Saint Albert le Grand, évêque, confesseur et docteur
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Yvan Benedetti au procès d’Hervé Ryssen
- Tract du Parti Nationaliste Français sur les migrants
France
- Mustapha, 18 ans de réclusion pour le meurtre de Soraya aux assises
- Traite humaine et menace de décapitation dans un salon de coiffure Afro
- Un Guinéen clandestin frappe sa compagne, finit en centre de rétention
- Farid Boudjera, 23 condamnations, de nouveau condamné pour violences…
- Karim Guezgouz condamné pour braquages de Poste et supermarché
- Sarra Ghelami radicalisée à l’Islam a tenté d’enlever l’un de ses enfants
- Ilyassa frappe des femmes pour leur voler leur sac: 13 mois de prison
Etranger
Europe
- Espagne : un gang de passeurs d’envahisseurs vers l’Europe démantelé
- Suède : le présentateur vedette, chantre de l’antiracisme, tabassé par des musulmans
Monde
- États-Unis : la fille de Trump a prié dans une synagogue pour la victoire de son père
- Big Brother : Interpol se plaint du manque de partage de données entre États
- Maroc : convention pour la sauvegarde de la mémoire juive
- Mexique : émeutes après la disparition d’un prêtre à Veracruz
Ephéméride nationaliste
- 15 novembre 1903 : naissance de Lucien Rebatet
- 15 novembre 1914 : 1er numéro du journal : Il popolo d’Italia
Agenda
- Madrid : Commémorations du 20 novembre – du 18 novembre au 21 novembre 2016
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Actualité nationaliste en France
Yvan Benedetti au procès d’Hervé Ryssen
Hervé Ryssen à la 17e chambre du tgi de paris, pour son livre rouge « comprendre le judaïsme, comprendre l’antisémitisme ». Intenté par la Licra, la Ligue des droits de l’homme et Sos racisme. Réquisition de 3 mois de prison ferme.
Tract du Parti Nationaliste Français sur les migrants
A l’occasion de son IIème Haut Conseil Nationaliste qui s’est tenu à Paris les 12 et 13 novembre 2016, le Parti Nationaliste Français a dévoilé plusieurs nouveaux supports de communication – qui seront publiés au fur et à mesure des prochains jours – notamment le tract ci-dessous qui constitue sa réponse au phénomène de la répartition sur le territoire national des immigrés illégaux, appelés « migrants ». Plusieurs dizaines de milliers d’exemplaires ont déjà été distribués aux groupes militants du PNF et un second tirage est prévu pour bientôt
Tract à lire et à diffuser massivement !
France
Mustapha, 18 ans de réclusion pour le meurtre de Soraya aux assises
Les jurés ont retenu l’altération du discernement au moment de planter le couteau dans le cou de la victime en 2013 .
Soraya, poignardée au cou par son amant, s’est vidée de son sang en moins de dix minutes, à Béziers, le 3 novembre 2013. Aussi froidement qu’un coup de scalpel, les conclusions du légiste Emmanuel Margueritte, mercredi lors du dernier jour d’audience, ont battu en brèche la version de l’accusé, Mustapha, 43 ans. Le coup de couteau mortel n’a pas pu être donné accidentellement. En contradiction avec les propos du « Biterrois » de papier durant les trois jours de procès.
Traite humaine et menace de décapitation dans un salon de coiffure Afro
Prison ferme pour les patrons des coiffeuses afro de Château d’Eau.
Les salariés du salon de coiffure afro ont obtenu gain de cause devant la justice : leurs patrons et exploiteurs, ont été condamnés à de la prison ferme
C’est l’épilogue d’un long combat mené en 2014, et durant des mois, par les 18 employés du salon de coiffure afro du 57, boulevard de Strasbourg (Xe), exploités par leurs patrons.
