Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Communiqué des Caryatides sur le délit d’entrave à l’IVG
France
- Forte baisse des actes racistes et antisémites en 2016 : Clavreul, démission ! Dilcra, dissolution !
- Agressions ultra violentes par Farouk Benouadfel, Jamal Biganzi, Nabil Kilou, Rachid Ben Jamaa, Yasser Mouigni et Aboulai Gakou
- Un Algérien connu de la justice arrêté à Nice pour meurtre de buraliste
- Abdel, traficant de cigarettes: « Ça peut rapporter plus que le shit ! »
- Adnene Ferchichi écumait les stations Total de Saint-Etienne à Roubaix
- Un Algérien frappait femme et enfants à coups de pieds, de poings etc…
- Procès politique contre Henry de Lesquen: 6 mois requis
- Francis Langlois, adjoint au maire FN d’Hayange condamné pour violences sur une adolescente
Etranger
Europe
- Allemagne : tempête médiatico-politique autour du viol et du meurtre de Maria Ladenburger
- Norvège : bonus de 10 000 couronnes aux envahisseurs qui repartent
- Russie : souscription à Moscou pour un monument aux victimes du goulag
- Pologne : nouvelle loi de racket pour l’indemnisation des rescapés de la Shoah
Monde
- Syrie : Bachar el-Assad dénonce « un axe Jérusalem-Riyad-Doha »
- Philippines : Duterte affirme avoir le soutien de Trump dans sa guerre aux dealers
Vidéo
- Russie, 1000 ans d’histoire, l’empire slave
Ephéméride nationaliste
- 9 décembre 1928 : En Italie, le Grand Conseil du Fascisme -créé en décembre 1922- devient un organe constitutionnel
Agenda
- 11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
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Actualité nationaliste en France
Communiqué des Caryatides sur le délit d’entrave à l’IVG
DÉLIT D’ENTRAVE A l’IVG – LA CULTURE DE MORT FRAPPE UNE NOUVELLE FOIS
Le système en place, en la personne de François Hollande, (quelques heures avant l’annonce de son futur départ) nous laisse une loi effroyable :
L’Assemblée nationale a adopté, jeudi 1er décembre 2016, en première lecture, la proposition de loi socialiste visant à pénaliser les sites de « désinformation » sur l’IVG. Marisol Touraine prétend que le délit d’entrave, « c’est de tromper intentionnellement des femmes » et « de se servir de ces sites pour les dissuader d’avorter ». Cette déclaration choquante et provocatrice ne peut laisser quiconque indifférent. C’est pourquoi, les Caryatides s’élèvent vigoureusement contre cette dictature de la pensée. Depuis quand l’opposition est devenue un délit d’entrave si ce n’est dans un état totalitaire ?
Les sites pro-vie véhiculent-ils vraiment des informations fausses ? Exercent-ils vraiment une pression psychologique sur les femmes enceintes en quête de réponses ? Où sont les preuves, les témoignages ? Cette accusation ne serait- elle pas plutôt une manière déguisée et totalitaire de d’amputer encore un peu plus la liberté d’expression des opposants au système et de ceux qui combattent pour la vie et la loi naturelle ?
Nous avons tous des opinions ; nous avons tous le droit de les présenter et d’en discuter avec les autres. N’est-ce pas ce que nous rabâchent les défenseurs trois points du « Sacrosaint » « Droit à la liberté de penser » ? Ce droit existe aussi pour les personnes essayant de montrer la réalité, c’est-à-dire le drame qu’est un avortement et ses conséquences. Le Pr. Nisand lui-même qui a été rédacteur de la loi Aubry supprimant la notion de détresse pour avorter et surtout augmentant les délais pour avoir recours à l’IVG, a déclaré très récemment que c’était un « drame qui ne dit pas son nom ». Et pourtant, la loi votée le 1er décembre 2016 veut faire taire ceux qui informent, abandonnant ainsi les femmes à leur souffrance, les empêchant de choisir entre la vie et la mort de l’enfant qu’elles portent.
Le mantra (l’incantation) « la femme a le droit de disposer de son corps », veut faire oublier qu’une maman détruit en elle un petit être humain qui est unique et appartient pour moitié à celui qui l’a conçu. Dans son corps il y a bien un autre être humain vivant. Contrairement à ce que laissent à penser certaines personnes qui osent répéter ce même refrain : « Nous, au Planning, on pense que ce n’est pas un enfant tant qu’on ne désire pas poursuivre la grossesse ». Voilà à quel degré d’illogisme et d’aberrations ces gens en sont arrivés ! Cela revient à affirmer qu’un arbre n’est un arbre que lorsque que j’ai décidé que cela en sera un. La culture de mort n’hésite pas à nier la réalité intangible.
