À force de consulter les chiffres de la mortalité de l’Insee à cause du covid, deux vérités d’évidence se font jour, parfaitement accessible même aux non-démographes.
Premièrement, on apprend qu’en raison de la pandémie, la mortalité sur 12 mois glissants est passée de 600 000 environ à fin 2019, à 660 000 à fin octobre 2021 (cela commence à rebaisser, à fin novembre 2021 on est à 643 000).
Mais, précise l’Ined, compte tenu du vieillissement de la population, même sans le covid, chaque année, la France comptait environ 13 000 décès supplémentaires, autrement dit, même sans le covid, on serait à fin 2021 à 626 000 décès.
Pour bien fixer les idées, il faut savoir qu’à la fin de l’année 2000, il y avait en France 521 000 décès. Cet indicateur de vieillissement de la population autochtone n’est déjà pas de très bon augure, mais…
Deuxièmement, une autre aberration saute aux yeux : reprenons le chiffre de la dernière année «normale», 2019, avec 600 000 décès, à l’époque, la France comptait déjà 67 millions d’habitants. Or, pour vider la baignoire en partant de ce chiffre, 67 millions, au rythme de 600 000 décès par an, il faudrait 111 ans (sans naissance ni immigration). Pourtant, il est bien évident que l’espérance de vie en France n’est pas de 111 ans, elle est en réalité de 82 ans (79 ans pour les hommes et 84 ans pour les femmes).
Et en 82 ans, à 600 000 décès par an, on arrive à 49,2 millions d’habitants, arrondissons à un chiffre bien connu, 50 millions, c’était le titre d’un magazine dans les années 70 : « 50 millions de consommateurs ».
Nous avons donc une mortalité qui correspond à une population de 50 millions d’âmes, et pourtant, la population réelle est de 67 millions, comment résoudre ce mystère ?
C’est très simple, la population française qui était de 50 millions de personnes dans les années 70, vieillit et meurt au rythme de 600 000 âmes par an, ce qui est cohérent avec l’espérance de vie aujourd’hui atteinte.
La différence avec les 67 millions, 17 millions donc, c’est l’immigration récente, des jeunes car ce ne sont pas les vieux qui émigrent, et les jeunes n’ont pas de raison de mourir en masse avant les cinquante prochaines années, donc l’immigration, si elle gonfle la population, reste, dans un premier temps, sans effet sur le nombre de morts.
Mais à la fin des années 70, on peut penser qu’il y avait déjà au moins 7 millions de non Européens, encore en vie pour la plupart, et qui ont fait au moins 7 millions d’enfants.
Ce qui veut dire qu’en France, à l’heure actuelle, il n’y aurait plus que 35 millions d’Européens, des vieux pour la plupart, le reste, ce serait de l’immigration africaine ou asiatique.
C’est bien peu ou prou ce que beaucoup d’entre nous ont sous les yeux dans nos rues.
Et dans 10 ans, il y aura donc 6 millions de blancs en moins et 6 millions d’immigrés en plus.
Dieu (le Père, le Fils ou la Mère) excusez ce péché d’orgueil, mais si l’un d’entre vous pouviez consentir à nous indiquer le sens de tout cela, merci.
« les castes, les races, tout tendra à se niveler et ce nivellement dans tous les domaines sera le prélude à la mort »
Texte du kali purana du début de notre ère
La fin du kali Yuga; le règne de l’anté christ, le ragnarok c’est simple à comprendre.
Mais un jour Apollon reviendra, la parousie du christ, le retour du roi Arthur….. sont de formidables espoirs.