Ce jeudi, la 31e chambre du tribunal correctionnel de Paris a condamné Mohamed Bamba, l’un des gérants à deux ans de prison, dont un avec sursis et 31 800 € d’amende, tandis que le second, Walid Daollat, a écopé de 10 mois d’emprisonnement, et 10 600 € d’amende. Les deux hommes devront, en outre s’acquitter solidairement de 1 000 € auprès de chacune des victimes, et verser 1 500 € à la CGT, au titre des dommages et intérêts.
Dans le quartier Château-d’Eau, où s’alignent les échoppes de coiffure afro et les ongleries, essentiellement entre les mains de patrons « mafieux », employant des salariés payés au compte-gouttes et privés de titres de séjour, la longue grève ponctuée d’actions, menées par les coiffeurs du « 57 » avait fait figure de combat emblématique. Désormais reconnu par la justice.
Indignité, vapeurs toxiques, travail dissimulé, emploi de personnes en situation irrégulière, absence d’aération, de toilettes, installation électrique hors-norme,… Le tribunal a jugé « intégralement coupables les deux gérants ». Au mois de mai 2014, alertée par la CGT, l’inspection du travail avait investi le salon de coiffure où les employés, non déclarés, travaillaient entre 12 et 16 heures par jour, contre une rémunération ridicule.
Précipitamment, Walid Daollat avait proposé 25 000 € cash pour rattraper les arriérés de salaires et tenté de liquider le salon, déclenchant l’action en justice des salariés, dont certains ont été menacés de mort par leurs anciens employeurs. Un second procès, au pénal, devrait prochainement se tenir pour « traite d’êtres humains ».
Un Guinéen clandestin frappe sa compagne, finit en centre de rétention
Thierno, Guinéen de 28 ans, avait obligation de quitter le territoire français depuis mars dernier. Il a préféré rester et frapper sa compagne.
C’est la deuxième fois cette année qu’il a affaire aux policiers. La première fois, c’était en mars, la deuxième, le 6 novembre.
A 28 ans, Thierno, Guinéen en situation irrégulière, en est donc à sa deuxième obligation de quitter le territoire français (OQTF). Les faits de dimanche dernier – des violences sur sa compagne – ont conduit à son interpellation et à l’examen de sa situation à l’aune de la loi du 15 mars 2016 portant réforme du droit des étrangers, dont la mise en œuvre est effective au 1er novembre.
Les dispositions nouvelles – qui, globalement, rejoignent celles d’avant 2012 – impliquent son passage devant le juge des libertés et de la détention (JLD) afin de valider la prolongation de la période de rétention, préalablement à sa conduite en centre de rétention administrative.
Après délibéré, la juge Laurence Paringaux a estimé qu’il y avait lieu de rejeter les moyens de nullité soulevés et le recours et autorisé le préfet à maintenir encore Thierno en rétention administrative.
Dans l’après-midi, le jeune Guinéen a, conformément à la procédure, été présenté devant le tribunal administratif d’Orléans qui devait statuer sur la validité de la mesure de rétention. Le « jeune » – à qui l’ordre de quitter le territoire a été donné deux fois – a été débouté de sa demande de nullité et conduit au centre de rétention administrative de Palaiseau (Essonne).
Les deux décisions prises sont évidemment susceptibles d’appel et la justice aura à statuer avant le 7 décembre, 17 h 40 (soit 28 jours).
Passé cette date et à défaut de mesure exécutoire de reconduite à la frontière, Thierno ne pourra être maintenu en centre de rétention au-delà d’une ultime période de quinze jours supplémentaires.
Farid Boudjera, 23 condamnations, de nouveau condamné pour violences…
Farid Boudjera veut changer de prison pour se rapprocher de sa famille. Il a presque réussi. Dans le box des prévenus, entourés de quatre gendarmes costauds, Farid Boudjera écoute le juge. Nerveux, il hoche de la tête lorsqu’il est d’accord et écarquille les yeux quand il ne l’est pas. À 37 ans, il en a déjà passé quatorze en prison, émaillés d’incidents. Mais depuis neuf mois que cet homme aux vingt-trois condamnations est au centre de détention de Châteaudun, la situation s’est tendue.
