Entendons-nous bien, si je n’ai jamais eu aucune sympathie pour Samuel Paty, pour ses provocations et l’orientation univoque de son enseignement, et je le revendique, je ne souscris en aucun cas ni à la condamnation dont il a été l’objet ni à son exécution abjecte. Mais je souscris encore moins à son actuelle canonisation dans un indécent « martyrologe laïciste ». A l’époque où les procès d’intention se multiplient et où la censure renaît de ses cendres, il y a des évidences que l’on se doit malheureusement de rappeler.
La République, toujours soucieuse de célébrer ses fameuses « valeurs » a fait de la commémoration des assassinats de Charlie Hebdo puis de celui de Samuel Paty, un an plus tard, le point d’orgue de sa propagande laïciste la plus haineuse. Pourtant cette « valeur de la république » ne se retrouve pas dans les principes qu’elle énonce et ni dans les écrits des grands esprits – généralement panthéonisés – qui les ont initiés.
Ce qu’on a « oublié » ou pire, volontairement ignoré
Car qui se soucie encore d’instruire et de transmettre la pluralité de réelles connaissances dans l’instruction publique ? Plus personne aujourd’hui : l’éducation dite « nationale » n’a plus pour mission en France que de formater des petits ripoublicains, notamment dressés à l’intolérance et à la haine anti religieuse. La fameuse devise, dite républicaine – mais qui est originellement maçonnique – « Liberté Égalité Fraternité » ne comporte pas au grand dam des Peillon, Valls et autres fanatiques, le mot « Laïcité ».
Pour encenser Samuel Paty on ose tout, y compris la récupération systématique des victimes du terrorisme. On utilise ainsi cette année le souvenir d’un autre assassinat d’enseignant tout aussi odieux, celui de Dominique Bernard, professeur de lettres assassiné sans motivation religieuse par un fiché S le 13 octobre 2023.
Cela pour relancer la Patty mania :
Un amalgame stupéfiant qui ne vise que l’instrumentalisation de ces assassinats à des fins purement idéologiques laïcistes :
« Un hommage national a été rendu, le 14 octobre 2024, à Samuel Paty et à Dominique Bernard, deux professeurs assassinés lors d’attaques terroristes en 2020 et 2023. Cette commémoration rappelle l’importance des principes de laïcité et de liberté d’expression, ainsi que le rôle central de l’école dans la transmission de ces valeurs. »
Ce qui est ahurissant c’est l’amalgame : d’un côté nous avons un professeur humaniste et pluraliste, soucieux de dispenser des connaissances, de l’autre un militant dogmatiste et laïciste qui n’a pas hésité à proposer à certains de ces élèves de quitter le cours quand il allait évoquer les fameuses caricatures du prophète primitivement publiées par Charlie Hebdo si cela ne leur convenait pas. Deux conceptions de l’enseignement totalement aux antipodes ; humanisme contre dogmatisme. Et que l’on ne vienne pas justifier l’amalgame des assassinats d’octobre, opération montée uniquement à des fins de propagande laïcarde par le besoin bien légitime d’honorer conjointement des martyrs de l’enseignement.
La preuve ?.. Il y en a hélas une, une autre enseignante volontairement oubliée celle-là : un professeur d’espagnol poignardé à Saint Jean de Luz mais malheureusement le 22 février 2023. La mort d’Agnès Lassale, une linguiste humaniste, férue de flamenco ne pouvait pas être exploitée idéologiquement ni dans l’espace ni dans le temps : ce n’était donc qu’un « fait divers » . Les proches et les élèves d’Agnès Lassale ont apprécié cet oubli… Nous avons repris ici une de ses trop rares photos qui figurent sur internet.
Les authentiques principes républicains pour l’éducation
Les principes éducatifs républicains semblent bien être ceux édictés par Condorcet en 1791, grand théoricien et chantre panthéonisé de la république et ils devraient être encore médités aujourd’hui :
« L’éducation si on la prend dans toute son étendue ne se borne pas seulement à l’instruction positive, à l’enseignement des vérités de fait et de calcul, mais elle embrasse toutes les opinions politiques morales ou religieuses. Or la liberté de ces opinions ne serait plus qu’illusoire si la société s’emparait des générations naissantes pour leur dicter ce qu’elles doivent croire. Celui qui en entrant dans la société y porte des opinions que son éducation lui a données n’est plus un homme libre, il est l’esclave de ses maîtres. » (Condorcet, Cinq mémoires sur l’instruction publique (1791), 35-36.)
