Lorsqu’elle est montée sur le trône en 1952, le Royaume-Uni était un pays chrétien, peuplé de Britanniques de souche, présents depuis plus d’un millénaire sur leurs îles, fondé sur la famille et le partage des responsabilités. Depuis lors, le Royaume-Uni a subi un changement démographique, un véritable séisme migratoire auquel, sondage après sondage, la grande majorité des sujets de la Couronne étaient opposés. Car la reine Elisabeth a toujours été du côté du manche mondialiste, certainement pour défendre les intérêts financiers de sa petite boutique qui faisaient d’elle, une des toutes premières fortunes mondiales.
Lorsque le Royaume-Uni a rejoint ce qui était alors la CEE, la Reine a directement violé le serment de son couronnement et trahi ses devoirs envers son pays. Personne ne l’a entendue protester.
Lorsque la dévolution a été introduite, cela a entraîné une fragmentation massive du Royaume-Uni et a donné aux leaders sécessionnistes et républicains des positions de premier plan pour saper son propre royaume, mais elle n’a rien eu à dire. L’accord du Vendredi saint a vu des meurtriers et des tueurs d’enfants relâchés dans les rues. C’était aussi une trahison totale du peuple d’Irlande du Nord qui était resté fidèle à sa Couronne, quoi que l’on pense sur cette question. Elle les a vendus.
Ses troupes ont participé à l’invasion illégale de l’Irak, qui a fait plus d’un million de morts. Ses forces armées ont également pris part à de nombreux autres conflits illégaux, tels que le bombardement de la Serbie et de la Libye, qui ont entraîné le chaos et entretenu la déferlante migratoire que nous observons aujourd’hui en Méditerranée et en Europe.
Beaucoup de dignité, d’élégance, de courage et de sourire pourtant, face aux déconvenues, aux deuils et aux scandales chez cette reine, confrontée à de multiples tragédies familiales en effet, mais toujours les pieds trempant dans un marécage composé de nombreuses affaires scabreuses, de nombreux scandales sexuels et financiers. Elle a même contribué à acheter le silence d’une des victimes de son fils cadet compromis avec un pédophile international spécialisé dans le trafic sexuel !
Elle n’a jamais cessé d’accompagner, malgré quelques sursauts d’orgueil national, sans doute avant tout imputables au courage politique de Margaret Thatcher, la dame de fer, comme la reconquête manu-militari des Falklands, la mondialisation dans un pays insulaire qui avait pourtant dans son ADN la défense de ses intérêts. Elle et sa famille ont soutenu la politique du covid 1984 en validant le confinement, en étant une des toute premières britanniques à s’être prétendument vaccinée et en déclarant que ceux qui n’étaient pas prêts à accepter les piqûres expérimentales étaient des « égoïstes ». Elle est ainsi presque parvenue à faire oublier les quelques saluts romains et les amitiés sulfureuses de certains des membres de la famille comme son oncle Edouard VIII, forcé à une abdication dont tout le monde sait que son mariage avec Mme Wallis Simpson n’est que la raison officielle.
Mais cette dérive de la monarchie qui fait des Windsor un des acteurs de l’Etat profond mondial n’est pas l’exclusivité de cette famille britannique mais bien plutôt celle de ces monarchies parlementaires qui règnent mais ne gouvernent plus, perdant de ce fait le contact avec ce qui fait la grandeur de la royauté, la défense du bien commun et des intérêts du royaume au-dessus de toute autre considération, à laquelle se substitue la défense des intérêts de la famille royale, ce qui n’est plus du tout la même chose !
À tout bien peser, Elisabeth II a toujours été infiniment plus digne dans la boue de la décadence que ne pourra jamais l’être un Juan-Carlos d’Espagne, fuyant piteusement sous les palmiers d’une pétromonarchie musulmane le jugement de ses propres sujets. Les héritiers de la Couronne britannique, tels que Charles et William, ont hélas par contre, eux aussi pleinement adhéré au plan mondialiste et à l’ordre du jour de la Grande Réinitialisation qui pousse par exemple à l’hystérie climatique, alors qu’ils vivent en permanence dans le luxe.
Notre époque a finalement bien les souverains qu’elle mérite…
C’était de la merde dans un bas de soie.
Bon débarras ! Pas une larme pour elle.
Dieu seul sait où elle a abouti.
Côté médias de masse, c’est le festival des p… adorateurs de la reine.
On the mass media side, it’s the festival of the q… worshipers of the queen.
Comme je dois être au-delà du milliardième dans l’ordre de succession de la couronne, je ne me sens pas trop concerné ni consterné.
Disons quand même qu’Elisabeth II aura survécu 50 ans à la mort de son pays – ce qui n’avait pas l’air de la gêner, d’ailleurs, elle a bien participé à l’effondrement de son empire que AH voulait protéger.
Au fait, AH est né un 20 avril, la Reine un 21 avril …
pitoyable monarchie
Cher Yvan, l’Analyse est bonne hélas comme je l’ai dit a Mr François Ferrier(m’a t il lu?) dans « La voie que nous suivons avec fierté et détermination »:
Le problème « Anglais » doit etre vu plus en amont…comme le problème Français.
L’Angleterre ancienne avait jusque sous Oliver Cromwell et ceci depuis la bataille d’Hastings une noblesse d’origine Norse-Gaels et de mercenaires bretons armoricains(1/3 des supplétifs 14 octobre 1066).Ils ont toujours défendu l’Angleterre avec des vues sur le continent car fidèle à la matrice culturelle carolingienne de langue Française.
Avec « la premiere révolution anglaise » la noblesse change progressivement(décapité du catholicisme) et les forces de l’argent(usuriers) originaire du monde germanique c’est à dire les juifs des Provinces Unis puis d’Allemagne prennent progressivement le pouvoir lors de la création de la banque d’Angleterre(merci Comwell) 27 juillet 1694.
Rapidement à l’époque Victorienne avec un Benjamin Disraeli au commande apparait un mélange matrimonial douteux entre oligarques juifs et oligarques Anglais…Evidemment nous assistons juste avant à l’explosion des loges maconniques dont les rituels ressemblent curieusement aux illuminé de Bavière avec des mots d’hébreux partout…
Je te pose la question:
Comment espérer un redressement Anglais avec une Diana Spenser dont la mère est une probable « batarde »(fille putative) Rotschild(?) dont le fils héritier au trone épouse une Kate Middleton dont la mère est une « Goldsmith »?…
Métissage des élites puis métissage du peuple…curieux non?
Je te repose la question COHEN-cidence?
Je me demande ce que pensait la reine des gangs de P……ais qui faisaient subir la traite des Blanches aux fillettes et aux adolescentes de son peuple …
On me répondra peut-être que la famille royale n’a pas droit d’exprimer d’avis sur les sujets de société ? C’est tellement plus facile comme ca .