Un médiat de la presse écrite dans son édition du 25 mars révèle la volonté du gouvernement de ne pas froisser les populations vivant « dans les quartiers », selon l’expression employée par Laurent Nunez-Belda lui-même. C’est-à-dire, bien sûr, les cohortes d’envahisseurs-colonisateurs auxquels les gouvernements qui se sont succédés depuis 40 ans ont donné les précieux « papiers » (sauf-conduits pour la CAF et autres allocations de notre État-Providence, plus généreux pour les autres que pour les siens).
Il s’agit du compte-rendu d’une visioconférence tenue le 18 mars et réunissant Beauvau et des préfets… au lendemain du début des opérations de confinement sur notre territoire.
Le secrétaire d’Etat à l’Intérieur (le véritable chef de Beauvau, Castaner n’en étant que le communicant devant les médiats) aurait déclaré au cours de cette réunion :
« Ce n’est pas une priorité que de faire respecter dans les quartiers les fermetures de commerces et de faire cesser les rassemblements. »
Une préconisation qui aurait d’ailleurs emporté l’approbation d’un préfet de la zone Sud-Est qui aurait précisé qu’«il ne fallait pas mettre le feu aux banlieues en essayant d’instaurer un strict confinement». Un autre préfet, du Nord cette fois, aurait pour sa part affirmé concernant les commerces de nuit dans ces secteurs : «Ils exercent une forme de médiation sociale»… Entre le Covid-19 et la population ?
Une lâche préconisation, donc, mais sans doute largement approuvée par l’agitatrice suprémaciste africaine (à papiers français depuis 2016), Si bête Ndiaye, dont Macron a fait le porte-parole de son gouvernement, qui a effectué un rappel à l’ordre général, le 20 mars, face à ceux qui soulèvent légitimement la question du refus du confinement dans les « territoires occupés » en France :
« Je préfère mettre le holà tout de suite. Evidemment, c’est vrai que dans certains quartiers, il n’y a pas de respect des règles. Mais attention, je ne veux pas qu’on commence à dire que c’est parce que ce sont des banlieues, avec des populations de telle ou telle origine, que les gens ne respectent pas les règles. Je vois bien le relent qui va très, très vite arriver. J’entends les dérapages de certains. Je vois bien à quoi cela peut vite mener. »
Elle s’interroge donc : à quoi cela pourrait-il bien mener ? À ce que les Français s’indignent de tels comportements (accumulés à tous les autres) et retrouvent le goût de chasser les envahisseurs du territoire national ? À les foutre dehors par exemple ? Banco !
Mais pour l’instant, a contrario des banlieues ethniques, le Français sur son propre sol est, lui, assigné à résidence, et prié sous peine d’amende – gav et prison si récidive – de ne pas se dégourdir les jambes à plus d’un kilomètre de son domicile. Et à pieds, pas à vélo ! Crime de lèse-confinement !
Malheureusement pour les forces de l’ordre, les racailles peu reconnaissantes pour les égards de Castaner à leur endroit, n’hésitent pas à rappeler les directives de Beauvau aux condés, parfois même à coup de pavés ! Comme à Beauvais (et de nombreuses autres cités en France) où une jeune policière adjointe de sécurité (ADS) a été blessée à la tête par « un jet de projectile » alors qu’elle intervenait pour disperser un attroupement d’une dizaine de personnes contrevenant aux règles de confinement, à la cité de la Roseraie.
Et en réaction, le 24 mars au soir, le clownesque Castaner n’hésitait pas à hypocritement jouer les matamores sur Twitter, en complète contradiction avec les ordres de Nunez du 18 mars : « Ce soir, mes pensées vont à cette policière grièvement blessée, alors qu’elle était engagée pour nos protéger. Tout est mis en œuvre pour que ces actes gravissimes ne restent pas impunis. Solidarité avec tous ses collègues de la Police nationale.»
Tirons la chasse de cette clique de politocards – marionnettes des lobbies de l’Anti-France – dont la criminelle priorité est de dérouler les plans mondialistes de destruction des nations et dissolution des peuples européens, sans se soucier de la nécessaire protection dont notre peuple aurait pourtant tant besoin dans ces temps troublés.
Pour la France aux Français, Révolution nationale !