« Il faut un ministère de l’Instruction publique, ou de la Rééducation nationale si vous préférez. On est arrivé à un moment où l’école, vecteur principal en France de l’ascenseur social, ne fonctionne pas. Et Mme Vallaud-Belkacem fait tout ce qu’il faut faire pour empirer la situation. Alors qu’on attend depuis tellement longtemps une réforme du collège, je trouve que sa réforme, inspirée des expériences pédagogiques les plus hasardeuses, est ce qu’il y a de pire en matière éducative. C’est vraiment terrible »
a dénoncé l’Africaine Ramatoulaye Yade-Zimet, critiquant notamment la volonté de la Marocaine Najat Belkacem de promouvoir son congénère l’Algérie Jamel Debouzze, « ce qu’il y a de pire en matière éducative », préféré notamment à l’enseignement du latin.
« Que les socialistes n’aient pas compris cela ne m’étonne pas, puisqu’ils préfèrent Jamel Debbouze »
a-t-elle ajouté.
La Marocaine est l’une des dirigeantes « dont les actes auront les conséquences les plus préjudiciables pour notre système éducatif et donc pour notre pays » a encore asséné l’Africaine, voyant dans les politiques du gouvernement pro-invasion des accents… racistes.
« Penser que ces nouveaux publics de l’école, les jeunes défavorisés, ne sont pas capables de comprendre Racine ou Molière, c’est un crime. Et que cela vienne de socialistes qui se disent républicains, c’est encore pire. […] J’ai vu aussi que Madame Najat Vallaud-Belkacem est d’accord pour l’enseignement du fait religieux à l’école. Deuxième crime. Elle fait tout à l’envers. Que le Premier ministre se joigne à cela, c’est quelque chose encore plus grave. […] On préfère Jamel Debbouze comme on a préféré le rap, les cultures de la rue qu’on a promues comme étant les lieux du savoir. C’est sidérant »
a conclu l’ancien ministre de Nicolas Sárközy.