En seulement cinq mois, près de 40 000 étrangers ont envahi l’Europe par les côtes italiennes selon les chiffres officiels du gouvernement italien. C’est autant que le total des arrivées en 2013, année durant laquelle 43 000 colons avaient attaqué l’Europe par la seule frontière maritime italienne.
« Sur l’estimation des arrivées en 2014, il convient d’être très prudent, mais la pression migratoire est très forte et la tendance est à la hausse. [Les colons] cherchent notre protection [sic] et nous avons l’obligation [sic] de les accueillir, mais cette obligation est européenne, pas seulement italienne »
A déclaré Angelino Alfano, ministre de l’Intérieur et ancien dauphin de Berlusconi, en appelant à faire payer l’ensemble des Européens pour leur propre destruction. Le contribuable italien, mis à contribution pour les opérations de sauvetage à hauteur de 9 millions d’euros par mois, a été ponctionné pour la construction d’innombrables lieux d’accueils pour les colons : déjà 12 000 postes sont en activité et ils seront rapidement 20 000.
Un plan national de répartition des migrants a été mis en place en collaboration avec les régions, les provinces et les communes »
A ajouté Angelino Alfano, demandant de surcroît que les Européens facilitent l’arrivée des migrants avec l’installation « de camps de toile en Afrique ». Ces 40 000 « clandestins » arrivés par la seule Italie s’ajoutent aux millions d’étrangers autorisés officiellement à venir en Europe par les différents gouvernements d’occupation. Ils s’ajoutent également aux centaines de milliers de clandestins qui attaquent l’Europe par ses frontières maritimes et terrestres en Grèce, en France, en Espagne. Dans ce dernier pays, plus d’un millier d’envahisseurs ont attaqué le poste frontière espagnol à Melilla ce mercredi. Plusieurs centaines d’entre eux, au moins 400, ont réussi à franchir les clôtures de sécurité. Il s’agissait de l’un des plus violents assauts organisés par les migrants depuis plusieurs années, qui intervient après l’attaque du 18 mars 2014, qui avait permis à environ 500 étrangers de mettre pied en Europe.
Plus de 1 000 subsahariens ont tenté d’entrer à Melilla vers six heures du matin. […] Un morceau de la barrière, extérieur, a été renversé. […] Ils venaient par vagues. […] Il y a eu également un grand déploiement de la Garde civile. Mais il était difficile de l’arrêter »
A constaté Juan José Imbroda, qui dirige la ville autonome de Melilla. Ici comme ailleurs, les agresseurs de l’Europe ont désormais mis au point des techniques d’attaque très efficaces pour détruire les barrières physiques, morales, mentales qui devraient conduire les peuples d’Europe à rejeter violemment le viol de leur terre.