En général c’est une citation qui est utilisée par les laïcistes pour dénoncer les effets de « l’obscurantisme de l’enseignement confessionnel » mais ils oublient que, pour Condorcet, imposer aux générations en devenir des opinions (républicaines et laïques) est tout aussi néfaste !
Ce que l’on retrouve exprimé de façon péremptoire dans son discours à l’Assemblée législative du 2 avril 1792 intitulé « Les principes de l’instruction publique » :
« La première condition de toute instruction étant de n’enseigner que des vérités, les établissements que la puissance publique y consacre doivent être aussi indépendants qu’il est possible de toute autorité politique »
C’est encore, insistant sur le principe de neutralité, ce que rappellera, presque un siècle plus tard, Jules Ferry exposant la création de l’école laïque et prévoyant clairement des sanctions pour les instituteurs (Loi du 26 mars 1882) :
« Si un instituteur public, s’oubliait assez pour instituer dans son école un enseignement hostile, outrageant pour les croyances de n’importe qui, il serait aussi sévèrement et aussi rapidement réprimé que s’il avait commis cet autre méfait de battre ses élèves ou de se livrer contre eux à des sévices coupables. »
L’instruction religieuse doit, selon la loi du 28 mars 1882, être donnée, si les parents le souhaitent, « en dehors des édifices scolaires » . Les écoles sont fermées à cet effet un jour par semaine – le jeudi, « outre le dimanche » . Un article de la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation de l’Église et de l’État confirmera ce point de la loi Ferry. En réalité, le paragraphe sur « les devoirs envers Dieu » n’est pas enlevé des programmes de morale. Ainsi, dans la pratique, les maîtres continuèrent à parler de Dieu. Il faudra attendre le 25 février 1923 pour que ces fameux « devoirs » soient officiellement supprimés des programmes scolaires ! C’était il y a à peine cent ans… L’avertissement est clair et cette tradition de tolérance semblait avoir été respectée jusqu’ici.
Le dévoiement laïciste
Samuel Paty – comme nombre de ses collègues, pour ne pas dire hélas la majorité d’entre eux, était disciple d’un Peillon qui court toujours après « une mystique de la laïcité » héritée, selon Gershom Sholem, de Junius Frey [1]. Il ne s’inscrivait pas du tout dans la vision libérale, humaniste et pluraliste, de la laïcité de l’enseignement héritée de Condorcet. Pour lui précisément, pleinement dans la ligne des laïcistes plus hystériques, il s’agissait bien à travers l’enseignement de s’emparer et de formater l’esprit des générations naissantes en leur dictant ce qu’elles doivent croire. La liberté d’expression selon les laïcistes, c’est d’abord le refus de laisser se développer la liberté d’expression de ceux qui osent ne pas penser comme eux ! Pour eux, qui n’ont que le mot « tolérance » à la bouche, la tolérance de la pensée des autres leur est simplement intolérable ! On avait connu cela aux pires moments de la Terreur ; « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Il s’agit évidemment de « leur liberté » de penser et d’agir, pas de celle des autres.
Instrumentalisation idéologique
Samuel Paty est devenu un symbole : il est présenté par les laïcistes comme un martyr de l’enseignement et de la liberté d’expression alors que ce n’est que le modèle de l’intolérance antireligieuse, et du matraquage idéologique qui l’accompagne, orchestré par l’Élysée. 0n avait même eu droit à un hommage national :drapeaux en berne, minute de silence dans toutes les écoles, hommage dans la cour de la Sorbonne avec remise de la légion d’honneur et de la cravate de commandeur des palmes académiques (!) ; puis l’incontournable discours du président qui a commencé par cette profession de foi d’intransigeance laïcarde :
« Ce soir, je veux parler de votre collègue, de votre professeur tombé parce qu’il avait fait le choix d’enseigner, assassiné parce qu’il avait décidé d’apprendre à ses élèves à devenir citoyens. Apprendre les devoirs pour les remplir. Apprendre les libertés pour les exercer. Ce soir, je veux vous parler de Samuel PATY. »
On ne peut évidemment absolument pas souscrire à cette analyse des plus simplistes de Macron.
