Analyse et récapitulatif humoristique et irrévérencieux des infos de la semaine en 10 minutes 😁 : Thomas, Crépol, Irlande, coup d’état européen en préparation, Gérard Collomb etc..
Bonjour !
Certains plantent des tomates, d’autres plantent des Thomas. La différence est subtile, certes, mais suffisante pour que des racistes fachos d’extrême droite, toujours à chipoter sur des détails, osent la relever dans le sillage de feu Gérard, décédé ce samedi d’un cancer non pas du Collomb, ce qui eût été cocasse, mais de l’estomac, et qui, déjà, avait lancé en 2018, en quittant le ministère de l’Intérieur : « Aujourd’hui, nous vivons côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face ». Personnellement, je déteste tous les racistes… surtout les noirs et les arabes… Il y a peu, cette boutade n’aurait pas fait sourire les quelques rescapés qui ont encore accès au second degré, car le racisme antiblanc, tels les fonds occultes de campagne de Macron en 2017, officiellement ça n’existait pas.
Il en va différemment à présent qu’une salle des fêtes de campagne a été assaillie (ce qui devait arriver « couteau » ou tard) par des cons qui, au lieu de gueuler « Allah Akbar » comme tout le monde, ce qui aurait simplifié les choses, n’ont rien trouvé de mieux que de revendiquer, selon leurs propres termes (rapportés par 9 témoins) vouloir « planter du blanc », rendant l’hypothèse d’une animosité d’une partie de la population envers l’autre aussi débattable que le nombre de chromosomes X au sein du couple présidentiel. Donc ça y est (et même si, face à tous ces actes d’amour qui embellissent chaque jour davantage notre paradis multiculturel, je comprends que cela puisse choquer certains) c’est pourtant officiel : ceux que d’aucuns appellent affectueusement « sales blancs », n’ont plus le monopole du racisme.
Une notion de « blanc » elle aussi « éclaircie » (ce qui fait un peu « thon sur thon » façon Braun-Pivet sur Elisabeth Borne). En effet, avant ces évènements, certains puristes qui fantasment, à leurs heures perdues, sur un moyen (non LGBT) de croiser Boris Le Lay et Hervé Ryssen pour sauver la civilisation, pouvaient encore argumenter sur la colorimétrie, ce qui faisait le jeu des « antiracistes » pour décrédibiliser le concept. Depuis la visite de gens qui, décrits crépus, ont crépi Crépol d’hémoglobine, faute d’avoir tranché nous-mêmes, ça a été tranché pour nous… dans le vif … qui, hélas, ne l’est pas resté très longtemps : être blanc, c’est juste être considéré comme tel par ceux qui se considèrent non « blanco-compatibles ».
Thomas n’aurait probablement pas été choisi en premier par le 3e Reich pour une affiche publicitaire, ni en second, ni en troisième, ni… mais de par sa francitude assumée, son comportement normal de Français ordinaire et du fait qu’il n’avait pas un second passeport en poche, il est quand même devenu une cible. Du coup, cela fait beaucoup de cibles potentielles et libre à chacun de se voiler la face, mais, sauf à le faire au propre, quand son tour viendra, les coups de couteau futurs ne seront pas plus déviés par les considérations philosophiques et une carte d’adhésion à la France Insoumise qu’un coït d’éléphants sauvages par un troupeau de 49-3 un soir de pleine lune.
Exit donc les chipotages stériles et autres finasseries avec un nuancier Dulux Valentine à la main : instinctivement, chacun sait parfaitement à quel camp il appartient et, même s’il existe encore quelques confusions chez certains patriotes auxquels les réactions médiatiques au conflit israélo-palestinien n’ont pas ouvert les yeux sur la véritable nature des uns et des autres, la réciproque n’est pas vraie. Les conditions sont donc réunies, sinon pour une guerre civile, en tout cas pour des affrontements de plus en plus sanglants comme à chaque fois que, partout dans le monde, deux communautés non solubles (et a fortiori 3) se sont retrouvées sur un même territoire, faisant fondre tous les pseudos modérés qui ne pourront plus se mentir à eux-mêmes sous peine de finir en hachis parmentier.
