Nous publions avec un peu de retard – et nous en excusons auprès d’Alban d’Arguin – son communiqué de presse rendu public quelques jours avant la visite de l’actuel occupant du trône de Pierre, à Marseille, le 23 septembre dernier. Néanmoins son analyse et ses propos n’ont rien perdu de leur vigueur et de leur actualité.
Le samedi 23 septembre prochain, auront lieu à Marseille, sous l’égide de Monseigneur Aveline, évêque de Marseille et cardinal fraîchement nommé par François l’an passé, la clôture des « rencontres méditerranéennes » qui prendront fin en présence du Pape.
Un mot sur le programme de ces « rencontres » qui marquent un pas déterminé vers la construction idéaliste d’une nouvelle église universelle :
Visite de lieux de culte, parmi lesquels la mosquée Arrhama avec collation dont spécialités maghrébines, exposition du groupe des Foyers Islamo-chrétiens, « témoignage de migrants sur leur intégration à Marseille », Exposition photo « Chrétiens-musulmans : la joie du dialogue » etc.… .
Puis, en clôture, la venue de François qui présidera la messe finale le samedi au stade vélodrome.
En réalité, ce n’est pas un pape catholique qui vient en France, c’est l’Antipape François, et nous devrons lui dire haut et fort :
Antipape, va-t-en ! Antipapa, tira te ! Antipapa, fuori !
J’assume cette qualification d’antipape concernant l’occupant actuel du siège de Pierre. (Il y en eût une quarantaine dans l’histoire passée de l’Église, parfois 2 et jusqu’à 3).
Les circonstances étranges de son « élection » il y a dix ans, après la démission forcée de Benoît XVI, dont on sait aujourd’hui qu’elle fut organisée par un groupe de cardinaux (dite mafia de Saint Gall) en témoignent. La cohabitation durant 10 ans de deux papes vivants, l’un reclus dans les jardins du Vatican et réduit au silence et l’autre sur le Siège de Pierre en fut l’illustration.
Depuis son « élection », il s’est fait le porte-parole du mondialisme le plus abject, comme lors de son retour de Madagascar en 2019, où il déclara à la presse, dans l’avion :
« Quand nous reconnaissons les organisations internationales et leur capacité à rendre des jugements à l’échelle globale – par exemple le tribunal International de La Haye ou les Nations Unies, si nous nous considérons comme membre de l’humanité, quand ces organisations font des déclarations notre devoir est d’obéir aux institutions internationales ».
L’antipape François, n’était pas à son coup d’essai ! Il commença par honorer le 500ème anniversaire de Luther, en faisant installer son buste dans l’entrée du Vatican ! Honorer l’un des plus grands ennemis de l’Église, moine défroqué aux mœurs dissolues, voilà qui aurait dû entraîner une protestation universelle des fidèles.
Mais à Marseille, l’antipape François va une nouvelle fois tromper ceux qui l’écoutent encore, en vantant les mérites d’un nouveau monde ouvert à tous, favorisant la fusion gluante des religions et notamment de l’Islam, avec le christianisme. Et surtout, il va à nouveau parler des « enjeux de la planète », du « réchauffement cataclysmique » et de notre devoir d’accueillir les « migrants climatiques » ! Relayant ici les babillages de la pauvre Greta THUNBERG, qu’il prit même le temps de recevoir au Vatican !
Tous les spécialistes du climat le savent : il n’y a pas de migrations climatiques ! Mais le mensonge de l’ONU est relayé par la plupart des médias dans le monde et François participe à cette désinformation flagrante.
Le journal français « La Croix » a réalisé une étude très documentée sur cette question fin 2019, démontrant la supercherie et le mensonge du « milliard d’immigrés climatiques » en 2050 annoncé par l’ONU !
L’ONU veut un traité mondial sur la « gestion des populations déplacées à cause du climat » !
Et François vient en France, à Marseille, se faisant ainsi le complice de l’ONU, laquelle propage dans le monde entier une culture de mort, notamment des campagnes de stérilisation en Afrique, drapées dans le drapeau de l’Organisation Mondiale de la Santé, et partout ailleurs, elle devient le relais de la culture de mort Woke, LGBT et de tout ce qui est contre Nature, c’est-à-dire contre l’Ordre Naturel !
Et, plus concrètement, l’Antipape François se fait le complice des organismes du grand remplacement, ceux qui recrutent sous les tropiques des africains qui ne veulent plus travailler la terre et qu’on achemine dans les bidonvilles des grandes agglomérations de ce continent, où ils végètent avant d’être embarqués par les entreprises de passeurs dont les financements sont opaques vers l’Europe.