De son côté, l’opinion publique se mobilise contre l’abattoir qui tue les mères gestantes portant un veau. On pleure le veau mais on ne pleure pas l’enfant découpé dans le sein maternel. Avorter une femme est une gloire. Force est donnée à cette hargne de tuer, de tuer toujours plus, avec une loi inique qui est en passe d’être prise et qui va accélérer de manière terrible le massacre des enfants non nés.
Conjointement « au nom de l’information », la loi laisse sévir les sites terroristes djihadistes propageant des idéologies de mort aboutissant à des massacres. Curieux paradoxe. Ceux qui sauvent des vies naissantes sont pourchassés et ceux qui provoquent des massacres voient leurs sites continuer leur œuvre de mort. En outre, les voyous auteurs de délits nombreux et graves courent les rues, se moquant des condamnations. Telle est la phase ultime de la culture de mort : tuer les innocents et laisser courir les assassins.
- Les Caryatides souhaitent, donc, faire connaître leur totale et entière opposition à cette loi inique, et continuent d’être aux côtés de ceux qui ne veulent pas que la Vérité soit cachée !
- Les Caryatides persistent à dire avec l’appui des scientifiques qu’un embryon et encore plus un fœtus sont des Êtres humains.
- Les Caryatides mettront tout en œuvre pour faire savoir qu’un embryon vit dès l’instant de sa fécondation ; il est très vite connecté au monde qui l’entoure par son système nerveux et il peut ressentir, souffrir (5semaines in utero) ce qu’il subit au même titre qu’une personne mise au monde.
Alors libre à la maman de prendre sa douloureuse ou joyeuse décision ; mais l’information ne doit pas être spoliée ! Les futures générations jugeront avec sévérité ceux qui vendent leur âme en échange de la culture de mort et de l’anti France : car ils se rendent complices du « grand remplacement ». La loi qui s’apprête à être votée par le Sénat est véritablement totalitaire et liberticide.
Que fleurisse notre joie, fidèles au poste !
France
Forte baisse des actes racistes et antisémites en 2016 : Clavreul, démission ! Dilcra, dissolution !
En 2015, le plan interministériel de lutte contre le racisme porté par la Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme (DILCRA) avec à sa tête Gilles Clavreul, a fondé l’engagement de publier régulièrement des données quantitatives et qualitatives portant sur les condamnations prononcées pour des infractions à caractère raciste. A partir d’un nouveau système statistique ministériel, le ministère de la Justice a mis à jour de nouvelles données qui permettent d’étudier plus spécifiquement la réponse judiciaire aux infractions à caractère raciste. Ces données quantitatives vont au-delà des seules condamnations prononcées puisqu’elles intègrent aussi notamment le classement sans suite, composition pénale, mesures alternatives, information judiciaire ou renvoi en correctionnelle.
Ces chiffres mettent en évidence un accroissement du volume du contentieux orienté par le ministère public depuis deux ans. Mais ces chiffres ne soulignent pas nécessairement un nombre d’actes plus important : ils traduisent une augmentation du nombre de dépôts de plainte, résultats d’une politique pénale dynamique d’incitation à déposer plainte.
Ainsi, sur les neuf premiers mois de l’année, les actes et menaces racistes, anti-musulmans et antisémites, sont en baisse de 44 %, selon les chiffres de la DILCRA. « En valeur absolue, toutes catégories confondues, ils sont ainsi passés, selon ces données émanant de l’Intérieur, de 1580 à 882 », une tendance qui devrait se confirmer sur le reste de l’année selon les spécialistes.
La Dilcra estime que ce recule est le signe que « la France s’est montrée résiliente face aux tentations de repli identitaire » provoquées par les attentats de 2015 et 2016. « Les attentats contre Charlie Hebdo avaient entraîné une forte hausse des actes anti-musulmans. Mais celle-ci a été moins importante après le 13 novembre, ainsi qu’après Saint-Etienne-du-Rouvray et le 14 juillet à Nice ».
Autre explication avancée, plus crédible, c’est qu’il y a eu un durcissement de réponse pénale aux actes de ce type, c’est-à-dire une aggravation de la répression ! En 2016, 7251 affaires ont ainsi été traitées par les parquets, soit une hausse de 34 % sur les trois dernières années. Une judiciarisation du racisme qui aurait un effet dissuasif : « ceux qui seraient tentés par des actes racistes, au vu des condamnations, y réfléchissent peut-être à deux fois. », estime la DILCRA.
Mais le scandale est encore ailleurs puisque dans les chiffres révélés par la DILCRA on ne trouve rien sur les actes antichrétiens (profanations de cimetières, d’églises, chapelles et autres calvaires, qui s’envolent), rien sur les actes antifrançais ou sur les actes antiblancs (injures, atteintes aux biens, agressions qui sont loin de se résorber) ! C’est donc qu’ils ne sont tout simplement pas répertoriés, comptabilisés et analysés… Bien sûr ça évite ainsi de constater que ceux-là augmentent…
Clavreul, démission ! Dilcra, dissolution !