Les infâmes complotistes que je désapprouve, par principe, depuis que Julien Pain m’est apparu à la grotte de Lourdes (à moins que ce ne soit un essaim de mouches coprophages sublimé par un rai lumineux – je ne suis plus vraiment sûr, car il faisait relativement sombre) feront certainement valoir qu’après le flop de la manifestation pro-Israël camouflée en marche contre l’antisémitisme, ce raid raciste a remis (simple coïncidence) le Gaulois réfractaire entre le marteau et l’enclume mettant à mal toute velléité de sa part d’observer sereinement pro et anti-Israël en découdre, en reprenant tranquillement des frites, tout en rappelant, par la même occasion, à la racaille de base, parfois distraite, de ne pas se concentrer exclusivement sur ses cousins prépuçodéficients (sans lesquels la république, on ne le répétera jamais assez, ne serait plus ce qu’elle est) car, comme un « ON » non identifiable, sauf par Elon Musk, le leur rappelle depuis au moins « SOS racisme », leur vrai ennemi, c’est le méchant colonisateur blanc, à coups de terribles marches de la même couleur, d’attaques aériennes massives au ballon en baudruche et de lancers dévastateurs de nounours en peluche enflammés aux petites bougies, elles aussi, très pauvres en mélanine.
Depuis cette attaque, qui n’est pas un cas isolé, exactement la même chose s’étant produite à Saint-Martin-Petit dans le Lot au mois d’octobre, pour ne citer que celui-là, les Français des champs qui craignaient de ne pas pourvoir bénéficier des bienfaits du vivre ensemble, à l’instar de leurs collègues citadins, un temps inquiets, à tort, que leur digicode dissuade des migrants de venir les remercier en personne pour leurs panneaux « welcome », sont désormais totalement rassurés puisque que grâce, notamment, au « dispatchage » macronien pré JO 2024 et antérieur, plus personne ne risque d’être privé d’une expérience totale d’enrichissement culturel, jusque dans le confort de son domicile : stages de revitalisation sexuelle pour 4e âge, séances gratuites d’acupuncture profonde, massages faciaux phalangés, cours de feng shui par délestage d’objets divers, garde de domicile bénévole d’octobre à mars, animations nocturnes variées, distribution de substances récréatives, bulletin quotidien sur la taille d’Allah (laquelle n’évolue pas beaucoup, mais demeure intéressante à observer) et, à défaut de spa, chauffage organique et coloration des eaux des piscines municipales avec assistance au déshabillage dans les vestiaires… même le club Med n’en offre pas autant.
Au lieu de se réjouir, il se trouve des pisse-vinaigres, hélas de plus en plus nombreux, pour en arriver, par je ne sais quel raisonnement antirépublicain, à la conclusion que si l’on veut conserver une société viable, rance et rétrograde où l’on peut organiser des bals dépourvus d’enrichissements culturels en faisant peu de cas du soutien à l’industrie de la coutellerie, le point de saturation et de non-retour est désormais atteint concernant les personnes, avec ou sans carte d’identité, qui se considèrent « non blanco-compatibles » et s’en servent comme prétexte pour refuser de faire corps avec le reste de la société qu’elles méprisent ouvertement.
J’ai même ouï des gens penser très fort que l’état qui ne tient que grâce à un monopole de la violence (devenu illégitime depuis qu’il ne remplit plus ses missions régaliennes et qu’il a peur de perdre, en même temps que quelques têtes) ne s’en sert que contre les seuls moutons sur le dos desquels repose tout le système parasitaire, tant du haut que du bas. Moutons interdits de seulement lever la tête, au point qu’une simple marche blanche (qui est au peuple ce que le numéro vert est au gouvernement) s’est vue interdite à Lyon, probablement parce que, bizarrement, personne n’a pensé à qualifier Thomas de « petit ange » (n’est pas Nahel qui veut) et quand, pour réclamer justice pour le même, des jeunes au taux de mélanine racistement bas ont eu l’impudence de défiler, comme s’ils étaient chez eux, dans le quartier d’où est issue partie des malfaiteurs et dans lequel on n’avait pas vu l’ombre d’un képi pendant les émeutes, c’est tout juste si, là, en revanche, on n’a pas envoyé les blindés et l’aviation.
Il faut dire que le calendrier de cette prise de conscience, n’est pas optimal pour le gouvernement lequel (en dépit de la transformation de Macron en rotor d’hélice d’éolienne quant à ses positions géopolitiques) tout à sa ferveur pro-israélienne, a laissé complaisamment les langues médiatiques se délier pour conspuer ouvertement de l’Arabe et du musulman faisant que, dans la foulée, le Français de base, un peu naïf, s’est cru, lui aussi, autorisé à faire ce qu’on lui interdit depuis des années : nommer les choses par leur nom, chose dont, cette fois, on n’a pu l’empêcher, car il est difficile d’expliquer à des esprits simples, qui ne comprennent bizarrement pas pourquoi certains ont le droit de tenir des propos racistes et pas les autres que, de même que si on est tous égaux, certains le sont plus que les autres, si on est tous humains certains… bref, vous comprenez le principe.
