Le tueur islamiste Merouane Benahmed, membre du tristement célèbre Groupe islamique armé (GIA, al-Jama’ah al-Islamiyah al-Musallaha), a été envoyé par le gouvernement dans le petit village de Châteaulin en résidence surveillée. Le terroriste islamiste, condamné à mort par contumace en Algérie pour ces crimes, est interdit de territoire en France.
Il a été condamné par la justice dans notre pays à dix ans de prison pour sa participation aux « filières tchétchènes ». Ce gang lié à La Base (el-Qaïda) regroupait des islamistes ayant combattu en Tchétchénie et préparant alors des attentats en France, notamment contre l’ambassade de Russie à Paris, mais aussi gérant les voyages des terroristes vers des pays en guerre.
Malgré cela, au nom des prétendus « droits de l’homme » qui empêcheraient – c’est ce que la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a imposé au gouvernement qui s’est empressé d’obéir – d’expulser le tueur dans son pays, il a été assigné à résidence à Châteaulin, après l’avoir été à Beauprès et à Segré dans le Maine-et-Loire. Ce très dangereux criminel est donc imposé à des petits villages en France.
« On a rassuré sur son profil en expliquant qu’il n’est actuellement pas dangereux »
a osé proclamer la préfecture à Quimper. Après l’affaire de la plage privatisée exigée par le criminel roi d’Arabie séoudite, cette affaire rappelle le caractère profondément antifrançais de cette administration républicaine aux ordres du gouvernement. C’est un autre préfet, Jean-François Carenco, alors dans le Rhône qui avait lancé les procédures de dissolution contre les groupes nationalistes Jeunesses nationalistes (JN) et l’Œuvre française.
Merouane Benahmed vit donc en France depuis 1999, dont plusieurs années passées en prison et, depuis 2011, aux frais du contribuable en résidence surveillée avec pour seule obligation de pointer quatre fois par jour à la gendarmerie (ce qui ne doit pas être facile pour trouver du travail – si tant est qu’il ait jamais travaillé – ni pour effectuer les cinq prières islamistes).
Une source évoquée par les médiats précise que le choix du gouvernement s’est porté sur Châteaulin parce que le risque de fuite est « limité », qu’il est « facile » à surveiller, qu’il n’y a pas de mosquée islamiste prônant le terrorisme à proximité – rappelant que le régime en tolère donc d’innombrables à travers la France – et qu’il ne peut s’y constituer un « réseau », alors même que plusieurs cas d’inversion à l’islam ont été constatés en Bretagne. Pour trouver les derniers lieux épargnés par l’islamisme en France il faut donc regarder où le gouvernement installe… les islamistes.
La préfecture affirme attendre qu’un autre pays accueille le terroriste. L’attente risque de durer quelques dizaines d’années. Pendant ce temps-là, en plus d’être une grave menace pour les Français, le terroriste vivra à la charge du contribuable. Comme le préfet.