Il y a quelques jours, Ayoub el-Khazzani nous rappelait tout ce que nous avons à gagner avec ces migrants imposés par le grand patronat grâce au soutien actif de l’extrême gauche et des gouvernants. Mais un Ayoub peut en cacher un autre. Si el-Khazzani s’est « illustré » dans le nord de la France, c’est dans le sud, sur la (désormais tristement) célèbre place des Lices de Saint-Tropez que s’est « distingué » un autre. Comme son homonyme, il a été l’antihéros d’un tragique fait divers.
Après plusieurs faits de violence similaires ces derniers mois, opposants des bandes de racailles issues des diverses cités de la Côte d’Azur, mais aussi de « jeunes » en vacances, une bagarre s’est produite en plein centre de Saint-Tropez dans la nuit de jeudi à vendredi dernier.
C’est durant les affrontements qu’Ayoub, présenté sans rire par un journal local comme un « jeune Tropézien », a été très grièvement blessé. Il est hospitalisé depuis dans un état critique et, s’il en réchappe, gardera vraisemblablement de très lourdes séquelles de cette nuit-là – mais les Français paieront, comme ils ont déjà payé l’hélitreuillage de la « victime » dans deux hôpitaux.
Ce soir-là – à plus de 5 heures du matin – le « jeune » Ayoub – âgé tout de même de 24 ans – se « promenait » avec un ami quand il a croisé une bande de cinq individus « originaires [sic] de la région parisienne ». Le motif de l’altercation n’est pas connu – ou a été caché –, mais la bagarre a été très violente. Depuis, le journal local s’interroge : « Saint-Tropez : la place des Lices est-elle devenue infréquentable en fin de nuit ? ». Ce dernier crime a ravivé les craintes des commerçants et habitants. Il n’y a pourtant rien de bien nouveau en réalité : il y a un an, le même journal titrait : « Les bagarres nocturnes font frémir le village ». Sans provoquer la moindre réaction parmi la population ni les autorités à l’époque. Il devrait en être de même cette fois-ci.
Il est loin, très loin, le temps du petit village de pêcheurs provençaux où s’installa Colette au temps de Brasillach…
Un article grossier, sans aucun fond,qui reflète tout à fait le travail d’un journaliste d aujourd’hui. Vous n avez donc aucune éthique à profiter de la quasi mise à mort d’un jeune tropezien – que cela vous en déplaise – pour nourrir votre délire identitaire ?
Il ne faut pas avoir d’âme pour vomir de tels propos, je souhaite qu un jour vos enfants ne subissent pas le même sort.
Et il faut être la dernière des catins pour parler à propos de gens que VOUS vous ne connaissez visiblement pas. Et si c’est le cas, nous espérons rapidement vous voir en prison. Ou expulsée de notre pays.