En ce dimanche 13 mai, conformément à la tradition nationaliste et à leur droit naturel, Les Nationalistes ont honoré Jeanne d’Arc. À deux reprises et en deux lieux dans Paris !
Comment aurait-il pu en être autrement alors que les camelots de Charles Maurras et Maurice Pujo, au début du XXe siècle, payèrent les hommages à Jeanne d’Arc au prix de nombreux blessés, d’arrestations et de 10 000 jours de prison ?
Comment pouvait-il en être autrement alors que Maurice Barrès, un de nos maîtres en nationalisme, imposa à la république une fête de Jeanne d’Arc et du patriotisme, le deuxième dimanche du mois de mai, par une loi votée le 10 juillet 1920 à l’unanimité de la Chambre des députés et par le Sénat ?
Une loi toujours en vigueur en 2023 et au nom de laquelle, après tous les gouvernements de la IIIe, de la IVe et de la Ve république, le gouvernement Macron-Bornstein-Darmanin rappelle par voie de circulaire à toutes les autorités et collectivités, le devoir de pavoiser les bâtiments officiels aux couleurs nationales en ce deuxième dimanche de mai, toujours fête légale de Jeanne d’Arc.
Comment les autorités de cette république, pas à une contradiction près, entendent-elles empêcher des Français de célébrer Jeanne d’Arc, devant sa statue, alors que les représentants des autorités et des corps constitués y déposent tous leur gerbe en ce jour ?
Ces hypocrites voudraient sans doute confisquer Jeanne d’Arc pour petit à petit en faire disparaître la symbolique et l’usage de lui rendre traditionnellement hommage !
C’est ainsi que le ministre Gerald Moussa Darmanin, a profité des cris d’orfraie de la gauche et l’extrême-gauche, après le défilé pourtant impeccable et digne du C9M en hommage à Sébastien Deyzieu (ancien militant de l’œuvre française, et mort dans des circonstances troubles en tombant d’un toit alors qu’il était poursuivi par la police républicaine de Charles Pasqua), pour enjoindre tous les préfets d’interdire préalablement et en tout temps, les rassemblements et réunions d’une fantasmagorique « ultra-droite ». Et qu’il fit pondre au préfet de police de Paris pas moins de 6 interdictions de se rassembler et manifester en ces 13 et 14 mai, dont les hommages traditionnels à Jeanne d’Arc du CRAF et des Nationalistes.
Attaqué devant la juridiction administrative, le CRAF obtint étonnamment l’annulation des deux arrêtés concernant son colloque et son rassemblement. Alors qu’étaient rejetés le référé-liberté et le référé-suspension introduits et plaidés par Les Nationalistes devant le Tribunal administratif de Paris le 13 mai. Accessoirement on distingue bien qui sont les ennemis du système, ceux contre lesquels toutes les infamies sont permises pour les faire taire et disparaître du paysage politique…
Et d’ailleurs le Tribunal administratif rejetant le recours ne cachaient pas sa cible réelle, notre directeur et chef des Nationalistes, Yvan Benedetti, arguant « qu’il a déclaré le rassemblement et qu’il y sera présent, permettent de regarder comme suffisamment établie l’existence d’un risque de propos ou de gestes incitant à toute forme de haine notamment raciale de nature à porter atteinte à la dignité de la personne humaine, en méconnaissance des principes consacrés par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et par la tradition républicaine ».
C’est à une véritable tentative d’assassinat politique, au nom d’un délit de faciès et d’opinion, que se livrent les autorités de tutelle en France du mondialisme et du judapo. Ils avouent par là leur volonté réelle d’étouffer toute voix porteuse d’une autre ambition pour la France que celle d’une fusion dans un magma européiste et atlantiste des boutiquiers, des banksters, des lobbies et des pervers : une voix qui propose aux Français le chemin ambitieux du redressement fondé sur la défense de la vie, de l’enracinement, de la tradition et du sacrifice, à l’exemple de l’héroïne et sainte de la patrie.
Bien entendu, après ce rejet du recours en urgence, Les Nationalistes continueront à mener le combat « par tous les moyens même légaux » (Charles Maurras), et déposerons donc un recours au fond en annulation de cet arrêté afin de manifester à la face des autorités leur détermination, afin de leur plonger la tête dans leurs contradictions libertaires et liberticides et afin de faire valoir les droits les plus naturels des Français en France de se réunir et de s’exprimer publiquement et librement !
Ainsi, sans céder un pouce de terrain aux intimidations et menaces résultant d’une interdiction scélérate, Les Nationalistes ont honoré Jeanne d’Arc en ce 14 mai, déposant une imposante gerbe florale une première fois en matinée devant sa statue sur le boulevard Saint Marcel (Paris 13e) en présence de Clément Gautier, secrétaire général de l’Action Française non reniée ; puis une deuxième fois avec Yvan Benedetti dans l’après-midi devant la statue équestre de la place des Pyramides (Paris Ier) sur le lieu même concerné par l’interdiction.
Sans la mobilisation et le soutien de tous les camarades, amis et sympathisants, c’est l’expression politique du vieux cri de ralliement des Français non reniés que leur république métisseuse et décadente fera disparaître : La France aux Français !
Maître chez nous !
Qui vive ? France !
Pour manifester un soutien et participer à l’offrande florale : http://www.leetchi.com/c/gerbe-de-fleurs-pour-ste-jeanne-darc
Moussa c’est pas lui qui va décider
Pour la défense, je pense qu’il faut s’orienter vers l’idée que cette commémoration est une tradition.
Quant à Moussa, il ferait mieux de s’occuper de l’interdiction de l’abattage halal et casher qui, elles, ne se sont pas des traditions françaises.