Après plus d’un an passé en prison sans raison, Samuel a été libéré mardi 17 juin. Il faisait partie d’un groupe de jeunes patriotes agressé par une bande antifasciste le 5 juin 2013 à Paris. Durant l’affrontement, l’une des racailles avait chuté à terre et était décédée. Dès le lendemain, Esteban, Samuel et cinq autres personnes étaient venus d’elles-mêmes à la police ou avaient été interpellés.
Samuel avait immédiatement été disculpé par un agresseur, complice de Clément Méric, qui avait affirmé et répété qu’il n’avait porté aucun coup à Clément Méric. Malgré cela, la police et la justice se sont acharnées contre lui, lui infligeant plus de douze mois de prison.
Remis en liberté, Samuel demeure injustement poursuivi pour violences volontaires en réunion et avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Pour ce même chef d’accusation, Esteban demeure aujourd’hui emprisonné.