L’attitude de Paty correspondait peut-être aux conceptions de l’enseignement selon Macron, mais « apprendre les libertés » ne veut pas dire subir un martelage idéologique et « devenir citoyen » ne signifie pas s’y conformer. L’enseignement public ne peut pas être, ne doit pas être, un bourrage de crâne prodigué par un personnel sectaire !
« Si un instituteur public, s’oubliait assez pour instituer dans son école un enseignement hostile, outrageant pour les croyances de n’importe qui, il serait aussi sévèrement et aussi rapidement réprimé que s’il avait commis cet autre méfait de battre ses élèves ou de se livrer contre eux à des sévices coupables. »
Paty a délibérément ignoré cette mise en garde de Jules Ferry (1882), comme de nombreux autres enseignants malheureusement aujourd’hui.
Pour Paty, outrager les croyances, est la seule manifestation de la liberté d’expression qu’il conçoit et qu’il enseigne, aux antipodes des principes qui ont construit l’école de la république dont il se réclame. D’où le fait qu’évoquer dans un cours des caricatures ne se conçoit pour lui que comme atteinte aux conceptions religieuses dans la droite ligne de ses amis de Charlie-Hebdo qui en on fait, faute de talent et d’idée, leur fer de lance idéologique et la base de leur « rédaction éditoriale ».
En ce sens, l’avoir nommé (à titre posthume et au plus haut niveau) dans l’ordre des Palmes Académiques est non seulement choquant mais totalement scandaleux ! Le sectarisme va à l’encontre de l’esprit de cette distinction, comme il va à l’encontre des vrais principes de l’éducation, même républicaine.
C’est là qu’on oublie de souligner – pour l’honneur du corps enseignant – les condamnations explicites de certains professeurs rapportées par Le Monde lors de l’assassinat de Samuel Patty :
« J’écris aujourd’hui ce message car j’éprouve le besoin de dire que je ne soutiens pas notre collègue, explique une enseignante expérimentée. Je refuse de me rendre complice par mon silence, d’une situation dans laquelle je me retrouve plongée malgré moi. A mes yeux, cette situation altère le lien de confiance que nous essayons de renforcer chaque jour avec les familles qui ont choisi l’école publique pour leurs enfants et au vu du contexte dans lequel elle s’inscrit, met en danger l’ensemble de la communauté du collège. »
Un autre enseignant s’en prend à Samuel Paty en des termes encore plus virulents :
« Non seulement notre collègue a desservi la cause de la liberté d’expression, il a donné des arguments à des islamistes et il a travaillé contre la laïcité en lui donnant l’aspect de l’intolérance, mais il a aussi commis un acte de discrimination : on ne met pas des élèves dehors, quelle que soit la manière, parce qu’ils pratiquent telle ou telle religion ou parce qu’ils ont telles ou telles origines, réelles ou supposées. Mon éthique m’interdit de me rendre complice de ce genre de choses. »
On n’a pu alors que partager l’inquiétude et l’émotion de ces enseignants face au sectarisme, et souscrire pleinement à ces remarques uniquement dictées par le respect de la sensibilité des élèves.
Mais la « Patymania » est en route dès décembre 2020 !
Soixante écrivains rendent hommage à Samuel Paty dans deux ouvrages, « Mon prof, ce héros » et « Lettre à ce prof qui a changé ma vie ». Les deux ouvrages, cosignés par soixante écrivains et universitaires en hommage à Samuel Paty, seront bientôt disponibles en librairie. Ils seront vendus « au profit d’œuvres éducatives ».
