Alors qu’une nouvelle offensive israélienne permet aux « experts » – le plus souvent autodésignés ! – de ressasser les mêmes commentaires sur le nombre d’otages survivants, les pertes militaires, la multiplication des victimes civiles, voire sur la sophistication d’armes nouvelles, si l’on cessait enfin de laisser confisquer le débat par ces stipendiés de la désinformation ? Ne serait-il pas temps de prendre en compte l’aspect dérisoire de l’émotionnel, brandi par les manipulateurs d’opinion, pour privilégier le rationnel, suggérant dès aujourd’hui les questions sur lesquelles se pencheront un jour d’authentiques historiens ou géopoliticiens : pourquoi ce conflit ? Et pourquoi maintenant ?
Des questions dont on s’étonne qu’elles puissent être totalement occultées tant les réponses en sont connues et depuis longtemps évidentes. Réponses qui se résument en un seul mot, mais qui fut à l’origine de nombre de conflits sur toute la surface du globe : hydrocarbures !
C’est en effet au siècle dernier, dans les années 1990, que des forages ont révélé que la Méditerranée orientale, sans être à même de rivaliser avec le Golfe Persique contenant 40% des réserves de gaz mondiales, n’en était pas moins un eldorado en puissance, avec 2 000 milliards de m3 de gaz. Chiffres revus depuis à la hausse par la très crédible US Geological Survey, faisant état de plus de 3 milliards de barils de pétrole, mais de … 9 700 milliards de m3 de gaz !
Un premier gisement, dit « Gaza Marine 1 », a été découvert à la fin des années 1990 dans les eaux territoriales de Gaza. Il est situé à 36 kilomètres à l’ouest de la Bande de Gaza, dans les eaux méditerranéennes.
Un second gisement, « Gaza Marine 2 » fut découvert dans la zone maritime frontalière entre Gaza et Israël.
Mais les Palestiniens ne purent jamais, cependant, exploiter ces deux gisements gaziers en raison de l’opposition d’Israël, dont l’invasion de Gaza, en 2008 fut un élément déterminant.
Les gisements Gaza Marine sont ainsi considérés comme les plus anciens gisements non exploités au monde ! Ce qui est d’autant plus préjudiciable que Gaza manque d’électricité, coupée plusieurs fois par jour, alors que les réserves de ce gisement, estimées à plus de 30 milliards de m3, à même de fournir annuellement 1,5 milliard de m3 pendant 20 ans, permettraient d’alimenter toutes les centrales électriques palestiniennes, et même d’en destiner une large part à l’exportation.
MEME MOTIF POUR L’ATTAQUE CONTRE LE LIBAN ?
La découverte toute récente d’un potentiel colossal de gaz naturel et de pétrole sous les eaux de la Méditerranée orientale a aussi concerné le Liban qui, depuis 2010, doit faire face à un contentieux avec Israël, concernant la délimitation des eaux territoriales permettant l’exploitation de ces gisements.
Une récente analyse du Centre Français de Recherche sur le Renseignement confirme que le litige concernant les gisements gaziers entre Israël et le Liban est l’une des nombreuses questions qui pourraient être concernées par l’issue du conflit israélo-palestinien, lequel n’est pas un conflit isolé mais une pièce d’un puzzle beaucoup plus vaste comprenant la sécurité énergétique…
Comme le précise la « Revue de Défense Nationale » : « l’approche juridique se révèle insuffisante car les deux États ne suivent pas les mêmes règles. »
Israël vient donc de tenter une autre « approche »…
MAIS POURQUOI LE CONFLIT S’EST-IL INTENSIFIE ?
Pour Israël, mais aussi pour les pays limitrophes concernés, l’exploitation du gaz naturel a pris une importance considérable pour plusieurs raisons :
1 : Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique dit « anthropique », le gaz naturel qui émet 40 % de moins de gaz à effet de serre que le charbon, est considéré « combustible de transition », et devient donc un enjeu industriel majeur.
2 : Il en résulte dès lors un besoin en constante progression, la sacro-sainte loi « de l’offre et de la demande » ne manquant pas de faire progresser sa valeur marchande. Au point que certains analystes évoquent un « âge d’or » du gaz naturel !