Il a déjà passé cinq mois au quartier disciplinaire. Ses relations avec des surveillants sont exécrables. Il compte vingt-six procédures disciplinaires rien qu’à Châteaudun : « Ils me poussent à bout. Ce sont eux qui me rendent mauvais », soutient Farid Boudjera qui veut se rapprocher de sa famille, à Marseille. Il dit avoir tout fait pour, mais que rien n’avance. Il affirme aussi avoir été tabassé par des surveillants. Il a reçu une ITT de cinq jours et un certificat médical fait état de « sang dans le conduit auditif ». Il a porté plainte.
Mais pour l’heure, c’est lui qui est jugé pour outrages, violences, menaces de morts, rebellions, et d’avoir craché sur l’un d’eux.
Une vidéo des caméras de la prison a filmé une scène où les gardiens tentent de le maîtriser après une altercation avec l’un d’eux.
Le procureur réclame deux ans ferme à purger à Châteaudun : « On ne peut pas transférer un détenu qui a été violent pour parvenir à ses fins. Ce serait un très mauvais message adressé aux autres détenus ».
Le président en décide autrement et ne souhaite pas que la situation empire à Châteaudun. Farid Boudjera est condamné à un an de prison supplémentaire, au centre de détention de Saran.
Karim Guezgouz condamné pour braquages de Poste et supermarché
Les braquages d’Aldi et de La Poste se soldent par trois ans de prison
Karim Guezgouz, 39 ans, comparaît détenu. En 2015, époque des faits, il a des dettes. Une bande de personnes peu recommandables lui colle aux basques pour qu’il rembourse les 10 000 euros qu’il doit. Alors il s’improvise braqueur…
Sarra Ghelami radicalisée à l’Islam a tenté d’enlever l’un de ses enfants
Marseille : la mère radicalisée avait tenté d’enlever l’un de ses enfants
Déjà condamnée pour prosélytisme, elle a voulu soustraire son fils d’un foyer
Vêtue d’un jilbab (un habit couvrant les cheveux et l’ensemble du corps, sauf les mains), l’air absent, Sarra Ghelami regarde fixement la présidente du tribunal de Marseille depuis le box des accusés. Mais ne répond rien. La question posée est pourtant élémentaire : « Voulez-vous être jugée aujourd’hui ou demandez-vous un renvoi de votre dossier ?« , demande Paule Colombani.
Silence. Pesant. Commis d’office, l’avocat de la jeune femme de 29 ans, Me Poitevin, s’était résigné avant même le début de l’audience. « Elle a refusé de m’adresser la parole et de me serrer la main », a-t-il confié. Placée en garde à vue la veille de sa comparution (le 9 novembre) pour « soustraction d’enfant », la prévenue avait déjà exigé, en vain, que « tous les hommes sortent de la pièce » du commissariat dans laquelle elle était interrogée. Pas une surprise : Sarra Ghellami est connue de la justice pour son intégrisme religieux. « Un cas rare et dont on se rappelle forcément », note le ministère public.
En 2015, en effet, après une radicalisation datée de l’arrivée de sa soeur à Marseille, cette native d’Oran (Algérie) était apparue dans les radars pour « prosélytisme violent » devant une école du 14e arr. où ses enfants âgés de 5 et 7 ans étaient scolarisés. « Elle voulait forcer les autres mères à se couvrir intégralement ou à ne pas fumer, raconte la présidente. Elle avait rasé la tête de son fils et les empêchait, lui et sa sœur, de manger à la cantine… » Elle aurait, de plus, fait usage de pressions physiques voire mimé des égorgements. « Ce sont les autres mamans, musulmanes, qui l’ont signalée aux autorités », rappelle Paule Colombani.
