont défendu leurs intérêts bourgeois et pas vraiment la France au sens large: Pourquoi continuer à leur préter attention et de l’influence?
3/Le peuple recherche la justice sociale mais globalement toute cette mouvance n’a que du sociétal au bord des lèvres. Ils sont dans la critique permanente (police des moeurs) avec absence de propositions sociales constructives. La plupart sont passionnés par les anciennes corporations(c’est à rire souvent) mais ne connaissent rien du monde ouvrier(affligeant) car exerçant généralement des métiers régimistes pour ne pas dire bourgeois.
Pourquoi ne pas purger nos milieux de ces gens là …Ils n’ont rien à nous apporter à part dégoûter les masses ouvrières qui seraient susceptibles de nous rejoindre??????
Je vais être cruel mais à quoi ça sert de continuer un combat avec des gens qui ont tout raté?
En espérant une réponse de votre part Mr Jacquier, mes amitiés nationalistes.
Sur Sud Radio du 14 Janvier 2021 dans l’émission d’André Bercoff ( 12h-14h ) ou podcast : 3 sujets dont l’un sur » l’ultra droite » .
Marc Leplongeon ( renseignements généraux) y présente son ouvrage : » La poudrière ». Certains noms y sont cités : Yvan Benedetti , Hervé Ryssen, Boris Lelay , Renaud Camus on entend parler de Breiz Info aussi . C’est intéressant …
Le nom d’Alain Soral est aussi évoqué par Marc Leplongeon . Par contre, ce qu’il oublie de préciser en parlant d’Hervé Ryssen, c’est qu’il est en prison.
J’ai dû commettre une erreur, Marc Leplongeon est journaliste.
Dans le livre « je ne sais rien… mais je dirais(presque tout) » de Yves Bertrand… La duplicité et servilité des RG apparait sans complexe…loin de protéger la population, leur role est de faire monter l’information en amont pour protéger la ploutocratie en poste.
Dans les journaux « nationaux » il est bien connu que les journalopes servent de mouches aux renseignements contre des fuites soigneusement sélectionnées (genre le canard enchainé).
Ce livre qui devrait faire l’attention de relecture dans nos mouvements n’est généralement pas connu et pourtant toujours accessible dans le commerce.
Merci pour l’information . Bonne journée.
le messianisme chrétien me parait plus porteur de valeurs universelles qu’ethno centré sur l’europe,quant au judaisme,le problème au départ et que l’on ne peut pas critiquer cette religion
Étant donné que le plus gros contributeur du Donald était feu Sheldon Adelson, peut-on conclure que la rivalité Trump / Biden n’est qu’une « fraternelle » rivalité entre judapo de droite et judapo de gauche (p.ex Netanyahou vs Soros)?