Agressions ultra violentes par Farouk Benouadfel, Jamal Biganzi, Nabil Kilou, Rachid Ben Jamaa, Yasser Mouigni et Aboulai Gakou
Les auteurs présumés de vols ultraviolents jugés aux assises de Paris
Canon de pistolet dans la bouche, chairs tailladées, doigt entaillé au sécateur : le procès de sept hommes -tous envahisseurs non européens !- jugés pour des vols ultraviolents commis en 2012 aux domiciles de commerçants asiatiques s’est ouvert mardi devant la cour d’assises de Paris.
«Ils sont rentrés au moment où l’on partait au lycée. A l’instant pile où l’on ouvrait la porte.» Cette mère de famille et ses deux filles ne sont pas près d’oublier ce matin du 2 octobre 2012 quand quatre individus cagoulés ont fait irruption dans leur appartement du nord de Paris.
Les agresseurs demandaient de l’argent. Ils ont attaché leurs victimes avec des fils de téléphone trouvés sur place puis séparé les adolescentes de 14 et 15 ans de leur mère pour les faire parler. L’une est menacée de mort le canon d’une arme de poing sur la tête, sa soeur a le doigt entaillé avec un sécateur. On la menace de le lui couper. La mère a droit au canon du pistolet dans la bouche. Sur ses indications, la bande s’empare d’environ 1 650 euros et de bijoux avant de fuir.
«On est venu devant la cour d’assises pour voir enfin leur visage afin de pouvoir tourner la page. Depuis quatre ans, j’ai toujours cette angoisse quand j’ouvre la porte pour sortir de chez moi et quand je croise un groupe de jeunes dans la rue, je me demande : « Est-ce que c’est eux ?», a raconté la mère.
Au total, cinq agressions ultraviolentes entre juillet et novembre 2012 sont reprochées aux accusés.
Comme dans un film d’horreur, les agresseurs n’hésitaient pas à taillader leur victimes avec une feuille de boucher ou un couteau pour les faire parler. Si le dernier coup leur a rapporté 40 000 euros, les autres se sont soldés par des gains bien plus modestes. Seules cinq victimes ont osé se porter partie civile.
Sur les sept accusés, quatre sont détenus et trois comparaissent libres.
Dans le box, Farouk Benouadfel, 34 ans, barbe fournie, 16 condamnations sur son casier, est dépeint par l’accusation comme le commanditaire. Une liste de clients d’une société spécialisée dans l’installation de coffres forts portant le nom d’une des victimes a été retrouvée dans sa voiture. A ses côtés, ont pris place Jamal Biganzi, 29 ans, présenté comme le recruteur de la bande, et Nabil Kilou, 25 ans.
Les trois derniers accusés, qui comparaissent libres, sont Rachid Ben Jamaa, 32 ans, Yasser Mouigni, 28 ans, et Aboulai Gakou, 27 ans. Aucun d’eux ne reconnaît les faits.
L’accusation devrait mettre en avant les liens qui unissaient les sept hommes, tous lestés d’un lourd passé judiciaire, avec le détail de leur téléphonie.
L’une des victimes a formellement reconnu un foulard saisi au domicile de Biganzi comme celui ayant servi à empaqueter l’argent volé.
Le procès est prévu jusqu’au 15 décembre.
Un Algérien connu de la justice arrêté à Nice pour meurtre de buraliste
Le meurtrier présumé d’un buraliste marseillais en 2012 arrêté à Nice
La police niçoise a interpellé samedi 3 décembre un SDF de 47 ans déjà connu pour des affaires de viols, de vol et de drogue. Son ADN était présent dans le bureau de tabac de Mohamed Cheguenni, tué de quatre coups de couteau au thorax en 2012 dans le quartier des Chutes-Lavie à Marseille.
Il a été interpellé par hasard après un contrôle de routine samedi 3 décembre au soir. Le meurtrier présumé d’un buraliste marseillais est un SDF d’origine algérienne de 47 ans. Il est déjà connu pour des affaires de viol, de vol et de drogues. Placé en garde à vue, il clame son innocence. Son ADN a été retrouvé il y a quatre ans sur la scène de crime.
Depuis mardi matin, il est mis en examen pour meurtre et vol avec arme devant le parquet de Marseille. Il a été écroué à la prison des Baumettes.
Le jour du braquage, le 9 novembre 2012, le tueur était reparti avec quelques dizaines d’euros et des tickets de jeux à gratter.
