Dans une longue étude, publié à l’occasion de la « Journée internationale de commémoration des victimes de l’Holocauste » le 27 janvier dernier, la France est présentée « comme un pays leader, à l’échelle européenne, du combat contre le révisionnisme de l’Holocauste ».
Cette publication est la conclusion d’un projet de recherche mené en 2018 conjointement par l’Université de Yale et le Grinnell College, ainsi que par l’European Union for Progressive Judaism (EUPJ), qui fédère plus de 170 organisations locales du judaïsme politique en Europe.
Selon les commentateurs, le rapport montre comment ces dernières décennies la France « a effectué un remarquable virage, entre le mythe fondateur de l’après-guerre de résistance aux nazis, et la vérité de la responsabilité du gouvernement collaborationniste français ». « Il décrit clairement les étapes successives de cette prise de distance avec le mythe gaullien d’après-guerre d’une France unie dans la résistance contre les occupants nazis et leurs collaborateurs de Vichy. »
Ce virage a pris forme dans les années 1980, entre autre du fait du lobbying acharné de Serge et Beate Klarsfled, qui ont entamé des procédures judiciaires à l’encontre des prétendus « complices français de la Shoah ». Une action qui a conduit aux arrestations, jugements et condamnations de René Bousquet, le chef de la police de Vichy, ou encore Jean Leguay, Maurice Papon ou Paul Touvier, au mépris des principes fondamentaux du droit comme la prescription ou la non-rétroactivité des lois.
La haute trahison chiraquienne
L’étude souligne l’intervention décisive de Jacques Chirac qui a finalement permis la mise en œuvre de cette répression délirante et de la propagande débridée que nous constatons jusqu’à aujourd’hui. En effet, jusqu’à la présidence de Jacques Chirac, et notamment sous François Mitterrand, le mythe gaullien prévalait bon an mal an.
« Le changement de position officiel s’est produit en 1995, lorsque le président Jacques Chirac a reconnu que c’était bien la police française, et non les soldats allemands, qui avait effectué les rafles dans les écoles et envoyé les enfants à la mort. Deux mois après sa prise de fonction, il a reconnu : ‘Oui, la folie criminelle des occupants a été secondée par l’État français.’ »
Et l’effet d’engrenage n’a pas manqué, conduisant ses successeurs à une escalade d’aplaventrisme.
Ainsi, François Hollande est allé plus loin en affirmant que les rafles consistaient en « un crime commis en France par la France ».
De même, après lui, en juillet 2017, au mémorial du Vel d’Hiv, Emmanuel Macron a cité individuellement les noms de collaborateurs. Il a également condamné la réhabilitation de fonctionnaires qui ont œuvré durant le régime de Vichy. « Il est très commode de voir Vichy comme une monstruosité née de rien et retournée à rien. Mais ceci est faux, et nous ne pouvons tirer aucune fierté d’un mensonge » avait-il déclaré.
Bien évidemment les auteurs de l’étude se réjouissent de cette fuite en avant dans le mensonge : « C’est ainsi qu’au cours des dernières décennies, la France a effectué des progrès remarquables, à la fois en intégrant la mémoire de l’Holocauste dans la conscience nationale, et en assumant la responsabilité de la France », avance le rapport. « Et à la différence de plusieurs autres pays de par le monde, la France se montre également convaincue de la nécessité d’une vigilance constante afin d’éviter que des récits de complaisance en viennent à remplacer les vrais. »
Palmarès européen de la soumission au mensonge
L’étude établit aussi une sorte de palmarès européen des pays les plus soumis à la nouvelle religion de la Shoah
Ainsi, la Roumanie est présentée comme un modèle à suivre, notamment grâce à sa nomination d’une commission indépendante chargée d’étudier la Shoah. L’Autriche, dont le gouvernement est pourtant composé d’un parti d’extrême droite fondé par d’anciens nazis, est également citée en exemple grâce à ses efforts concernant la restitution d’œuvres d’art spoliés.
Au contraire de la France, le rapport cite à l’inverse les pays qui résistent encore un tant soit peu aux oukases et se démarquent par exemple par leur réhabilitation actuelle de collaborateurs et criminels de guerre, « tout en minimisant leur responsabilité́ dans la tentative d’extermination des Juifs ». Le phénomène serait présent en Pologne, Hongrie, Croatie et Lituanie, mais aussi en Italie.
Vers toujours plus de propagande et de répression
Et comme pour tout projet totalitaire et déconnecté des réalités historiques et charnelles, ses partisans n’en ont jamais assez et justifient leur engagement vers toujours plus de soumission au lobby du judaïsme politique.
Ainsi, Katharina von Schnurbein, coordinatrice de la Commission européenne contre l’antisémitisme, a quant à elle jugé « réellement pertinente » cette étude, rappelant que ses services constatent que « l’antisémitisme est en hausse en Europe » et que « la mémoire de l’Holocauste occupe une place centrale dans l’identité juive ».
Ou encore William Echikson, directeur du Bureau européen de l’European Union for Progressive Judaism à Bruxelles, qui a participé à ce projet : « Ce combat au sujet de l’histoire a une portée qui dépasse la simple exactitude historique. Il comporte des implications importantes pour l’Europe d’aujourd’hui ». « Le révisionnisme actuel coïncide avec une montée de mouvements politiques d’extrême-droite et d’un nationalisme extrême, qui s’efforcent de contrecarrer les règles démocratiques. »
Seule la vérité rend libre
Néanmoins l’hystérie diasparanoïaque qui anime nos élites oligarchiques, lobbies, médiats et caste politique, n’est pas vraiment le signe d’une adhésion unanime et apaisée autour de la version de l’histoire qu’ils veulent imposer.
Et la répression systématique, et toujours plus renforcée, témoigne plutôt d’une forteresse assiégée, criblée de brèches et menaçant de céder…
Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron sont des Juifs. la Banque Rothschild est juive. la liste serait très longue des hommes politiques, artistes, présentateurs de TV qui sont des Juifs. les mass media audiovisuels et la quasi-totalité de la presse écrite sont totalement contrôlés par les Juifs. notre Patrie, aujourd’hui, est totalement ruinée à cause des Juifs, et non pas à cause des Musulmans. seule l’alliance des Catholiques et des Musulmans permettra de vaincre la puissance des Juifs. tout autre plan est illusoire. en voulant combattre, à la fois, les Juifs et les Musulmans, la Droite Nationale se condamne à l’inexistence.
Il faut absolument se résigner, comme le dit Philippe Ploncard d’Assac, que nous sommes en face d’un véritable complot judéo-sioniste qui sévit depuis les débuts de l’ère chrétienne avec la gnose relayée de l’illuminisme et de la Franç-Maçonnerie depuis le XVIIIème siècle.
Cette guerre acharnée pour imposer la Shoah, qui a une portée meassianico-religieuse n’a pas d’explication autrement.
Faites vos recherches.