Le candidat de 33 ans qui a participé au concours « Miss Trans » en 2020 était inscrit au concours de Miss Isère le week-end dernier. Il a également participé au concours international de « Miss Queen Transgender » 2022 qui s’est déroulé à Pattaya en Thaïlande en juin dernier. Selon Midi Libre : « Originaire de Voiron, cette Iséroise a pris goût aux concours de beauté après avoir gagné le concours Miss Trans France en 2020. Après cette double expérience, Aëla Chanel a souhaité participer au concours Miss France, ouvert depuis l’an passé aux candidates transgenres, comme aux femmes mariées et aux plus de 25 ans. Elle est la deuxième candidate transgenre après Andréa Furet en 2022, à participer au concours qualificatif pour Miss France 2024. »
Aëla Chanel a expliqué que sa candidature était « un acte militant. Ne serait-ce que pour dire que nous existons et que nous sommes là, que nous sommes valables comme toutes les autres personnes, tous les autres citoyens et citoyennes français. » Ben voyons… Quoi qu’il en soit le trentenaire n’a pas passé le cap des sélections et ne se qualifie pas pour le concours national Miss France (1). Mais pourquoi donc ?
Tout s’explique.
Je fais une petite recherche Google pour savoir qui est ce personnage qui en plus de se prendre pour une femme s’imagine par surcroit devenir la plus belle de toutes.
Il a réalisé plusieurs opérations pour féminiser son aspect et s’exprime comme une « instapouffe » caricaturale et grotesque. Si j’étais une femme, je trouverais vexant qu’un homme, pour se faire passer pour une femme, utilise des mimiques de langages qui ne rendent pas justice à la gent féminine. Sa transformation n’en a pas fait une femme, elle en a fait une potiche de réseaux sociaux.
Je tombe sur une vidéo et là tout s’éclaire.
Avec sa voix grave qui tranche avec son maquillage d’instapouffe, il nous explique qu’il n’a « pas eu de modèles » dans sa vie. Quelle surprise ! On imagine la qualité du foyer : pas de mère ou une mère pas à la hauteur, pas de père ou un père pas à la hauteur. Une famille éclatée, atomisée, ce qui a rendu possible cette trajectoire pour le moins farfelue.
Ce personnage rend involontairement justice et hommage à notre combat : sans modèles, sans repères, sans structures qui encadrent l’existence d’un être humain, celui-ci s’échappe des codes de la civilisation, dévie, chavire et se perd dans d’improbables limbes étranges et obscurs.
Continuons donc d’être des gardiens de la civilisation.
Note :
(1) En théorie, les candidates ayant eu recours à la chirurgie ne sont pas acceptées dans l’aventure Miss France. Or, dans un parcours de « transition de genre », il y a forcément de la chirurgie : « Ma chirurgie correspond à mon protocole de soins, donc c’est pris en charge par la Sécurité sociale. À partir de là, c’est médical, donc ça n’a pas posé de problèmes », explique Aëla Chanel.
Voir aussi :
Je suis au regret de me répéter et vous prie de m’excuser, mais il se trouve tout de même que la répétition des mêmes erreurs justifie les mêmes réponses !
Ces erreurs répétitives consistent, en l’occurrence, à placer sur le terrain d’une évolution volontaire des moeurs ce qui n’est que du domaine médical et, pour être plus précis, du domaine hormono-psychiatrique.
Or, comme il faut apparemment le redire : Depuis 1962 et l’édition d’un livre considéré comme l’un des plus importants du XXème siècle, puisque désigné comme l’ouvrage fondateur de la prise de conscience écologique, » LE PRINTEMPS SILENCIEUX » de la biologiste Rachel Carson, il n’y a pas un biologiste sérieux, ni même un responsable politique, qui ignore que ce qu’on nous présente comme un choix de société n’est que la conséquence d’une pathologie résultant d’une intoxication par des PERTURBATEURS ENDOCRINIENS, largement répandue dans les pays industriels pollués par plus de 200 substances : les fameux P.C.B. (polychlorobiphényles) dénoncés par Rachel Carson.
A tel point que même le socialiste Bernard Hamon en a fait l’un des arguments de sa campagne présidentielle en 2017.
C’est donc une erreur que de se laisser entrainer par nos adversaires vers un débat parfaitement hors sujet.
C’est à nous d’exiger un débat médico-scientifique et de dénoncer la manoeuvre malhonnête ou stupide consistant à placer sur le terrain de la morale une évolution sociétale qui n’est que la conséquence d’une perturbation hormonale parfaitement analysée et documentée par de multiples scientifiques.
Je ne vous demande pas de me croire aveuglément, mais si vous n’avez pas la curiosité élémentaire de vous procurer le livre de Rachel Carson, documentez-vous au minimum sur internet. Vous ne le regretterez pas…