Abdel, traficant de cigarettes: « Ça peut rapporter plus que le shit ! »
Abdel, la trentaine, est l’un des plus gros relais des importateurs à Marseille. Entretien édifiant…
Il est tendu, triture son paquet de cigarettes (de contrebande, cela va sans dire). Il se pose et raconte comment, en quelques années, il s’est fait une place, et pas des moindres, dans cet immense business de la cigarette de contrebande qui survit depuis des décennies à Marseille, dans l’ombre politico-médiatique du trafic de stupéfiants. Selon lui, pourtant, « les clopes, cela peut rapporter plus que le shit, si on est intelligent ». Lui assure avoir grimpé les étages, « en bossant avec (sa) tête ». D’ailleurs, il n’estime pas « être un voyou, mais plutôt un commerçant ambulant ». C’est en 2008 qu’il se lance en indépendant, un an après son arrivée en France depuis l’Algérie, et après avoir enchaîné les boulots au black, « de la maçonnerie principalement, payé 30-40 euros par jour ».
« J’ai commencé tout seul, avec quelques paquets par jour, puis des gens m’ont repéré, ils ont vu que je n’étais pas fou comme les autres ». Peu à peu, le trentenaire, se constitue une clientèle de fidèles. « De toutes les couleurs, toutes les catégories sociales, certains même qui viennent du Var, comme une enseignante que j’ai longtemps servie. C’est logique qu’on ait de la demande, à plus de 7 euros le paquet dans les bureaux de tabac, sachant qu’on le vend 5 euros, ça fait 20 euros d’économies par cartouche. Pour un gros fumeur, c’est énorme ». Alors forcément la santé du fumeur paie cash cette ristourne ? « Pas du tout ! Certes il ne faut surtout pas fumer les clopes qui sont faites en Chine et qui arrivent par la Belgique puis par Paris en général, c’est de la merde, mais celles que l’on fait venir d’Algérie, de Tunisie et du Sénégal, ce sont des vraies, les mêmes qu’en France, et la différence de prix, c’est juste les taxes françaises qu’on ne paie pas ». Un manque à gagner monstrueux pour l’État et les cigarettiers, et un véritable jackpot pour les poids lourds du trafic marseillais.
« À ma meilleure période, j’ai vendu, à des gros vendeurs qui eux, après, liquidaient cela au détail, jusqu’à 2 ou 3 cartons de 50 cartouches par jour. Sachant qu’en gros on achète la cartouche de 20 à 30 euros là-bas, parfois moins, et qu’on la revend ici 50 euros. Ça fait environ 7 500 euros de chiffre d’affaires par jour auxquels il faut enlever le salaire des mules et celui des transporteurs qui récupèrent les clopes à la sortie du ferry. En gros, il reste 3 000 euros ».
Ces mules, ce sont des voyageurs lambda, « qui veulent se faire un peu d’argent en ramenant 20-30 cartouches, parce que ça leur rembourse le billet pour aller au bled », mais « aussi et surtout les marins des compagnies qui font le trajet ». Selon Abdel, ils seraient un certain nombre à tremper dans la combine et toucheraient « en moyenne 5 euros par cartouche, donc 500 euros pour deux cartons ». « Eux, ce qu’ils détournent pas mal ce sont les clopes qui sont censées être vendues, en duty free, sur le bateau. Il y a même des vrais bureaux de tabac qui acceptent de revendre ces clopes », accuse-t-il, avant de détailler les différentes façons d’en importer à Marseille. « Il peut arriver des centaines de cartons par les bateaux de voyageurs ou de marchandises. Tu peux aussi les faire passer par l’avion. Tu rentres jusqu’à 300 cartouches dans plusieurs valises en soute. Et puis tu as le haut niveau auquel même moi je n’ai pas accès et dont je ne sais quasiment rien, ce sont les très grosses livraisons, qui se font à l’Estaque et au port de Port-de-Bouc. Là, on parle de containers entiers ».
