Une technologie innovante et révolutionnaire développée à l’Université hébraïque de Jérusalem (HUJI) a rendu possible le développement rapide de médicaments – y compris des médicaments anticancéreux – utilisant des puces bioniques.
Une nouvelle étude dirigée par le professeur Yaakov Nahmias, chef du Centre de bio-ingénierie de HUJI et fondateur de la société Tissue Dynamics a développé un travail avec son équipe de recherche qui vient d’être publié dans la prestigieuse revue Science Translational Medicine sous le titre «Mechanism and reversal of néphrotoxicité induite par le médicament sur une puce. »
Tissue Dynamics Ltd. est une société de biotechnologie qui développe des outils de dépistage de la toxicité et de l’efficacité des médicaments pour les industries pharmaceutique et cosmétique. Sa plate-forme de criblage cinétique utilise la technologie d’organe sur puce intégrée par capteur pour surveiller les changements de la fonction métabolique en temps réel.
Développer des médicaments et les mettre sur le marché est un processus long, plein d’obstacles et coûteux. En moyenne, le développement d’un seul médicament coûte à l’industrie pharmaceutique environ 2,6 milliards de dollars et prend environ 12 ans à mettre sur le marché. L’un des problèmes majeurs sur le terrain est l’incapacité d’observer le comportement des médicaments chez l’homme à partir d’expériences sur des souris et des rats. Les animaux de laboratoire ont une génétique et une physiologie différentes de celles des humains, de sorte que les médicaments efficaces chez les souris échouent à plusieurs reprises dans les essais cliniques sur les humains.
C’est la première fois que des chercheurs utilisent la technologie puce sur organe pour développer un médicament à partir d’un essai clinique sans utiliser d’animaux de laboratoire.
«Cette technologie révolutionnaire permettra non seulement de raccourcir le temps nécessaire pour que les médicaments essentiels arrivent sur le marché, mais rendra également inutiles de nombreuses expériences sur les animaux. Cela permettra d’économiser de l’argent, du temps et beaucoup de souffrance chez les animaux », a-t-il conclu.
On pourrait se réjouir que des animaux ne soient plus victimes d’expériences humaines, si ce n’est qu’ici on fait de l’humain directement le cobaye. Oh, ça et le fait que l’on commence à Jérusalem -vous savez, la future capitale du monde – à parler de banaliser le puçage humain sous prétexte médical.
Aurons-nous, les non-élus goys, droit aux mêmes puces que la communauté de lumière ? Serons-nous les seuls à bénéficier même de ce genre d’avancée ? Ces puces, quelles autres fonctions auront-elles à l’avenir ? Surveillance ? Mode de payement ?
Pleins de questions fascinantes pour des lendemains qui chantent en yiddish.
Source : infos-israel.news
C’est Biblique !!