La comédie présidentielle touche à sa fin, ce qui n’est pas sans nous réjouir. Jamais en effet une élection d’une telle ampleur n’aura suscité chez les français autant d’ennui et de rejet du monde politique dans son ensemble. Le débat de l’entre-deux tours en est encore un exemple frappant.
C’est une nouvelle étape de la campagne qui se termine. Comme prévu, le débat qui a opposé le banquier cosmopolite Macron et le fossoyeur du mouvement national n’a pas fait bouger les lignes. Égale à elle même, la candidate du néo-FN s’est comportée en éternelle opposante, alternant entre une posture populiste assumée, se contentant de lancer des attaques personnelles contre son adversaire, et une volonté manifeste de paraître dédiabolisée en évitant consciencieusement d’aborder les sujets qui fâchent. Pas de phrases assassines sur l’immigration-invasion qui reste pourtant l’un des points de préoccupation majeurs de son électorat, ni sur le drame du meurtre de masse que constitue l’avortement généralisé, encore moins sur la dissolution programmée de la famille traditionnelle. Une position somme toute très consensuelle, visant à attirer l’électorat malheureux de Mélenchon, pensant naïvement que celui-ci va se reporter sur celle qu’on lui présente à longueur de journée comme l’héritière du Maréchal Pétain. Cette posture lui allait d’autant plus mal que pendant qu’elle se lançait dans de longues diatribes mettant en cause la personnalité de son adversaire, celui-ci n’a cessé de se poser en homme d’expérience, maîtrisant ses dossier avec une technicité que sa concurrente n’avait manifestement pas.
Sur le fond, on peut noter outre l’absence des sujets essentiels qui touchent à l’existence même de la France en tant que Nation, une stratégie de la part de Macron visant à diaboliser la Le Pen en l’assimilant à ce qu’il appelle l’extrême droite, la renvoyant à la prétendue rafle du Vél d’Hiv, comme si elle pouvait se targuer d’être l’héritière des nationalismes d’avant-guerre. Que nos lecteurs se rassurent, d’une part elle n’a jamais prétendu l’être, d’autre part nous lui récusons cette appartenance au camp National. Voilà donc le bilan de la funeste combine de la dédiabolisation dont la prestation de la candidate du néo-FN lors de ce débat fut la plus parfaite illustration. Faire des concessions avec le Système en espérant être accepté dans la caste oligarchique, continuer à être diabolisé et subir en prime l’humiliation du reniement. Un bilan bien mitigé s’il en est ! À ceux qui croyaient encore que Marine Le Pen pouvait rattraper son retard dans les sondages (manipulés par les médiats à la solde de l’État socialiste, nous ne le répéterons jamais assez) grâce à un combat de coq organisé sur le service public, ils seront déçus. Et pour cause, Macron jouait à domicile c’est-à-dire dans le cadre du Système. Il était à partir de ce moment là impossible pour la candidate du Front National d’espérer s’imposer sur quelque thème que ce soit dans la mesure où le moindre écart par rapport à la pensée unique était synonyme de carton rouge. La défaite était d’ores et déjà écrite…
Ce débat aura donc été une nouvelle fois à l’image des précédents et même de la campagne dans son ensemble, inodore, incolore et sans saveur. Il ne fait plus aucun doute désormais que Rothschild devrait s’installer à l’Élysée le 13 mai prochain. Malgré l’ampleur du légitime mécontentement populaire mesuré par l’importance relative du vote Front National, celui-ci ne parvient toujours pas à l’emporter sur le plan électoral. Rien d’étonnant toutefois, ce type de scénario était bien prévisible. Jamais nous n’avons considéré qu’une victoire par le biais démocratique était envisageable, à plus forte raison si la machine infernale du politiquement correct venait à s’abattre sur les représentants du mouvement National. Il nous appartient dès lors d’organiser une opposition frontale et sans concession à cette oligarchie mondialiste qui planifie méthodiquement notre disparition comme peuple et comme Nation. Cet élan révolutionnaire ne passera pas par le bulletin de vote, c’est la raison pour laquelle nous appelons à l’abstention massive en signe de protestation radicale contre ces institutions corrompues.
Français, courage ! Avec nous ! Boutons la vermine politicienne hors de France !
En avant la victoire ! Maîtres chez nous !
Je ne sais que penser. Je ne suis plus certain que voter Macron pour éviter Marine se ramène à tomber de Charybde en Scylla… Quand bien même ce serait le cas, il y a cette célèbre citation de Nietzsche qui s’impose à moi: « O mes frères, suis-je donc cruel mais je vous le dis: ce qui dois tomber, il faut encore le pousser! » (Ainsi parlait Zarathoustra). Je t’approuve. Et ça ne date pas d’hier… A bas la République!
En Yvan la victoire!