Un business qui rapporterait à certains autant que la manne du cannabis, et qui donc nécessite une organisation quasi similaire. « Il y a des grossistes, des chefs de réseau, de secteur, et surtout il faut des nourrices ou des caches impeccables, continue Abdel, les condés (la police, Ndlr) ne m’ont jamais pris avec la marchandise, c’est ce qui m’a permis d’être arrêté plusieurs fois et d’écoper qu’une seule fois de 6 mois de prison ferme… qui sont tombés en payant une forte amende. Je louais souvent des chambres d’hôtel où j’entreposais tout, en filant un pourboire au gérant. Il faut aussi faire attention de ne pas embaucher des vendeurs – à 100 euros la journée dit-il – trop jeunes, trop immatures qui vont finir par te faire interpeller ». Un business juteux et hiérarchisé donc, et parfaitement sectorisé sur les « spots » les plus courus de Marseille : Noailles, la porte d’Aix, le marché aux puces des Arnavaux, où des dizaines de vendeurs s’activent chaque jour, « et il y a un nouveau point sur le boulevard National qui commence à bien tourner », confie Abdel. Un business, enfin, assez faiblement puni devant les tribunaux qui, selon lui, fait vivre « des milliers de personnes à Marseille », et provoque des tensions : des rixes à coups de couteau jusqu’à une fusillade, survenue fin août, à la porte d’Aix…
Adnene Ferchichi écumait les stations Total de Saint-Etienne à Roubaix
A priori, Adnene Ferchichi n’a pas d’animosité personnelle à l’égard des stations-service Total. En revanche, il les fréquente beaucoup. En coup de vent. Style, je me sers et je me dépêche de partir sans payer. À Seclin, à Saint-Alban, comme dans les environs de Lyon ou de Saint-Étienne, le modus operandi est assez classique. Un arrêt à la pompe et hop…
Un Algérien frappait femme et enfants à coups de pieds, de poings etc…
Pour punir son fils de 2 ans, un algerien, père de famille, de 45 ans de Provins le forçait à manger de la harissa, la sauce piquante marocaine. Il a été condamné mardi à 18 mois de prison dont 8 avec sursis mise à l’épreuve pour des maltraitances sur ses six enfants et ceux de sa compagne.
Les six victimes mineures sont âgées de 2 à 17 ans. Des incapacités de travail de 11 à 15 jours ont été constatées.
Le patriarche d’origine algérienne les frappait à coups de pieds, de poings et de câbles électriques. Il avait aussi explosé une lampe de chevet sur la tête de sa femme, placée sous curatelle.
Les filles se plaignaient d’être forcées à porter le voile. Et quand le cadet, âgé de 2 ans, disait des gros mots, son père le punissait en le forçant à manger de la harissa, la sauce piquante marocaine.
Le prévenu, qui comparaissait libre sous contrôle judiciaire, a écopé de 18 mois de prison dont 8 avec sursis et mise à l’épreuve, avec mandat de dépôt. Le parquet avait requis un an de prison ferme avec mise en détention.
Il est finalement ressorti libre du procès puisque sa peine est aménageable.
Procès politique contre Henry de Lesquen: 6 mois requis
«Centrée sur le rythme, la musique nègre s’adresse au cerveau reptilien». Voici l’un des 14 textes qui valent aujourd’hui à Henry de Lesquen, président de radio Courtoisie et… candidat à la présidentielle de voir requis à son encontre six mois de prison avec sursis et 15 000 euros d’amende. En raison de ces écrits, publiés sur son site et sur Twitter, entre décembre 2015 et juillet 2006, il est poursuivi par la justice pour «injures publiques, contestation de crimes contre l’humanité et provocation à la haine raciale».
«Je suis émerveillé de la longévité des rescapés de la Shoah morts à plus de 90 ans. Ont-ils vécu les horreurs qu’ils ont racontées ? (…) La plantureuse S. Veil rescapée de la Shoah a 88 ans. A ma connaissance, elle va bien», a également posté le prévenu sur Twitter les 27 et 28 avril 2016.
Dans d’autres textes, il s’interroge sur «le coefficient de blancheur des équipes de balles aux pieds». La défense a réclamé la relaxe en défendant «la liberté du commentaire». Le jugement a été mis en délibéré au 25 janvier.
Henry de Lesquen, ancien haut-fonctionnaire de 66 estime qu’il est victime d’un «procès politique» pour délits d’opinions et qualifie les parties civiles qui ont dénoncé ses propos «d’officines de délation».
Il se décrit comme «un patriote français» en lutte contre «le cosmopolitisme» de «ceux qui ne veulent plus que la France soit un pays de race blanche et de religion chrétienne».
A propos de la Shoah©, il dénonce un «racisme» subi par des internés non-juifs d’Auschwitz qualifiés de déportés alors que les autres sont des «victimes de la Shoah» ce qui, regrette-t-il, leur confère «une dignité supérieure». Plus tard, il explique que «le journal d’Anne Frank est une imposture» car écrit par son père.
Ces déclarations nous changent des lamentables aplatissements devant le judaïsme politique des autres candidats du système, y compris de la Le Pen ou de ceux se prétendants nationalistes… !
Francis Langlois, adjoint au maire FN d’Hayange condamné pour violences sur une adolescente
Un élu Front national d’Hayange, Francis Langlois, a été condamné mercredi à de la prison avec sursis pour des violences sur une adolescente. Lors d’un rassemblement public, l’adjoint au maire frontiste s’en est violemment pris à une opposante qui protestait contre le maire FN.
Le troisième adjoint au maire d’Hayange a été reconnu coupable mercredi de «violences par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours» a-t-on appris auprès du tribunal correctionnel de Thionville. Francis Langlois était mis en cause pour l’agression d’une jeune fille de 16 ans prise à partie lors d’un hommage pour les commémorations de la fin de la guerre d’Algérie.
