À Lyon, la capitale des Gaules occupée, une personne a été agressée et poignardée en pleine rue pour une histoire de cigarette. Cette fois-ci, il ne s’est pas agi d’un refus de cigarette face à l’une de ces razzias devenues habituelles. Non : la nouveauté, c’est que l’autochtone se voit désormais interdit de fumer dans la rue, par un fou d’Allah. Antichambre de la « police de la charia » qui prétend désormais faire la loi dans les rues d’Allemagne ?
Comme d’habitude, la caste politico-médiatique a qualifié cet agresseur de « déséquilibré » et un médecin a avalisé son retrait de garde à vue (après un coup de tête contre un codétenu) pour une hospitalisation d’office.
Que cet homme qui circulait librement fut déjà « connu des services de police » pour des cambriolages (première récidive légale, c’est-à-dire pour le même type de fait, censée entraîner une peine plus lourde) et des outrages (seconde récidive légale !) n’étonnera personne après un président Sárközy qui a supprimé la « double peine » et avec une ministre actuelle qui fait voter des lois pour libérer les places de prison au profit du bracelet électronique, sauf pour les patriotes qui se défendent dans les souricières montées par les « antifas ».
Mais notre agresseur du jour vient d’ajouter une touche plus rare au casier judiciaire qui lui sert ici de curriculum vitae. Il semble être islamisé au point de mener en France la « guerre sainte » qui lui trottait dans la tête. En effet, que ce soient les témoignages quant à ses propos – il a lancé son agression en qualifiant sa victime de « mécréant » avant de se mettre à répéter sans fin « Allah Akbar » – et attitudes dans la rue avant d’agir, son comportement par la suite, les documents retrouvés en sa possession sur place – référence au Front al-Nosra, la branche d’al-Qaïda en Syrie, des documents sur une compagnie aérienne turque, un tapis de prière, un Coran – ou bien encore le résultat de la perquisition menée à son domicile, tout semble relier ce criminel aux mouvements islamistes qui mènent une guerre contre les autorités syriennes depuis le mois de mars 2011 et pratiquent aussi allègrement les décapitations que la réduction en esclavage des populations civiles d’Irak qui ne se comportent pas à leur guise.
Quant au Lyonnais victime de cette tentative de meurtre, souffrant de graves blessures au cou et au ventre, il est entre la vie et la mort (en novlangue, dérivée du baragouin d’occupation, “his vital prognosis is engaged”, « son pronostic vital est engagé »).
Avec ce gouvernement on est pas prêt de les foutre dehors !!!!
Il faut renverser ce gouvernement de #rigolos# et mettre un Poutine bis !!!!!!
Croyez moi la sécurité en France sera de nouveau instaurée et le halal et la Charia dans les charters !!!!!
on en fera autant avec les francais qui investissent et habitent dans les pays etrangers . si on va de ce sens .
On peut penser ce que l’on veut de Poutine mais ce genre de méfaits n’arrivent pas en Russie. On ne combat pas des extrémistes avec des discours, des groupes d’études et autres initiatives inutiles, occultant ainsi la réalité de la vie quotidienne et les dangers d’un l’immobilisme coupable et criminel.
Il est malheureusement arrivé à de nombreuses reprises ces dernières années que des « Caucasiens », généralement musulmans, assassinent – parfois massacrent – des Russes en pleine et que seule la colère populaire incitent les autorité à – mollement – réagir. Jeune nation a évoqué d’ailleurs une affaire de ce genre : http://jeune-nation.com/2013/10/violentes-manifestations-de-colere-apres-le-meurtre-dun-russe-par-un-caucasien-pres-de-moscou/ .