Traduite en justice une première fois, Sarra Ghellami écopera de six mois de prison et se verra privée de la garde de ses deux enfants, confiés à un foyer. Le père, séparé de cette femme avec laquelle il « ne partageait pas la même vision de la religion », ne s’est pas senti capable d’assumer.
À sa sortie, récente, Sarra Ghellami a, elle, été autorisée à les voir une heure tous les 15 jours. Mais sous surveillance et dans les locaux d’une Maison départementale de la solidarité. C’est là que, mercredi, elle a profité de son droit de visite pour enlever le benjamin, âgé de 5 ans. Elle a ensuite parcouru 300 mètres dans la rue, avec l’enfant dans les bras, avant de faire un esclandre et d’être interceptée par une voiture de police appelée sur les lieux. Une échappée d’autant plus inquiétante que la famille est sous le coup d’une interdiction de sortie du territoire pour prévenir le risque d’un départ vers la Syrie.
Retour à l’audience.
– « Vous ne voulez pas parler ? On considère alors que l’affaire est renvoyée », abrège Paule Colombani. Coup de théâtre. Une petite voix finit par émerger. « Non, je veux être jugéeaujourd’hui », lâche Sarra Ghelami. « Avez-vous voulu vous enfuir avec votre petit garçon ? », saisit au bond la présidente. Pas de réponse, de nouveau. « Vous paraissez dangereuse pour vos enfants et pour la société. (…) Si vous voulez que ça se détende, y compris pour eux, il faudrait dire deux mots, Madame, non ? », insiste la présidente. La prévenue finit par répliquer, larmoyante : « On interprète toujours mal ce que je dis. Donc c’est mieux que je m’arrête de parler. » Une attitude que le procureur, André Ribes, dans un réquisitoire subtil, assimile à une « volonté de s’inscrire dans le cadre d’une apparence de martyre judiciaire ».
Conclusion : deux mois de prison ferme et mandat de dépôt. Comme demandé par le Parquet, les six mois de sursis également prononcés lors la précédente condamnation ne seront pas révoqués pour cette fois.
Ilyassa frappe des femmes pour leur voler leur sac: 13 mois de prison
Le prévenu, âgé de 20 ans, a été reconnu coupable de cinq vols à l’arraché visant des femmes à Evry. Entre l’été 2015 et janvier, l’agresseur attendait que les victimes soient isolées pour les attaquer et leur voler leur sac à main.
Pour arracher les sacs de ses victimes, il n’hésitait pas à les frapper et à les faire tomber au sol. Jeudi, peu avant 23 heures, Ilyassa, 20 ans, a été condamné à treize mois de prison ferme avec maintien en détention pour une série de cinq vols à l’arraché commis à Evry entre l’été 2015 et janvier dernier. Le « jeune » purge déjà, depuis mars, quatorze mois pour des faits similaires. En septembre 2015, il avait également été condamné à huit mois de prison dont quatre avec sursis, là encore pour des vols avec violences. La peine d’emprisonnement ferme avait alors été commuée en travaux d’intérêt général… qu’il n’a pas effectués.
Lors de l’audience de jeudi, le prévenu a nié l’intégralité des faits qui lui étaient reprochés, soit sept agressions. Le tribunal l’a relaxé pour deux d’entre elles, faute de preuves. Toutes les victimes sont des femmes âgées d’une vingtaine à une cinquantaine d’années. Le mode opératoire est à chaque fois le même. L’agresseur attend que ses proies soient isolées avant de les attraper par derrière en leur passant un bras autour du cou, de les frapper et de les faire chuter. L’individu, qui agissait à visage découvert, leur arrachait ensuite leur sac avant de prendre la fuite. Des violences qui ont valu des incapacités totales de travail allant de deux à sept jours pour quatre de ses victimes. Ces dernières l’ont identifié sur photo ou sur tapissage (séance d’identification). Des victimes l’ont également vu fuir en direction du parc aux Lièvres, où il réside.
