Trois mois après l’écrasement de l’Europe par les armées criminelles russes et anglo-américaines, le Japon luttait encore en août 1945, isolé, affaibli, à un contre mille. Comme l’Europe, l’archipel se retrouvait coincé entre les deux puissances matérialistes prêtes à tous les crimes pour abattre un ennemi mû par un idéal supérieur, défendant la civilisation contre le néant capitaliste et communiste.
Les dirigeants américains avaient pris le goût du sang après avoir assassiné et fait assassiner plusieurs centaines de milliers de Blancs, de Brest à Berlin, de Monte Cassino à Dresde. Et dans leur course folle pour l’agonie du Japon avec leur partenaire de crimes Joseph Staline, les présidents américains Franklin D. Roosevelt puis Harry S. Truman, eurent bientôt dans les mains cette arme terrifiante qu’a probablement refusé de développer et d’utiliser le Führer : l’arme atomique.
Elle avait été mise au point par le criminel J. Robert Oppenheimer, juif qui dirigea la partie scientifique du Projet Manhattan, dans lequel on retrouvait de nombreux coreligionnaires : Robert Serber, Hans Bethe, Stanislaw Ulam, Felix Bloch, Edward Teller, etc., qui pleurèrent tant de morts mais n’hésitèrent pas à créer la plus meurtrière et ignoble des armes.
Le choix des dirigeants étasuniens se porta sur Hiroshima et Nagasaki, car il s’agissait de villes uniquement peuplées de civils. Les terroristes avaient pour but de sidérer l’opinion par l’acte le plus abominable, impensable possible. Outre la reddition du Japon devant « la démocratie » ayant revêtu une fois encore les habits de la Mort, les attaques avaient pour objectif de faire passer à toutes les nations du monde, alliées, ennemies et autres, un message : « la démocratie », les « antifascistes » étaient prêts à tous les crimes pour imposer leur version de l’histoire, et accessoirement leurs produits, leur pollution, leur monde sans valeur, leurs viols et leurs crimes dans une humanité engagée vers le Nouvel Ordre mondial.
Le 6 août 1945, c’est la ville d’Hiroshima qui subit le châtiment démocratique. Plusieurs dizaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants meurent instantanément ; d’innombrables autres décèdent dans d’atroces souffrances des suites de leurs blessures sans qu’aucun secours ne puisse être apporté, notamment dans l’incendie géant qui dévaste la ville.
Le 9 août 1945, c’est Nagasaki qui est rayée de la carte par la folie criminelle des Alliés. Le bilan total est effroyable, sans doute 250 000 morts, dans un crime contre l’humanité surpassant en horreur tout ce que le monde avait connu jusqu’alors.
Si toutes les études sur les viols de millions d’Européennes en Normandie, en Italie, en Allemagne par les armées criminelles russes et américaines ne suffisaient pas, si toutes les études sur Katyn, sur Dresde, sur les tortures commises contre les prisonniers allemands, français, italiens, les massacres des Foibe, ne suffisaient pas, le crime des crimes commis par « la démocratie » à Hiroshima et Nagasaki rappelle qui furent, durant la Seconde Guerre mondiale, ceux qui luttèrent pour ce qu’il y a bien et de bon dans l’humanité et qu’ils tentèrent, en vain, de vaincre les pires des monstres qui, depuis maintenant 70 ans, dirigent le monde pour notre plus grand malheur.
L’ordre matérialiste est à l’œuvre comme hier, voulant « libérer » l’humanité du « carcan » de la famille, de la patrie, des solidarités naturelles, comme il voulut « libérer » le Japon du « carcan » de son histoire, de sa culture, de sa civilisation trop marquées par le respect pour l’ordre divin, la droiture, ces valeurs de fidélité et d’honneur qu’exècrent les fous criminels qui nous dirigent et contre lesquels ils n’existent qu’une solution, radicale et définitive, pour sauver l’humanité.
Pour aller plus loin :
Nagasaki, un objectif spirituel !
9 août 1945 : À Nagasaki, le Diable l’emporte
Hiroshima était-il indispensable ?
L’apocalypse incendiaire et atomique des bombardements alliés sur le Japon