Mercredi 2 novembre, devant le tribunal correctionnel de Thionville, l’adolescente de 16 ans qui accuse Francis Langlois, adjoint aux travaux, a expliqué que l’adjoint lui a porté un coup et l’a repoussé par la gorge lorsqu’elle tentait de lui arracher son discours des mains.
Le parquet a requis trois mois de prison avec sursis estimant que la réponse de l’adjoint est disproportionnée face à l’adolescente.
Etranger
Europe
Allemagne : tempête médiatico-politique autour du viol et du meurtre de Maria Ladenburger
Jeune Nation a rendu compte dernièrement du viol et du meurtre de Maria Ladenburger, fille d’un haut-fonctionnaire de l’Union européenne, commis par un envahisseur afghan. Le contraste entre le silence médiatique et la barbarie du crime a déclenché une tempête de ras-le-bol sur les réseaux sociaux, de nombreux Allemands voyant dans Maria la victime de la culture de l’accueil de la chancelière Merkel !
Les médiats gardes-chiourme du système ont été contraints d’évoquer l’affaire pour ne pas être trop à la traine. Mais le retentissement national qui s’en est suivi a courroucé la Chancelière Merkel qui a exprimé sa réprobation du risque d’amalgame avec tous ses gentils amis envahisseurs « migrants » ! Et la Chancelière Merkel a tenté de minimiser tout en condamnant : « De tels délits sont évidemment dramatiques et doivent faire l’objet de poursuites. (…) Mais, pour autant, il ne faut pas tirer des conclusions sur l’ensemble d’un groupe ».
En effet mercredi 7 décembre, deux journaux de la « grosse presse » ont consacré une large place au destin tragique de cette étudiante en médecine de 19 ans, dont le cadavre a été repêché dans une rivière, le 16 octobre, à Fribourg et dont le meurtrier, un envahisseur afghan de 17 ans, a été arrêté, vendredi 2 décembre, après que les enquêteurs ont retrouvé des traces de son ADN sur le corps de la victime, qui a été violée avant sa mort. En revanche, jusque là, la principale chaine de la télévision publique avait fait le choix de ne pas en parler, dans une volonté d’étouffer un crime qui, à leurs yeux, est susceptible d’illustrer le danger que représente l’arrivée massive d’envahisseurs en Allemagne au cours des derniers mois.
La confusion régnant en Allemagne est telle que le réseau social Facebook a même censuré le compte d’un abonné qui avait diffusé la photo de l’envahisseur violeur et meurtrier, Hussein K., alors qu’il s’agissait pourtant de la photo officiellement publiée par la police allemande.
Allemagne : nouvelle vidéo des émeutes de la Saint-Sylvestre à Cologne
Près d’un an après les agressions et viols commis en masse et en bandes organisées par des envahisseurs à Cologne, la police allemande publie de nouvelles images de ce chaos de la nuit de la Saint-Sylvestre, afin de prouver qu’il n’y avait pas assez d’officiers en service pour contrôler la situation. On entend des femmes crier « non, ne me touchez pas ! », tandis que des policiers se battent pour arrêter les émeutiers maghrébins.
Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=Hd9lb3ZzCi4
Norvège : bonus de 10 000 couronnes aux envahisseurs qui repartent
Les autorités norvégiennes offrent un bonus de 10 000 couronnes (environ 1100 euros) aux envahisseurs demandeurs d’asile qui veulent partir du pays volontairement.
D’après la Direction générale de l’immigration norvégienne, ces mesures coûteront moins que s’ils restent dans les centres d’accueil du pays. Ce programme, lancé lundi 28 novembre, est mis en place pour six semaines. Les 500 premiers demandeurs d’asile qui se portent volontaires recevront l’argent. « Nous avons besoin d’attirer plus de personnes pour qu’ils rentrent chez eux en leur offrant de l’argent pour leur voyage. Tout ça nous permettra d’économiser beaucoup parce que cela coûte cher d’entretenir des gens dans les centres d’asile », a déclaré la ministre des Migrations et de l’intégration Sylvi Listhaug.
Ces 10 000 couronnes seront ajoutées aux 20 000 déjà données aux demandeurs d’asile et migrants en situation irrégulière qui voudraient rentrer volontairement dans leur pays natal. Mme Listhau a indiqué qu’elle espérait la réussite de ce projet et qu’il soutiendrait ceux qui partent volontairement, relate Telegraph.
« Il y en a aussi nombre qui n’auront pas l’asile et seront expulsés. Pour nous, c’est mieux de les encourager à rentrer », a-t-elle ajouté.