3 : Valeur marchande atteignant de plus des sommets inespérés, répercussion collatérale de la raréfaction du gaz de Sibérie, consécutive aux sanctions contre la Russie et au sabotage du gazoduc Nord Stream, en mer Baltique, le 26 septembre 2022.
LES TENANTS ET LES ABOUTISSANTS DU SIONISME
Guerre à Gaza : des bellicistes cachés dévoilés (Source. site: « Les moutons enragés »
mercredi 25 septembre 2024Analyse, complots et théories, Culture, Droits et libertés, Enquête choc, Géopolitique, Histoire, hypothèse, Manipulation, N.O.M, Opinion, Propagande, Réflexion, Religion, Tribune libre, Vos alertes-infos, Vous nous avez écrit
Proposé par Françoise G
Gaza
Source Kla.Tv
EXTRAITS :
…./… Schneerson demande à Netanyahou de provoquer la venue du Messie. Mais qu’est-ce que cela signifie ? Avant que le Messie ne puisse venir selon cette doctrine, le monde doit passer par l’Armageddon, par une grande tribulation, une déchéance morale, des invasions et de la confusion. Et surtout, de violentes guerres. Le rabbin Eliyahou Kin déclare : “La troisième guerre mondiale, face à laquelle la Seconde Guerre mondiale ressemblera à un jeu d’enfant, sera le début de la libération.” Ce pourrait-il donc que Netanyahou accélère la venue du Messie en laissant la guerre du Proche-Orient escalader jusqu’à ce qu’elle soit comme un feu qui embrase le monde entier ? En effet, selon une prophétie des années 90 du Rebbe Menachem Mendel Schneerson, Netanyahou sera le Premier ministre qui remettra le sceptre au Messie. C’est donc une grande incitation pour Netanyahu à tout faire pour atteindre cet objectif.
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Cette escalade du conflit entre juifs et musulmans jusqu’à l’embrasement global est un agenda que les cercles sataniques font avancer depuis des siècles.
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Edmond de Rothschild a massivement encouragé l’installation de Juifs en Israël à la fin du 19e siècle, car selon les interprètes kabbalistiques, les Juifs doivent retourner sur leur terre pour que les prophéties de la fin des temps puissent s’accomplir.
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Pike a expliqué ce qui suit dans sa lettre sur le conflit : “La troisième guerre mondiale doit être déclenchée en exploitant les divergences entre les sionistes politiques [Sionisme : mouvement politique radical visant à établir et à maintenir illégalement un État-nation juif dans les anciennes frontières historiques (en Palestine et au-delà)]. et les dirigeants du monde islamique, divergences causées par les “agents” des “Illuminati.” La guerre doit être menée de manière à ce que l’islam (le monde arabo-musulman) et le sionisme politique (l’État d’Israël) se détruisent mutuellement.”
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Le Hamas – créé par Israël lui-même ? Il existe des voix et des indices clairs selon lesquels le Hamas a été délibérément érigé comme force radicale par le gouvernement israélien lui-même, afin de jouer précisément ce rôle nécessaire à l’escalade de ce conflit.
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Une fois de plus, il apparaît ici que les catastrophes mondiales actuelles ne sont pas le fruit du hasard, mais qu’elles sont délibérément provoquées, et que les coupables présentés au public mondial ne sont pas les véritables responsables de ces événements ! Dans ce cas, les Palestiniens et les Israéliens sont les victimes de ces commanditaires fanatiques et radicaux, ce qui a déjà coûté et coûtera la vie à d’innombrables personnes innocentes si ces processus ne sont pas stoppés. Mais comment empêcher cette effusion de sang massive visée par les sectes de la fin des temps ?
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Le ministre israélien de l’Energie a exprimé hier son intention de revenir sur l’accord de 2022 sur la frontière maritime avec le Liban. Cet accord était « une erreur dès le départ », avait déclaré Elie Cohen.
Le 27 octobre 2022, le Liban avait signé un accord historique avec Israël délimitant leur frontière maritime commune et assurant la répartition de gisements gaziers offshore en Méditerranée orientale. Les deux pays voisins, qui n’entretiennent pas de relations, s’étaient entendus au bout de plusieurs mois de négociations ardues par l’entremise des États-Unis.