En quelques années, un avocat agissant anonymement sur internet est devenu une star abondamment citée et promue par les médiats du système. Il en défend, il est vrai, tous les dogmes et toutes les corruptions. Caché derrière son anonymat, il multipliait sur son compte Twitter les attaques malveillantes contre tout ce qui représentait la France et les Français, ne reculant pas devant l’insulte, ni l’injure, ni la diffamation.
Après une attaque de trop, l’Institut pour la justice (IPJ) avait porté plainte pour injure et diffamation. Cet institut, réclamant une juste application des lois, avait été diffamé par l’avocat-racaille.
Excédé par le très fort soutien populaire à une pétition lancée par l’IPJ réclamant notamment « l’impunité zéro pour les atteintes aux personnes et aux biens », l’avocat d’extrême gauche, défenseur habituel des délinquants contre les honnêtes citoyens, avait prétendu que les 1,7 million de signatures collectées par l’IPJ n’étaient dues qu’à un « compteur bidon de signatures ».
Digne représentant de l’oligarchie antifrançaise, il avait ensuite multiplié les insultes et les attaques contre l’IPJ et ses défenseurs.
« Je me torcherais bien avec l’Institut pour la justice si je n’avais pas peur de salir mon caca »,
avait déclaré entre autres la racaille, ajoutant, mû par une révélatrice passion de cabinet, que le Pacte 2012 pour la Justice était « une bouse à ignorer ».
Les juges ont reconnu que « l’association des termes compteur bidon et manipulation prêtait une volonté de truquer et de mentir à l’IPJ » de l’aveu même de l’avocat de « maître Eolas ».
Anonyme, diffamateur et insulteur, « maître Eolas » méprise de plus la justice de son pays : il n’a pas daigné venir écouter la lecture du délibéré. Mauvais joueur, il a immédiatement fermé son compte Twitter après sa (faible) condamnation à 2 000 euros d’amende avec sursis et 5 000 euros de dommages et intérêts. À l’inverse, son site est toujours actif.
Malgré cette condamnation, l’identité de l’avocat-délinquant n’a pas été révélée par ses complices des médiats.