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Waffen-SS français, l’après guerre
En prenant la route de Moscou sous l’uniforme allemand et le pavillon noir de la SS, les Français de la L.V.F. et de la Division Charlemagne avaient choisi un destin exceptionnel qui les a marqués pour la vie. Au cours du demi-siècle à venir, les survivants des derniers combats ne peuvent oublier leur aventure idéologique et guerrière. Souvent oubliés, l’après-guerre fut pour ces soldats le début d’une nouvelle aventure…
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15 novembre 1913 : décès de Camille de Polignac, le « Lafayette of the South »
Le début est un peu lent et lugubre, la débâcle, mais ensuite ça devient passionnant,
avec trois victoires françaises en Corée:
Wonju – Chipyong Ni – Twin Tunnel
On est loin des mythiques « malgré-nous » comme les appelle notre république.
Merci pour cet article qui m’a fait découvrir
http://www.negenesis.tv
Bonjour
Initiative intéressante que cette lecture des textes de Saint-Loup
Si Saint Loup a indubitablement beaucoup fait pour faire connaître ces combats et leur suite, il faut avoir present a l’esprit que ses récits ont une tendance à prendre quelques libertés avec l’exactitude historique. Il est parfois délicat de savoir où finit l’histoire et où commence le mythe. Passionné d’histoire, Saint Loup m’a souvent déçu.
Vous êtes sans aucun doute passionné d’Histoire, mais de l’officielle…
Non, cher ami sinon je ne lirais pas ces rubriques seulement je ne confonds pas plus Homere et Tucydide que Saint Loup et Faurisson. Le mythe est une chose, l’exactitude historique en est une autre que cela plaise ou non. D’une certaine façon Mabire fut plus sérieux.
Vidéo d’Ulfric d’Alsace.
En norrois, Ulf (prononcer Oulf) signifie prince.
« Ric » doit être un affixe censé faire gothique, sans signification particulière.
Ironie, Oulf aurait aussi été phonétisé par les Juifs en Wolff, donnant une ribambelle de nom à consonnance germanique (la racine Wolf ne venant donc pas à tous les coups de « loup » en allemand).
Mais les Juifs ont aussi traduit leur « Baruch » (Le Béni) en Benedetti, et là, on en connaît un autre que cela pourrait faire sursauter de sa chaise.
C’est passionnant l’onomastique, surtout, juive, à se demander si ce n’est pas pour eux qu’on a inventé cette science.
Merci beaucoup pou ce documentaire et pour cette évocation de nos anciens. Tant qu’on parle d’eux, ils ne sont pas morts. Mais de toutes façon dans nos cœurs, ils vivent encore.
Au Bataillon de Corée, il y eut peu d’ex du Front de l’ESt, j’en ais répertorié environ 5 à ce jour !
le plus connu étant André BRYSSE et SS-Sturmbrigade et 33ème W-SS Division CHARlEMAGNE, BILOM et Bataillon de Corée.
donc , notre tache est d’enseigner….
Incroyable, ces hommes qui ont traversé tant d’épreuves et de guerre et finissent dans des « accidents de voiture » ,comme Patton d’ailleurs, et d’autres plus tard, ou balles dans le dos, spécialités de certains « services de renseignement » comme ils osent s’appeler.
Je ne vois absolument pas à QUI ? vous faites allusion ! ;))