C’est le scandale de la nouvelle traite des Africains, comme elle existait au temps des esclaves !
Alors Antipape François, occupant temporaire du siège de Pierre, ne venez pas à Marseille pour nous servir votre bouillon mondialiste recuit, parlez-nous plutôt de la Foi et du Décalogue !
« Quand le Christ ne règne pas par les bienfaits de sa présence, il règne par les méfaits qu’engendre son absence » écrivait un grand cardinal français de la fin du XIXème siècle.
Antipape François, va-t-en !
Antipapa Francisco, Tira Te !
Antipapa Francisco, fuori !
Alban d’ARGUIN est l’auteur d’un livre « Réchauffement climatique, Enquête sur une manipulation mondiale » paru récemment aux éditions Pardès qui apporte des révélations sidérantes sur le rôle de François dans l’avancée mondialiste et écologique.
Selon je journal « 20 minutes », l’intéressé aurait laissé une ardoise de 500 000 € à la ville de Marseille, une future tuile pour les propriétaires fonciers…
BERGOGLIO N’EST PAS UN ANTIPAPE MAIS LE PRESIDENT D’UNE O.N.G CONCILIAIRE.
Si le Cardinal Angelo Giuseppe Roncalli et le Cardinal Giovanni Battista Montini étaient notoirement connus pour être des Francs-maçons (la Franc-Maçonnerie ayant été anathématisée par la Bulle In eminenti apostolatus specula publiée par le Pape Clément XII, la Bulle Quo Graviora du Pape Léon XII, et dénoncée par le Pape Pie VII dans la Bulle Ecclesiam a Jesu Christo, et le Pape Léon XIII dans l’Encyclique Humanum Genus), le Cardinal Albino Luciani, le Cardinal Karol Jozef Wojtyla, le Cardinal Joseph Aloïsius Ratzinger, ou le Cardinal Jorge Mario Bergoglio n’ont jamais caché qu’ils étaient des Néo-Modernistes (le Modernisme ayant été anathématisé par l’Encyclique Pascendi Dominici Gregis, publiée par le Pape Saint Pie X).
Ces Cardinaux ne remplissent pas les conditions posées tant par la Parole divine pour être de l’Église que par le droit coutumier dont relève le contrat « d’Intendant » passé entre le Christ et Simon Bar Iona pour la gestion des biens du Christ durant son absence, qui leur est applicable pour être « Pierre ». S’étant dégagée de toute fidélité, de tout esclavage, de la Parole divine pour favoriser en théorie comme en pratique des erreurs graves, déjà condamnées par tous leurs prédécesseurs, pour faire droit à l’hérésie, ils ne sont plus selon la loi posée par le Christ que des infidèles (Luc 11, 23) et des sarments secs (Jean 15, 5-7) qui ne sauraient être « de Dieu » et encore membres de l’Église, et y avoir une quelconque autorité. Exclus coutumièrement en vertu des textes sacrées du Christianisme et surnaturellement par le Christ lui-même de son Église, il est impossible de les reconnaître comme successeurs de Simon Bar Iona en tant qu’ « Intendant des biens du Christ » et d’être « Pierre » (« Kephas »), la pierre d’angle de l’Église, fondée sur la Foi, autrement Papes de l’Église catholique. On dit bien « reconnaître ». Celui qui se dit catholique ne peut pas reconnaître un hérétique comme étant le successeur de Simon Bar Iona aux fonctions de « Pierre » qui est la pierre d’angle de l’Église, le symbole de la Foi.