Le Conseil de Paris a voté le 17 novembre 2020 pour qu’un lieu de la capitale porte le nom de l’enseignant. La présidente du groupe écologiste Fatoumata Koné a toutefois souligné :
« Nous regrettons que le règlement ne soit pas respecté. Je souhaite rappeler qu’une délibération, qui date du 9 décembre 1938, précise qu’il n’est pas autorisé de dénominer une voie au nom d’une personne qui est décédée depuis moins de cinq ans. (…) La raison de ce règlement était d’éviter que nous réagissions à chaud », a ainsi expliqué l’élue du 19e arrondissement.
Cette réflexion de bon sens a entraîné la fureur d’Anne Hidalgo. Mais la polémique anti-écolo a été lancée par les maires de droite (LR) Geoffrey Boulard.et Francis Szpiner.
Aujourd’hui la sœur de Samuel Paty assure un succès de librairie. Elle s’est associée à Emilie Freche pour publier un ouvrage sur son frère : « Le cours de Monsieur Paty »
« Si vous pensez être choqués, vous pouvez détourner le regard »
Tout un programme : on s’adresse à des élèves de collège et non pas d’étudiants censés être aptes au choix Il est clair que nous n’avons pas la même conception de l’enseignement : on ne cherche plus à informer : on impose. Cela vaut bien d’être nommé commandeur des palmes académiques.
Condorcet au secours ! Après le fanatisme islamique, le fanatisme idéologique, même s’il n’a apparemment plus tué en France depuis 1794 semble ressusciter deux cents ans plus tard de façon tout aussi inquiétante pour l’avenir !
Source : MetaInfos
Note :
[1] Youssef Hindi – « La mystique de la laïcité – Généalogie de la religion républicaine de Junius Frei à Vincent Peillon » Ed. Sigest.
Quelques point de désaccord:
1 – Il faut se demander quel est le poids de l’éducation dans ce que deviendra et pensera l’enfant devenu adulte.
2 – Penser que l’éducation fait tout, c’est justement du pur gauchisme.
3 – Quand on est de droite, on pense au contraire que la race compte pour 70%, la tradition pour 20% et l’éducation pour 10% seulement.
4 – De toute façon, la liberté ne se négocie pas, ce n’est pas une question de pourcentage, nous sommes, et donc, nous sommes forcément libres, à 100 %: même les pieds et les mains attachés dans une cellule au fond d’un goulag, nous sommes seulement entravés, notre liberté est intacte, même enchaînés à une destinée, même créés par Dieu, nous demeurons quand même intégralement libre.
5 – Je peux au moins témoigner de mon cas: j’ai été élevé par la génération 68, des maoïstes philosémites, eux-mêmes élevés par des communistes staliniens, genre guerre d’Espagne et tout le bataclan –> le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il n’en reste pas grand-chose, je dirais même que sur le sujet essentiel, la race blanche, j’ai toujours pensé la même chose.
Bon, par contre, on est d’accord, Paty faisait du militantisme, du prosélytisme athée, il voulait remplacer les parents, s’approprier la conscience des enfants etc.
Ceci n’est en rien une justification de ce qui lui est arrivé, évidemment.
Je ne comprends pas encore. Il faudrait faire un peu de philosophie avant non? Vous nous dites que la race est quasiment tout, ce qui risque encore une fois d’effrayer les esprits à peu près équilibrés qui visitent parfois ce site en sus des inepties conspis innombrables dans certains articles et en commentaire. Oui la race est importante, c’est le produit de l’évolution depuis 100000 ans environ, depuis la sortie d’homo sapiens d’Afrique vers -100000 environ (la race blanche est née par dépigmentation dans les latitudes septentrionales de l’Eurasie, les climats froids ont fait qu’elle a dû développer certains traits de caractère encore présents aujourd’hui: prudence, calme, conseil, parcimonie, économie), mais 70%, c’est beaucoup, je dirais plutôt à 40-50%. Ce qui fait la spécificité de l’homme par rapport aux animaux, c’est qu’il est justement perfectible, il n’est pas entièrement nature, il est culture, il n’est pas entièrement dominé par un instinct à l’instar des animaux, l’homme est un être historique accessible à l’éducation (il suffit de voir la ville de New York en 1664 et aujourd’hui, alors qu’une termitière est toujours la même depuis 10000 ans). C’est Pic de la Mirandole le premier dans le discours sur la dignité de l’homme qui a réussi à identifier cette singularité de l’homme, repris par Rousseau ensuite dans les fondements de l’inégalité parmi les hommes. L’ écueil est de considérer soit l’homme comme une bête: il est 100% nature, donc race; ou alors de le considérer comme complètement libre comme cet avorton et ce monstre-plante de Sartre dans l’Existentialisme et l’humanisme: la nature n’est rien, l’homme est volonté, il est ce qu’il veut être, sa nature ne compte pas.