« Comment expliquez-vous ça ? », l’interroge le président du tribunal. « Je ne sais pas, je ne suis pas devin », répond Ilyassa. « Vous ne reconnaissez jamais », s’agace le magistrat, qui rappelle qu’en mars, il avait également nié les agressions pour lesquelles il a été condamné. « Pourquoi n’aviez-vous pas fait appel ? », insiste le juge.
« Un dernier mot ? », lui demande le président. « Si les parties civiles avaient été là, j’aurais aimé savoir comment elles m’ont reconnu. J’ai fait des erreurs. C’est important de les reconnaître. J’assume. Mais là, je ne veux pas payer pour quelqu’un d’autre. »
Etranger
Europe
Espagne : un gang de passeurs d’envahisseurs vers l’Europe démantelé
Plusieurs polices européennes ont démantelé un gang de présumés responsables de la contrebande et du passage de milliers d’immigrants illégaux vers la Grande-Bretagne passant par l’Irlande. Environ la moitié des 115 arrestations ont eu lieu dans les aéroports espagnols, y compris ceux de Barcelone, Murcie, Bilbao et Malaga. L’organisation a fourni des visas aux envahisseurs ce qui leur a permis d’entrer dans l’espace Schengen. Le chef de gang présumé a avoué être responsable de la mise en circulation des faux documents utilisés et de l’organisation des voyages des envahisseurs clandestins vers le Royaume-Uni à partir de Barcelone, où il vivait. Plus de 100 passeports polonais falsifiés et documents d’identité ont été saisis à son appartement.
Un homme qui serait le responsable du « recrutement des clients » a été arrêté en Roumanie et deux suspects ont également été arrêtés en Pologne. Un autre individu ponte du trafic a échappé à son arrestation eu Royaume-Uni et se trouve en fuite.
Un porte-parole de la police nationale espagnole a déclaré : « Les saisies opérées lors des raids qui ont eu lieu et les déclarations des suspects ont facilité l’identification du chef de l’opération de traite vers Royaume-Uni, à savoir un Ukrainien chargé de recevoir les envahisseurs quand ils arrivaient à Londres. Son arrestation n’a pas été possible et un mandat d’arrêt européen a été délivré contre lui ».
Avec les 56 personnes arrêtées dans les aéroports espagnols – dont beaucoup avaient l’intention d’entrer illégalement en Grande-Bretagne – 30 autres individus ont été arrêtés dans des aéroports en Belgique, en France, au Portugal et en Hollande.
Dublin semble avoir été un point d’étape clé dans l’opération. Dans la déclaration publiée par la police nationale espagnole accompagnée de séquences vidéo de l’opération il est indiqué que « l’organisation criminelle a fourni aux immigrants des visas qui leur permettaient d’entrer dans l’espace Schengen à travers les pays limitrophes du leur, principalement la Pologne. Et une fois entrés dans l’espace Schengen, ils ont reçu de faux documents, souvent des cartes d’identité polonaises et, dans une moindre mesure, des passeports des pays baltes vers lesquels ils pouvaient voyager sans aucun problème. Avec ces documents ils étaient envoyés vers d’autres pays comme l’Espagne, la France et la Belgique dans lesquels les membres de l’organisation les attendaient et les aidaient à atteindre leur destination finale. Des vols principalement vers Dublin étaient organisés où les attendaient d’autres membres de l’organisation qui les transféraient par ferry au Royaume-Uni ».
Selon les estimations de la police, l’organisation a apporté son concours au bas mot à plus de 6 000 envahisseurs candidats à la colonisation de l’Europe.