Initialement, le gouvernement norvégien avait déjà lancé un programme d’incitation de ce type pour que les migrants partent en décembre de l’année dernière. L’Organisation internationale pour la migration (OIM), qui participe au Programme de retour volontaire norvégien, assiste et apporte conseils.
Le porte-parole Joost van der Aalst affirme que le nombre de demandeurs d’asile qui acceptent l’offre a grimpé en flèche, surtout parmi les gens qui essayent de faire venir leur famille en Norvège.
Russie : souscription à Moscou pour un monument aux victimes du goulag
La construction d’un nouveau monument national à la mémoire des victimes des répressions politiques vient d’être lancée à Moscou, au croisement de l’avenue Sakharov et de la Ceinture des jardins. La nouvelle a été annoncée le 30 novembre dernier, lors d’une conférence de presse, par les membres de la Fondation pour la mémoire, qui cofinance le projet avec la Ville de Moscou.
« Ce monument est la mise en œuvre du programme gouvernemental de perpétuation de la mémoire des victimes des répressions », a expliqué Mikhaïl Fedotov, directeur du Comité pour les droits de l’homme et président de la Fondation pour la mémoire.
Le monument, conçu par le sculpteur Gueorgui Frangoulian, 71 ans, devra être inauguré le 30 octobre 2017. Il s’agira d’un mur de bronze de 30 mètres de long et six mètres de haut, à la base duquel seront représentées des silhouettes humaines. Aux extrémités, sur des panneaux, les mots « Souviens-toi » seront gravés en différentes langues. En face du monument seront déposées des pierres venant des anciens lieux de détention.
Ce « Mur du deuil » sera dédié à toutes les victimes des répressions politiques. « La loi de 1991 sur la réhabilitation des victimes des répressions politiques établit que la période des répressions s’étend de 1917 à 1991, a souligné Vladimir Loukine, sénateur et président du conseil de la Fondation pour la mémoire, rappelant qu’avec l’année 2017, deux dates anniversaires approchent : celle de la révolution de 1917 et la culmination de la Terreur, en 1937. »
Natalia Soljenitsyna, membre du conseil de la Fondation et veuve d’Alexandre Soljenitsyne, refuse de laisser dire que ce monument arrive trop tard : « Nous marchons vers ce but depuis de très longues années, a-t-elle déclaré, avant de poursuivre : Il a semblé, par moments, que toute la société était d’accord pour condamner le passé. Ce n’est pas le cas aujourd’hui. La société est divisée. Beaucoup de voix affirment que ces répressions ont peut-être eu lieu, et peut-être pas… Et cet amour névrotique pour Staline… J’espère que ce monument nous fera avancer sur la voie de la réconciliation. Car elle est impossible à travers l’oubli. Il faut savoir, ne pas oublier, condamner, et alors seulement, pardonner et se réconcilier. »
Roman Romanov, directeur du musée de l’histoire du Goulag et membre de la Fondation pour la mémoire, précise que 2,2 millions de roubles ont déjà pu être récoltés : « Des virements même peu élevés arrivent sur le compte de la fondation, parfois de 500 roubles », a-t-il déclaré, ajoutant que juste après l’annonce par la Fondation du lancement de la collecte de fonds, un homme avait appelé le musée et expliqué qu’il n’avait pas d’argent, mais possédait un lingot de bronze, et désirait l’offrir au sculpteur.
Pologne : nouvelle loi de racket pour l’indemnisation des rescapés de la Shoah
Pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, les rescapés de la Shoah qui ont été spoliés par les Nazis en Pologne pendant la Shoah vont pouvoir réclamer la restitution de leurs biens immobiliers.
La mairie de Varsovie a publié une liste de 2 613 maisons, sans le nom de leurs propriétaires, pour permettre aux survivants concernés ou à leurs descendants d’entamer des démarches et de déposer de nouvelles plaintes.
Mais ils vont devoir faire vite. La loi indique en effet qu’ils ne disposent, pour engager leur procédure, que d’une période de six mois à partir de la publication de la liste. Par la suite, il leur sera accordé trois mois supplémentaires pour prouver leurs droits sur les propriétés. S’ils n’y parviennent pas à temps, leurs biens reviendront à la municipalité ou à l’État.
La « World Jewish Restitution Organization » qui œuvre dans ce domaine, a préparé une base de données pour faciliter les recherches des plaignants potentiels et les aider à surmonter les obstacles.
Il faut rappeler que de nombreux rescapés d’origine polonaise ont déposé des plaintes juste après la Seconde Guerre mondiale mais la plupart d’entre elles ont été rejetées par le régime communiste qui sévissait à l’époque à la tête du pays. Par la suite, ils ont pensé qu’ils n’avaient plus aucune possibilité d’être dédommagés.
Près de 3,3 millions de Juifs vivaient en Pologne avant 1939 et l’historiographie officielle prétend que pendant la guerre, plus de 90 % d’entre eux ont été sauvagement massacrés.