Le problème de votre commentaire est qu’il soutient ces deux opinions complètement antagonistes, car vous nous dites d’un côté que l’homme est race, presque inaccessible à l’éducation, donc qu’il est complètement déterminé, partant non libre et de l’autre côté, vous protestez qu’il est libre à 100 %. Vous ne voyez pas la contradiction? On a donc un homme complètement déterminé d’un côté, en l’occurrence par sa race; de l’autre vous professez presque des idées sartriennes, notre nature n’est rien, nous sommes entièrement liberté.
Je pense qu’il faut revenir à des opinions plus rationnelles et essayer de relier les deux: on est libre à mesure qu’on est perfectible. Pour revenir à la biologie, il y a certaines races plus perfectibles que d’autres, il faut bien l’admettre et même au sein de la race blanche, les différences sont très grandes. Ensuite, il y a des individus plus perfectibles que d’autres. La perfectibilité est justement le moyen de vaincre ses mauvais déterminismes et d’affermir les bons. Plus un individu est libre, moins il est déterminé et ce sont justement les peuples les plus perfectibles qui sont les moins déterminés par leur race: en gros l’Europe du Nord-Ouest et l’Italie et l’Espagne il y a 4 siècles. Donc je reviens à ce que je disais au début, la race est importante comme vous dites, mais dans la mesure où justement elle détermine notre perfectibilité, notre faculté à être libre et à être culture. Je dirais donc plutôt que l’homme 40% nature-race, 60% culture.
@ Professeur David ,
T’as lu Wikipédia c’est sur ,tu devrais te renseigner sur National Vanguard ça pourrait te faire du bien .Ou sur « terre et peuple » moins radical .
J’aime bien le coup de la dépigmentation des blacks ,je comprends pourquoi ils squattent la Suède ,ça leur évitera des frais de traitements esthétiques blanchissants Mais pour le squelette qu’est ce qu’ils peuvent faire ?
Je m’attendais bien à ce qu’un vienne me donner des cours de paléoanthropologie. Je connais ces thèses. Mais la vraisemblablance et l’honnêteté sont du côté de l’évolution. Même des hommes de droite comme le psychologue Philippe Rushton corrobore la théorie de l’évolution, car elle explique tout. Je rappelle d’ailleurs que son maître livre Race et Comportement à fait l objet d une recension peu ou prou laudative sur ce site il y a qqes années et il est vendu par mon ami Jean Platin sur le site Akribeia.
Je me fous donc de ce que dit T&P, j exposé simplement ce qui est attesté et fait consensus.
Nous n’avons rien à gagner à nous disputer là-dessus, seulement à être un peu plus la risée du Système et nous diviser un peu plus. Que la terre soit plate ou non, que l’Evolution soit une imposture, que le terre soit au centre du monde ou non, que le premier homme dans l’espace ait foulé en fait un studio de Holllywood, que les pharaons conduisaient déjà des hélicoptères, que les Aryens viennent de l Atlantide, etc., ça ne changera rien au temps présent, à la situation présente et aux enjeux et aux défis du combat actuel. En revanche ceux d en face se réjouissent de voir des abrutis qui se croient supérieurs aux autres et qui croient tout mieux savoir que les autres sacrifier à toutes les inepties possibles.
Seul le révisionnisme peut faire l’objet d un consensus, car il dispose de preuves sérieuses en faveur de ses thèses. C est pourquoi les révisonnistes les plus sérieux se distancient des coquecigrues conspis et ne sont pas complotistes du tout, car ils savent très bien qu’un compagnonnage avec eux risque de ruiner leurs thèses.
