Le refus de tests RT-PCR par des officiels et son imposition sur des particuliers soulève un peu plus qu’une simple question d’éthique. Les principaux officiels gérants la crise COVID dans les pays occidentaux ont refusé systématiquement de se soumettre à des tests RT-PCR pour se prémunir du vol de leur échantillons ADN mais l’on imposé à leurs populations respectives en tant que mesure sanitaire. Plus encore, presque aucun Chef d’État ou dignitaire d’un des régimes politiques du diktat « sanitaire » ne s’est soumis à une vaccination anti-COVID même si certains d’entre-eux ont mis en scène une fausse vaccination à des fins de relations publiques et de marketing d’image.
Les tests RT-PCR (Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction) sont une escroquerie massive. Ces tests offrent la capacité de détecter des quantités de fragments ARN par minutes mais nul ne sait si cet ARN représente un virus infectieux ou non. D’après des expériences menées par des laboratoires indépendants, il n’est même pas certain que ce type de test puisse détecter le SARS-COV-2.
L’utilité des RT-PCR est d’être utilisé comme une technique de manufacture capable de répliquer des séquences ADN des millions et des milliards de fois mais jamais comme un outil de diagnostic de virus.
« L’acide désoxyribonucléique, ou ADN, est une macromolécule biologique présente dans presque toutes les cellules ainsi que chez de nombreux virus. L’ADN contient toute l’information génétique, appelée génome, permettant le développement, le fonctionnement et la reproduction des êtres vivants. C’est un acide nucléique, au même titre que l’acide ribonucléique (ARN). Les acides nucléiques sont, avec les peptides et les glucides, l’une des trois grandes familles de biopolymères essentiels à toutes les formes de vie connues ».
Outre l’aspect mercantile des tests RT-PCR et autres, pudiquement baptisés antigéniques, ces outils sont donc liés à la collecte de matériel génétique et non à un quelconque diagnostic. En termes plus bruts, la pandémie a été une occasion rêvée pour la collecte forcée et massive de matériel génétiques à des populations non consentantes en temps normal mais trompées sur l’usage et la destination de cette collecte.
Cela explique en partie pourquoi le président Emmanuel Macron et son proche entourage ont refusé de se soumettre à un test RT-PCR ou à un test antigénique lors de son déplacement en Fédération de Russie. Ils ne sont pas les seuls. Ils savent que ces « tests » sont des moyens de collecte d’ADN à des fins non médicales.
Les manipulations sur le génome humain ne sont plus un secret. L’usage sécuritaire et policier des échantillons ADN est par contre connu même si celui-ci donne lieu à des controverses. Demeurent des questions d’ordre logistique :
Comment collecter des photographies faciales de milliards de personnes sans mettre en œuvre une logistique colossale ? Traquer le déplacement de ces milliards de personnes et pouvoir scanner l’empreinte digitale et l’iris de chaque individu ? Mieux son ADN ?
On dispose aujourd’hui d’éléments de réponse à ces questions. Imposer aux fabricants de smartphones une interdiction tacite des batteries amovibles, puis par effet de tendance l’inclusion de senseurs de plus en plus précis, des lecteurs généralistes d’empreinte, des technologies de reconnaissance faciale se sont avérés autant de mesures insuffisantes. Il fallait un fermage massif et autofinancé de matériel génétique humain. C’est ce qui est en train de se faire depuis 2020 avec l’émergence de véritables fermiers généraux de l’ADN humain de plus de sept milliards d’individus sur un total de près de huit milliards d’habitants.
Donc, on vous a trompé par le biais de la fabrique de la peur. Une ingénierie sociale classique avant de vous contraindre de vous soumettre à une collecte consentie de votre matériel génétique sous prétexte fallacieux (diagnostic) et vous ne savez pas jusqu’à ce jour l’usage réel de votre matériel génétique collecté.
Il faut parfois dire NON et abandonner une certaine zone de confort psychologique.
Source : reseauinternational.net