2023, Déterna, 142 pages, 21 €
Beethoven, Bruckner, Egk, Graener, Lehár, Mozart, D’Olonne, Orff, Pfitzner, Schmitt, Strauss, Trapp, Wagner, Wolff ont le même point commun : ils ont tous été joués, encensés, voire célébrés durant les « années les plus sombres » (ALPS) de notre histoire, en particulier par le plus sombre (mais le plus mélomane ?) d’entre tous : Adolf Hitler.
Quant à Furtwangler, Krauss, Jochum, Böhm, Karajan, Mengelberg, Abendroth, Schwarzkopf, Ney, Gieseking, Backhaus, Kempff, Lubin, Suthaus, Weber, Müller (et les autres), non seulement ils furent, à tort ou à raison, tous des partisans déclarés du iiie Reich, mais encore, et surtout, les interprètes inoubliables des compositeurs susnommés.
Car c’est un fait indéniable : les versions unanimement considérées par les « musicologues » comme celles dites « de référence » sont souvent celles qui ont été interprétées par les artistes les plus idéologiquement « nauséabonds » !
C’est pourquoi Paul-Louis Beaujour a recensé une quarantaine de disques « de légende » encore disponibles (jusqu’à quand ?) que tout mélomane aussi politiquement incorrect qu’un brin nostalgique se doit de posséder dans sa discothèque.
Disponible sur la Boutique des nationalistes
Enfant puis adolescent dans l’immédiat après-guerre, alors qu’une importante catégorie de crétins prenaient l’occupation américaine pour une « libération », et exprimaient leur américanophilie en se pâmant pour le Jazz, chacun prenait des airs d’initiés pour exhiber une nouvelle trouvaille… un nouveau disque… un nouveau nègre !
« Rendez-vous compte, s’émerveillait-on, ils improvisent à chaque fois autour du thème principal. Et le rythme : ça balance !
Il n’échappait pourtant pas aux moins stupides que la vérité, pourtant, était à la fois moins « duduche » et plus évidente :
Les primates dont la sottise des gogos faisait des vedettes étaient bien obligés d’improviser !
Faire du bruit avec les instruments des blancs… d’accord ! Mais ils étaient tout simplement incapables de lire une partition !
Quant au rythme : c’était l’expression de la nostalgie de leur « tam-tam » natif !
Par ailleurs, ceux qui ont étudié la répartition des QI sans concession aux mythes égalitaires savent que la dimension à minima des cerveaux associée à des circonvolutions cérébrales moins achevées font que les noirs NE DISTINGUENT MEME PAS CERTAINES NUANCES DE COULEURS OU CERTAINS SONS !
De sorte que le jazz ou le rapp fixent en réalité les limites que le métissage culturel nous impose !
Un grand merci à l’american way of life !