Elle fut la Chef du Mouvement féminin « Citadelle » de la Garde de Fer, avec le grade de commandant Légionnaire.
De 1933, date de la création du mouvement féminin, jusqu’en 1936, elle fut une proche conseillère du Capitaine, Corneliu Codreanu.
Elle avait étudié la philosophie, à l’université de Bucarest en 1930, rejoignant la même année le Mouvement Légionnaire.
Elle a été nommée à la direction des sections féminines du Mouvement Légionnaire, minoritaires mais efficaces (en 1937, sur 487 000 membres de la Garde, seulement 8% étaient des femmes).
Elle avait une vision du rôle des femmes dans les activités de la Légion diamétralement opposée à celle de Corneliu Codreanu ou de Michael Stelescu, pour lesquels celles-ci ne devaient avoir que activités domestiques afin de préserver et de garder leur féminité.
Nicoleta Nicolescu militait pour un engagement plus important des femmes dans des actions conjointes à celles des hommes, y compris dans les domaines paramilitaires.
Elle fut arrêtée à Bucarest avec beaucoup d’autres camarades en 1938 et assassinée par les sbires du Roi Carol.
Mais avant ça, elle est torturée dans les caves de la préfecture de police, de façon particulièrement cruelle : violée puis massacrée à l’arme blanche, jetée le 10 juillet 1939 sur le plancher d’une fourgonnette, pour être portée dans un crématorium, où elle a été brûlée alors qu’elle respirait encore et restait consciente.
Ses restes auraient été enterrés clandestinement ans la forêt de Pantelimon.
Nicoleta Nicolescu ? Présent !
TLC !
Amenés à infléchir nos réflexions face à la catastrophe démographique concernant les peuples d’Europe, comment ne pas penser que CORDELIU CORDREANU faisait preuve de bon sens en préférant voir les femmes dans le rôle où elles sont irremplaçables, la perpétuation de l’espèce, plutôt dans ce que vous nommez « les action paramilitaires conjointes à celles des hommes ».
Ce qui répond aux fantasmes d’aujourd’hui, mais n’avait pas cours à l’époque !
Tant il est vrai, pour ceux qui se sont vraiment confrontés à la guerre, que, même dans des rôles secondaires tels qu’ambulancières ou brancardières, la moindre efficacité des femmes est une désastreuse évidence : s’agissant de courir sous la mitraille en portant à deux un blessé de 80 klgs sur une civière, deux robustes infirmiers multiplient les chances de parvenir jusqu’à l’ambulance !
Je suis entièrement de votre avis. Mais on n’ose même plus, aujourd’hui, contester cette intrusion des femmes dans tous les domaines, pour y supplanter l’homme quand ce n’est pas le remplacer, et on en oublie que le mouvement féministe, à l’origine de ce phénomène, est un des avatars de la gauche (tout comme le mouvement écologiste, autre exemple).
Les migrants remplacent l’homme blanc tandis que les féministes le suppriment. Les premiers sont l’ennemi de l’extérieur et les seconds l’ennemi de l’intérieur, mais la même dangerosité funeste les caractérise, et leur action conjointe n’aura d’autre conséquence que notre disparition !