C’est ainsi qu’encore meurtri dans mon antiracisme, j’ai entendu concernant les apprentis bouchers de Crépol « afro-maghrébins » par exemple (ou « affreux », je ne sais plus), plutôt que les traditionnels « musulmans », « racailles », « jeunes » et autres pis-aller qui tournent républicainement autour du pot comme un morpion autour d’une protubérance quelconque de première dame. Un cap est donc franchi et il va être difficile de remettre le dentifrice dans le tube après ça.
Heureusement, le déferlement de haine a pu être évité, car, finalement, les leucophobes en question, incroyable coïncidence, s’avèrent être, au bout du compte, des Français, comme vous et moi, peut-être même davantage. Ils ont jusqu’à la carte plastifiée qui le prouve. D’ailleurs, quand on se décidera à communiquer les patronymes, toutes les mauvaises langues en seront pour leurs frais et les craintes de ratonnades d’une Sandrine Rousseau totalement angoissée, la pauvre, à cette éventualité, seront dissipées comme la rosée matinale par les premiers rayons du soleil. Personnellement, au vu des photos qui ont fuité sur le net et dont j’impute la colorimétrie désastreuse à du matériel bas de gamme, je table sur du Corentin voire du Kévin ou Matéo.
Tout cela s’inscrit dans un contexte général avec une prise de conscience de plus en plus brutale face au « sentiment » d’insécurité de l’ensemble des populations européennes, mécontentement canalisé pour l’instant dans des partis verbalement anti-immigrationnistes façon RN ou PVV aux Pays-Bas, tolérés par le système sous réserve de ne critiquer que la branche basse de la tenaille (en gros : « c’est la faute à l’islam »). Parfois, cependant, la chose n’a pas le temps d’être phagocytée et prend un côté beaucoup plus organique comme en Irlande. Suite à une attaque au couteau, parce que bon, sans vouloir discriminer, on est obligés de remarquer que, question inventivité, tout le monde n’est pas égal, attaque ayant visé notamment des enfants, il s’est avéré que l’individu présenté par les autorités comme un autochtone pur jus, s’est vu reprocher par quelques puristes soupçonneux, d’être arrivé d’Algérie 20 ans plus tôt, coïncidence malheureuse ayant déclenché des émeutes, un peu comme chez nous cet été, mais à l’envers, pour demander une remigration massive.
Il y a eu également des pillages qu’on a tenté de mettre sur le dos des émeutiers, forcément des hooligans, avant que de nombreuses vidéos montrent qu’ils étaient, au moins pour partie, le fait d’allogènes opportunistes souvent mis en fuite par les émeutiers eux-mêmes.
Une course contre la montre est donc désormais engagée, car il faut à tout prix éviter que ceux qui se sentent héritiers de la terre qu’ils habitent et qui semblent se réveiller plus tôt que prévu soient en mesure de la revendiquer alors qu’ils sont encore majoritaires, ce qui serait la catastrophe pour ceux qui rêvent d’un paradis mondialisé. Acculée, l’Union européenne, envisage, si elle suit les propositions que le parlement européen vient de voter ces jours-ci, de supprimer les décisions à l’unanimité, lesquelles ralentissaient sa marche folle, de sanctuariser l’immigration de masse et « l’inclusivité », de rendre impossible toute forme d’indépendance politique des états membres, d’obliger à la solidarité en cas de guerre, de s’octroyer une armée propre, des prérogatives militaires, de se doter d’un président (pourquoi pas Macron ?) et autres joyeusetés dont l’élargissement à 34 membres.
Il leur faut juste éviter que tout cela ne tombe à l’eau en raison d’un soulèvement des peuples et d’une reprise en main seulement viable sur des bases ethnico-culturelles. Passé ce cap, toute velléité de révolte pourra ensuite être matée par ladite armée européenne, le temps que la bascule démographique se fasse, sachant que même en stoppant net l’immigration (et elle va, au contraire être amplifiée dans des proportions considérables), en France par exemple, juste par le fait des naissances de « non poignardables dans des bals » bien supérieures à celles des « poignardables dans les bals » et ailleurs (comme encore hier, ces deux septuagénaires dans un centre commercial) ladite bascule est déjà garantie à court terme.
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Pour ceux qui le souhaitent, la transcription complète de toutes les vidéos figure sur le blog de La mite dans la caverne.
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