Un article qui doit faire réfléchir à l’instrumentalisation du concept de laïcité.
Les lecteurs pourront trouver d’autres éléments concernant le dogmatisme laïciste infernal des macrons et notamment les références des textes de Condorcet ou la lettre de Jules Ferry reprise en totalité dans l’article de Metainfos.
https://metainfos.com/2024/10/20/samuel-paty-martyr-de-lintolerance-laiciste/
Un site d’informations à visiter!
Les gens ici ont tendance à faire très attention à ce qu’ils disent en répétant à chaque fin de phrase qu’ils ne cautionnent évidemment pas ce qui est arrivé à ce professeur. La vérité ce que je m’en fous de ce qui a pu lui arriver. Faut-il rappeler que ce type faisait partie d’un système qui avait pour but de détruire, dénaturer, culpabiliser ceux qui représentent la colonne vertébrale, l’essence même – ou du moins ce qu’il en reste – de la culture européenne. A t’on oublié qu’on parle bien d’un génocide? Où est-ce trop exagéré et que ça fasse un peu trop mélo-dramatique? Tout le système éducatif, milieu gauchiste par excellence, a tjs prôné l’immigration de masse avec son cortège de viols, meurtres, saletés…bref, ne s’est jamais montré concerné par tous les problèmes auxquels les autochtones sont confrontés; a, pour ainsi dire, quasi célébré la propre mort de son peuple ainsi que de son identité, et je devrais me préoccuper au sujet de sa « petite tête »? Avec mes respects mais que peut bien valoir sa « petite tête » par rapport à tous les dégâts auxquels ce type a sciemment participé?
Pour une fois, je vous donne raison, j’éprouve le même sentiment d’horreur et de dégoût que vous, ces profs gauchistes, bons à rien, crasseux et incultes, qui seraient aujourd’hui incapables d’avoir le certificat d’études que l’on passait sous la IIIe République, font vraiment partie des pires chancres dont on est en train de crever, on n’en parle pas assez, c’est 80 % de l’Education nationale et de l’Université ainsi et c’est pareil partout en Europe du Nord-Ouest. Peu me chaut donc ce qui est arrivé à ce « prof »!
Je vous mets un des plus beaux calembours de Bourbon dans son édito du 28 octobre 2020 juste après l’événement de la décollation du prof gauchiste par la crouille du Caucase. Editorial malheureusement ultra-conspi, s’il me souvient bien, mais qui nous a valu tout de même ce calembour magistral:
« S’il est certes naturel de prier pour le repos de Paty qui a pâti d’avoir été Charlie et de montrer de la sympathie et de l’empathie pour la famille Paty à l’infortune de laquelle on a compati, il n’y a aucune raison de faire de Samuel Paty un héros et de lui rendre un hommage public et solennel ».
Et le pire j’oubliais aussi, c’est que la médiathèque municipal de Moulins en Auvergne s’appelle désormais « médiathèque Samuel Paty », une horreur de plus à supporter quand on va à la bibliothèque, car ledit prof gauchiste est originaire de Moulins.
Je ne me sens pas du tout flatté par votre considération concernant mon commentaire. Il faut le faire taxer Rivarol d’une revue à thèses complotistes. A se demander ce que vous venez faire sur ce site qui ne tient que des thèses, selon vous, « complotistes ». Vous voulez jouer à l’esprit critique tout en croyant à toutes les thèses officielles. Que ce soit le covid, le 11 septembre, la lune, que ce sont les allemands qui ont déclenché la guerre, enfin bref, tout ce qu’on vous a demandé de croire dur comme fer. Je mettrais ma main au feux que vous croyez aussi que les 1er habitants aux States étaient les peaux-rouges.
Monsieur « probité intellectuelle ».
Et Patati et Patatras ,on obtient souvent ce que l »on demande au génie de la lanterne magique . »Oh bon génie ,je suis un bon shamuel donne moi la force d’étre un martyr du :
Padamalgamechancepourlafrancevivreensemblesentimentdinsécuritésuprémacismblanctouségaux.
Il faut réfléchir avant d’émettre des souhaits .