Jésus a dit à « Pierre » ce qu’il attendait de lui et ce que à quoi il devait s’attendre s’il lui était infidèle. Il ne l’a autorisé à aucun moment à prendre des libertés avec ses obligations, à agir librement comme « docteur privé » en son absence, à être sa propre bouche ou celle de Satan. Il lui doit d’être fidèle tel un esclave à toute heure du temps qui s’écoule. De fait et en droit, le Pape, en tant que successeur coutumier de Simon Bar Iona, en tant que « Pierre » (que « Kephas »), doit afficher à tout moment sa foi, elle ne doit pas lui manquer. Elle doit toujours être soutenue et sans tâche. Le Pape doit toujours être de manière permanente et constante lui-même affermi dans la Foi, s’affermir lui-même dans la Foi, cela à tout instant de son pontificat, car comment pourrait-il affermir les autres et accomplir les préceptes que Jésus-Christ lui a spécialement imposés. S’il affirme une autre Foi que celle qui est dans le Christ hors des définitions « ex-cathedra », il mettrait fin à la pureté du Siège apostolique et serait manifestement un hérétique qui ne le prédisposerait ni à être un Catholique ni à être le « Vicaire du Christ ». Cela tombe sous le sens commun. C’est pour cela qu’il fut un temps où le Pape devait prêter un serment de fidélité au Christ et à « Pierre » pour éviter ses dérapages vers l’hérésie (Cf. Eugène de Rozière, Inspecteur général des archives en France, Liber diurnus ou recueil des formules usitées par la chancellerie pontificale du Ve au XIe siècles ; Durand et Pedrone-Lauriel Libraires, Paris 1869, pp. 174-182, formule LXXXIII), mais il a été supprimé après le XIème siècle pour ne pas gêner la souveraineté de la Papauté et sa liberté de parole. Il a été réintroduit sous une autre forme au Concile de Constance (1414-1418), mais apparemment il n’a pas fait long feu. Cependant on peut constater ici les conséquences négatives de cette disparition.
BERGOGLIO PRESIDENT DU O.N.G MONDIALISTE
Il faut bien comprendre ici toute la différence qui existe entre la loi posée par le Christ pour pouvoir devenir « Pierre », la pierre d’angle de l’Église, c’est-à-dire la Foi, et la loi posée par le droit canonique pour accéder au Suprême Pontificat. Dans la loi posée par le Christ, l’Église est fermée, le Christ veillant lui-même surnaturellement à ce que les apostats, hérétiques et schismatiques, ne restent pas dans « Son » Église ou que des infidèles puissent y entrer. Dans la loi posée par les hommes, l’Église (nous parlons ici de l’Église universelle (qui est formée des murs et des institutions) est ouverte, les apostats peuvent y rester et les infidèles s’y infiltrer, tous pouvant même y occuper les plus hautes fonctions, voire même accéder à un conclave et être élu au Siège de « Pierre » sans rencontrer de problèmes. Il fut un temps où « l’autorité hiérarchique » veillait à ce que des apostats et des hérétiques ne demeurent pas dans l’Église universelle (cf. l’Inquisition) mais à partir du XVIème siècle les choses ont évolué. Leur exclusion est devenue impossible à cause du baptême brandi par les progressistes acquis aux valeurs de la Franc-maçonnerie naissante. Autrement dit, ce qui est impossible dans l’Église fondée par le Christ est possible dans l’Église universelle sous emprise soit de la « Réforme grégorienne » (1073-1965) soit de la « Réforme conciliaire venant de Vatican II » (1965-aujourd’hui). Cette différence et d’autres (comme celle-ci où l’Église est pour le Christ une communauté d’ordre surnaturelle et spirituelle visible dans la prière et les rites cultuels comprenant tous les baptisés unis entre eux et au Christ, purs d’erreur, tandis que pour la loi posée entre les XIème et XIIIème siècles l’Église est une société cléricale et hiérarchique ouverte reposant dans sa visibilité, selon certains théologiens – Cf. Abbé Jean-Michel Gleize et Courrier de Rome-, sur la Papauté) font qu’il y a deux Églises distinctes non superposables et sans aucune possibilité de confusion et de dissolution de l’une dans l’autre.
Au regard de ce qui a été entrepris depuis les XIème-XIIIème siècles, l’Église universelle, qu’elle soit sous emprise de la « Réforme grégorienne » ou sous emprise de « l’Église conciliaire », a éclipsé par de sinistres manipulations « l’Église du salut » fondée par le Christ. Tout a été entrepris juridiquement et par diverses manipulations jouant sur la peur et les menaces pour empêcher les laïcs de la voir et de proclamer leur lien avec elle. Cependant, la recherche du bonheur terrestre par les clercs, qui a mis à mal la foi chez beaucoup, et maintenant le ralliement imposé à des apostats, un fait difficilement acceptable à la raison, à la logique et à la Foi, ont conduit bien des croyants à choisir l’unité avec le Christ dans la soumission à la Parole divine que l’unité avec un Pape hérétique dans la soumission à la loi humaine, qui n’a de valeur que dans l’Église universelle, en aucun cas dans l’Église fondée par le Christ qui n’est absolument pas soluble dans l’Église universelle.