Suède : le présentateur vedette, chantre de l’antiracisme, tabassé par des musulmans
Anders Vendel, un célèbre présentateur de la télévision en Suède qui ne manque jamais de faire la promotion du multiculturalisme et de la société multiraciale, a été « battu par trois hommes musulmans » parce qu’il ressemblait à Donald Trump (avant l’agression). La police de Malmö a déclaré que « monsieur Vendel se trouvait dans un restaurant fastfood lorsque des étrangers sont arrivés et ont commencé à le harceler ». Vendel lui-même a publié un message : « Je suis dans la salle d’urgence d’un hôpital depuis quelques heures en attente de radiographie. J’ai été battu par trois hommes musulmans âgés de 25 à 35 ans. Ils pensaient que je ressemblais à Donald Trump. Deux des hommes m’ont saisi les bras par derrière et le troisième a commencé à me donner des coups de poings sur tout le visage. J’ai essayé de me défendre avec mes jambes. Après environ 20 coups de poings à mon visage, je suis tombé au sol. Tous les trois ont alors continué à me donner autant de coups qu’ils pouvaient dans la tête. J’ai maintenant un nez cassé, des bosses, un œil, la bouche, les lèvres et la mâchoire tuméfié. Et même le pouce droit cassé ».
Il peut maintenant ressentir y compris physiquement les conséquences de son projet antiraciste de société multiculturelle.
Monde
États-Unis : la fille de Trump a prié dans une synagogue pour la victoire de son père
La fille de Donald Trump, Ivanka Trump, a visité le mémorial Rabbi Loubavitch de New York le 8 novembre dernier. Elle y a lut une prière en vue du résultat favorable pour son père à l’élection présidentielle. Sa visite n’était pas publique et ni accompagnée de la presse, mais la vidéo filmée par les propriétaires, a été publiée sur Internet.
En Octobre, le journal israélien Yedioth Ahronoth a rapporté que Donald Trump a personnellement écrit une lettre, qui a été insérée dans une crevasse du Mur des lamentations selon l’un de ses conseillers. Dans cette note Donald Trump demandait que soient bénie « la grande nation américaine », ainsi que l’armée et ses alliés. Les médias israéliens ont rapporté que Trump a écrit cette lettre après avoir parlé avec sa fille Ivanka, convertie au judaïsme et qui affirme faire partie du peuple juif.
Rappelons encore que lors de sa campagne électorale, Donald Trump a pris des positions très pro-israéliennes, accusant l’administration américaine d’Obama d’avoir négligé les intérêts de l’État juif. Il n’a d’ailleurs pas non plus manqué de rappeler aussi souvent que possible aux électeurs américains que sa fille Ivanka est mariée à un juif, Kushner Jared, qu’elle s’est convertie au judaïsme et qu’elle élève ses petits-enfants dans la tradition juive.
Vidéo :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=JqIml8Q1cEw[/youtube]
Big Brother : Interpol se plaint du manque de partage de données entre États
Le secrétaire général d’Interpol, Jürgen Stock, a dénoncé l’insuffisant partage entre États de données biométriques susceptibles de permettre d’identifier plus efficacement les terroristes. L’organisation internationale de coopération policière estime « qu’environ 15 000 combattants se trouvent dans les zones de conflit et qu’un nombre indéterminé d’entre eux pourrait rentrer dans leur pays d’origine pour s’engager dans des opérations clandestines ».
L’assemblée générale d’Interpol, qui était réunie à Bali (Indonésie), a souligné « l’urgence de traiter cette menace ». Et le secrétaire général de l’organisation a commenté : « Bien que le partage d’information via Interpol ait permis aux organisations nationales de maintien de l’ordre d’empêcher des terroristes et des candidats terroristes de voyager, le manque de données biométriques reste un maillon faible…. Ne pas fournir aux agents en première ligne les informations dont ils ont absolument besoin pour identifier les terroristes de retour de zones de conflit, c’est leur bander les yeux, les obliger à faire leur travail avec une main attachée derrière le dos ».