Monde
Syrie : Bachar el-Assad dénonce « un axe Jérusalem-Riyad-Doha »
Le président Bachar el-Assad a accordé une longue interview au quotidien syrien Al-Watan. Il s’est d’abord félicité des succès militaires de son armée à Alep et de la reprise de contrôle d’une partie des quartiers détenus auparavant par les groupes islamo-terroristes. Il a affirmé que la libération des quartiers Est d’Alep est la suite logique et naturelle de la série de succès des Forces armées syriennes obtenus dans la banlieue de Damas, puis à Homs avec l’aide de ses alliés.
Bachar el-Assad s’est dit sûr de sa victoire totale prochaine à Alep, tout en préparant sa population à une guerre encore longue. En effet il a réaffirmé que son projet est de reconquérir l’ensemble des territoires perdus depuis cinq ans et que cette guerre ne prendra donc fin qu’avec la libération de tout son territoire. « C’est vrai qu’Alep sera une victoire pour nous mais soyons réalistes, cela ne signifie pas la fin de la guerre. Néanmoins ce sera une étape énorme vers la fin du conflit et un tournant dans la guerre »
En réponse aux « rebelles » d’Alep, qui ont demandé mercredi une trêve pour des raisons humanitaires, appuyées par quelques États occidentaux inquiets pour leurs créatures, Bachar el-Assad leur a opposé une fin de non recevoir, qualifiant ces insurgés de terroristes. « Si les Américains insistent autant pour parvenir à un cessez-le-feu, dit-il, c’est parce que leurs agents sont actuellement dans une situation difficile ».
Mais il a aussi attaqué les pays du Golfe, notamment l’Arabie saoudite et le Qatar, les accusant d’avoir formé un axe avec Israël pour abattre son régime ! Il a précisé qu’il n’en voulait pas aux peuples de ces deux pays mais à ses dirigeants qui selon lui renforcent la position d’Israël. « C’est grâce à l’Arabie saoudite et au Qatar qu’Israël est aujourd’hui une puissance régionale ».
Bachar el-Assad a également révélé que Moscou avait tenté de faire une médiation entre Damas et Riyad mais en vain, « car l’objectif des Saoudiens est de renverser le régime syrien qui est l’allié de l’Iran ».
Philippines : Duterte affirme avoir le soutien de Trump dans sa guerre aux dealers
Le président philippin Rodrigo Duterte a affirmé samedi 2 décembre que Donald Trump l’avait encouragé dans sa guerre contre la drogue en lui disant qu’il appliquait « la bonne méthode » alors qu’il lui téléphonait pour le féliciter de sa victoire à l’élection présidentielle.
Depuis l’entrée en fonction du président philippin en juin, la politique de répression controversée qu’il mène dans son pays a fait 4800 morts, soit une trentaine de morts par jour. Cette prise de position supposée de M. Trump va a priori à l’encontre de celle du président démocrate Barack Obama, qui avait exprimé ses préoccupations quant à la violence de cette campagne de lutte contre la drogue.
Duterte a été élu en mai dernier au terme d’une campagne populaire au cours de laquelle il a promis de s’attaquer au trafic et à la consommation de drogue y compris en s’en prenant directement aux milliers de criminels qui s’y adonnent. Il a appelé la police et même les civils à tuer les consommateurs de drogue
Et lors d’un discours diffusé par la télévision nationale philippine, Rodrigo Duterte a évoqué à nouveau sa conversation téléphonique du 2 décembre avec Donald Trump… sans hésiter à l’imiter : « Président Duterte, nous devons améliorer nos mauvaises relations. Je sais que tu t’inquiètes de tous ces Américains qui te critiquent. Tu fais du bon travail. Continue », a déclaré le président philippin en imitant la voix et l’accent du nouveau président des États-Unis.
Vidéo
Russie, 1000 ans d’histoire, l’empire slave
Ephéméride nationaliste
9 décembre 1928 : En Italie, le Grand Conseil du Fascisme -créé en décembre 1922- devient un organe constitutionnel
Agenda
11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
© Jeune nation – 2016
Prométhée supplicié, 1611-1612, Peter Paul Rubens
(Museum of Art – Philadelphia)
Bonjour! Bravo pour votre journal de vraie information et de désintoxication, je le consulte tous les jours!
J’aimerais bien avoir votre avis sur la violente agression d’Alain Soral sur la personne de Daniel Conversano, qui fait partie de notre famille politique, et plus globalement, j’aimerais connaitre l’avis de Jeune Nation sur ce personnage qui prône « l’égalité et la réconciliation » avec toute la racaille islamique des banlieues et se dit « nationaliste de gauche »??
Merci de m’éclairer et salutations nationalistes camarades!