Les clandestins font la loi à Clermont-Ferrand, sans entraîner la moindre réaction ni de la police. Ils sont plusieurs centaines (la presse avance le chiffre de 360), à être présents dans la ville depuis des mois. Via l’ANEF (Association nationale [sic] d’entraide), association officiellement chargée de s’occuper des urgences sociales et le 115 mais devenue un service d’aide à l’invasion, le contribuable français les a logés dans des hôtels, pour un coût de plusieurs millions d’euros. De l’aveu même de l’association, l’hébergement a coûté 350 000 euros par mois. Pour la seule période de janvier à août, les Français, pour la seule ville de Clermont-Ferrand, ont payé 2 800 000 euros pour loger des gens qui ont violé leurs frontières !
N’étant pas remboursée assez vite par l’État (elle a pourtant reçu 140 000 euros et vit avec de confortables comptes en banque), l’ANEF a arrêté de payer des chambres d’hôtels. Les immigrés, musulmans pour la plupart, ont alors occupé une église de la ville, à l’invitation des associations d’extrême gauche.
Leur présence, outre la souillure qu’elle représente, a conduit à un début d’incendie du bâtiment très probablement causé par ces délinquants. Ils ont alors été contraints de quitter les lieux. Et se sont installés devant l’église. Aucun de ces clandestins n’avait été interpellé pour séjour irrégulier ; aucun n’a non plus été arrêté pour l’incendie.
Toujours soutenu par quelques extrémistes de gauche locaux, ils campent dans les rues près de l’église et ont établi un véritable bidonville au cœur de la cité.
Marie-Luce Pouchard, déléguée de l’association de l’anti-France Ligue des Droits de l’Homme, tente vilement d’apitoyer les gens en mentant :
« Je rappelle que les demandeurs d’asile, qui ne sont pas tous comme vous le dites en situation irrégulière, certains viennent d’arriver et sont en cours de procédure, ils ne sont pas logés et ils sont en situation régulière sur le territoire, puisqu’ils sont en cours de procédure. D’autres sont effectivement déboutés mais ont commencé des démarches pour une régularisation à titre humanitaire, ils doivent être logés ! »
Or plusieurs propositions de relogement ont déjà été effectuées, mais qui ne sont pas à leur convenance. Ils réclament d’être logés – aux frais des Français évidemment – mais dans un lieu qui soit à leur convenance. La mairie était pourtant prête à mettre à la disposition de ces délinquants, à l’heure de la rentrée et au détriment des enfants de la ville, un gymnase dans l’attente d’une solution durable.
Les immigrés et leurs soutiens manifestaient hier dans les rues de la ville, bloquant le tramway, toujours sans que la police ne daigne agir.
La même situation a été constatée à Issoire.
Avec l’afflux d’immigrés, essentiellement des illégaux, le nombre de personnes bénéficiant d’un hébergement d’urgence à Clermont-Ferrand a été multiplié par à quatre. En un an, l’État a multiplié le nombre de place d’hébergement totalement financées dans le département. Un coût pour le contribuable de 2,21 millions d’euros.
Un premier accord est intervenu avec la préfecture. « C’est symbolique » jette le directeur de l’ANEF 63 Gilles Loublier, qui a pourtant obtenu tout de même quelque 400 000 euros. Mais la polémique enfle. Il ne s’agit hélas pas de dénoncer la présence de centaines (ici et de centaines de millier en France) d’immigrés clandestins qui, après avoir violé nos frontières et s’être imposés chez nous, pillent, détruisent, manifestent et exigent. La polémique concerne l’ANEF. Cette association, semblables à des dizaines du même type, brassent des millions d’euros exclusivement issus des fonds publics et sans réels contrôles.
Quelques chiffres : l’ANEF Puy-de-Dôme emploie 110 personnes. Le montant des salaires et avantages en nature des trois salariés les mieux payés était en 2012 de 194 000 €, soit en moyenne 5 400 € par mois alors qu’en 2009, Stéphane Martin, directeur et plus haut salaire, ne touchait “que” 4 723 €.
L’année 2012 a été consacrée essentiellement à l’achat d’un nouveau siège pour l’association. Un immeuble situé à deux pas de la Caisse d’allocations familiales et de la cité administrative de la ville, rue Niel. Curieusement, l’extrême gauche a préféré envoyer les clandestins occuper une église plutôt que le confortable siège de cette association.
Dans la vidéo ci-dessous Martine Roussel, militante anti-française multicarte (CIMADE, RESF, Secours populaire) et son comparse François Roche tentent de se défendre avec le complice soutien de France 3
Selon le ministère de l’Égalité des territoires et du Logement, l’ANEF est simplement mal gérée et elle va être la cible d’une enquête approfondie. L’État évoque de « possible dysfonctionnement budgétaire ayant conduit l’association à se trouver dans cette situation ».
Ce « dysfonctionnement » aura permis de rappeler aux Français que chaque jour à travers le pays l’accueil, l’entretien, le soin et l’aide aux immigrés clandestins lui coûte des millions et des millions d’euros, dépensés pour entretenir sa ruine et sa décadence.