Il a souligné aussi que les informations biométriques destinées à l’identification, telles que les empreintes digitales et l’ADN, sont « cruciales » dans le contexte actuel : « Bien qu’Interpol dispose actuellement d’informations sur près de 9 000 combattants terroristes étrangers – dont certains présents dans les zones de combat – moins de 10% de ces fichiers comprennent des données biométriques ou des images en haute résolution qui pourraient être utilisées pour une reconnaissance faciale ».
Rappelons quand même au secrétaire général d’Interpol, qu’à ce jour, le fichage et l’espionnage généralisé et numérisé des populations, mis en place en France comme dans plusieurs États européens, n’a pas permis d’empêcher les attentats majeurs commis ces dernières années.
Le vœu d’Interpol semble quand même avoir été entendu par le ministre de l’Intérieur français, Bernard Cazeneuve, qui a approuvé le 30 octobre dernier la création par décret d’un fichier des « Titres électroniques sécurisés » qui rassemblera les données personnelles et biométriques de 60 millions de Français…
Maroc : convention pour la sauvegarde de la mémoire juive
Les archives nationales marocaines et le Mémorial de la Shoah à Paris ont signé lundi à Rabat une convention de coopération et vont travailler ensemble pour aider à reconstituer la mémoire du judaïsme au Maroc. L’objectif est de mettre en place « une coopération sur tous les sujets relatifs à l’histoire des juifs et du judaïsme dans les pays d’Afrique du Nord », de « faire connaître l’histoire du judaïsme marocain et de mettre à la disposition du public des sources historiques » sur le sujet, selon un communiqué.
La présence des Juifs est très ancienne au Maroc, plus de 2.000 ans, et a été renforcée par les vagues de réfugiés provenant notamment d’Andalousie au moment de la Reconquista catholique au XVe siècle. Pendant la seconde guerre mondiale, le sultan Mohammed V s’était même opposé aux lois du gouvernement de Vichy, refusant de « s’associer » à des mesures qu’il désapprouvait. « Les israélites restent sous ma protection et je refuse qu’une distinction soit faite entre mes sujets », avait-il alors déclaré…
Dans les années 1950, le royaume comptait près de 300 000 citoyens de confession juive mais plus tard beaucoup ont émigré. Néanmoins, les juifs marocains demeurent la principale communauté juive d’Afrique du Nord. Et depuis 2011 la nouvelle Constitution reconnaît la composante hébraïque comme partie de la culture du royaume : dans le préambule est inscrit que « l’unité du pays (…) s’est nourrie et enrichie de ses affluents africain, andalou, hébraïque et méditerranéen ».
Finalement seule la présence française et espagnole du temps du protectorat n’est pas mentionnée. Le résultat de la soumission de longue date des monarques marocains au lobby du judaïsme politique.
Mexique : émeutes après la disparition d’un prêtre à Veracruz
La disparition récente d’un prêtre, le père sanchez Ruiz, a entraîné des heurts violents dans l’État mexicain de Veracruz vendredi et samedi dernier, lors desquels les manifestants ont partiellement incendié la mairie de la ville de Catemaco et mis le feu à un véhicule de police. Après avoir envahi et saccagé la mairie dans la matinée, les manifestants y sont revenus à la nuit tombée samedi pour mettre le feu à une partie du bâtiment, a précisé le porte-parole du diocèse de San Andres de Tuxtla, le père Aaron Reyes. Le père Sanchez Ruiz, 54 ans, dénonçait régulièrement dans ses sermons l’insécurité touchant la ville de Catemaco, ce qui lui avait valu des « menaces » lors des mois passés, selon un autre prêtre s’exprimant sous le sceau de l’anonymat.
L’État de Veracruz, où sévissent les cartels de la drogue, est l’un des plus violents au Mexique, avec des assassinats et des enlèvements quotidiens, mais il n’a pas le monopole de cette violence qui touche tout le pays. Avec 50 prêtres tués depuis 1990 et deux autres toujours portés disparus, le Mexique est le pays « le plus dangereux d’Amérique latine pour les prêtres », devant la Colombie, le Brésil et le Venezuela.
En effet, en s’ingérant particulièrement dans le business du trafic d’être humain ou la pseudo défense des droits de l’homme, beaucoup de prêtres mexicains se retrouvent « en concurrence » avec des groupes criminels qui n’ont pas de scrupule à défendre leur pré carré. Selon l’Institut de recherche pour le développement, « les églises aident, à travers leurs associations, les clandestins d’Amérique centrale à traverser le Mexique pour se rendre aux États-Unis. Or ces migrants sont souvent l’objet d’enlèvements ou de vols de la part des narcotrafiquants et des autorités policières. Un fait que dénoncent certains prêtres. Au risque d’être eux-mêmes enlevés, torturés ou assassinées ».
Et malheureusement l’antipape François, lors de sa visite de 4 jours en février dernier, s’adressant aux prêtres, religieuses et séminaristes du pays, les avait vivement encouragés à ne pas « baisser les bras face à la violence, le narcotrafic et la corruption » qui gangrènent le pays. En quelque sorte un encouragement à continuer leurs activités non seulement antinationales mais qui dérangent les cartels criminels avec les conséquences que l’on voit, et dont il ne faudra pas venir se plaindre.
Ephéméride nationaliste
15 novembre 1903 : naissance de Lucien Rebatet
15 novembre 1914 : 1er numéro du journal Il popolo d’Italia
Agenda
Madrid : Commémorations du 20 novembre – du 18 novembre au 21 novembre 2016
Délégation de Jeune Nation et du Parti Nationaliste Français.
Inscription et renseignements : 07.62.84.04.35.
© Jeune nation – 2016
Enfants Wharton, 1640, Antoine van Dyck
(Musée de l’Ermitage – Saint-Pétersbourg)
Le sport, qui était une denrée encore rare dans les médias voilà 30 ans, s’est répandu comme de l’huile.
http://www.slate.fr/story/126671/sport-espace-mediatique-sature
Grâce à ses « dons », le « Mage » s’est vu loger gratuitement sur la très chic avenue de Friedland, dans un logement prêté par l’homme d’affaires Jean-Claude Darmon, grand argentier du football français. Isabelle Smadja-Balkany a admis avoir fait appel aux talents magiques de Testanière en consultation.
http://www.sudouest.fr/2016/11/08/le-mage-gourou-chez-les-balkany-2560817-4768.php
Actuellement en tournée avec Gad Elmaleh, Kev « Adams » Smadja sera dans la série « Killer’s School » (10 épisodes de 10 minutes, ideal sur mobiles) qui raconte « le parcours d’une bande d’adolescents en formation pour devenir… tueurs professionnels ». Elle sera diffusée sur Blackpills, une nouvelle plateforme imaginée par Daniel Marhely (associe de Jonathan Benassaya, Deezer), Patrick Holzman (Allociné) et Xavier Niel (Free).
http://www.purebreak.com/news/kev-adams-futur-tueur-professionnel-dans-une-nouvelle-serie/113739
Retour de la maison Boehmer et Bassenge, du nom des deux bijoutiers parisiens qui créèrent le fameux « Collier de la Reine » dont l’affaire ébranla profondément la monarchie.
Rien ne prédestinait pourtant ce fils d’une jardinière et d’un comptable, qui a grandi en Israël, à jouer dans la cour des plus grands diamantaires juifs d’Anvers.
http://www.tribunejuive.info/economie/un-diamantaire-anversois-lance-de-nouveaux-joyaux-de-la-couronne
https://www.diamondbourseantwerp.com/en/antwerp-diamond-bourse/board-of-directors
« Les robots seront un jour des citoyens indépendants. Et ils doivent avoir des droits. » selon Ben Goertzel, membre du directoire de la fondation transhumaniste Humanity+.
http://www.20minutes.fr/culture/1960287-20161114-cerveaux-intelligence-artificielle-casse-tete
http://tech.qq.com/a/20161017/024904.htm