Benoît Hamon…), puis son piteux score (quatrième position avec 13,2 % des voix) à l’élection municipale de Barcelone en 2019, Valls avait ramé pour revenir en France dans la marigot politique macronien. Après moultes reptations, il avait obtenu l’investiture de La République en Marche d’Emmanuel Macron dans la circonscription des Français de l’étrangers pour les élections législatives. En vue d’un nouvel et énième camouflet, écrivions-nous dès le 5 mai dernier. Et bien c’est fait. Valls a été éliminé dès le premier tour.
«Valls éliminé dès le premier tour», a tweeté Mélenchon, un peu vache, surfant sur l’impopularité indélébile de Valls, avec une photo d’«insoumis» brandissant des pancartes «Bon débarras».
Sans vergogne, courtisan, Valls comptait sur le Système pour retrouver une place au chaud.
Parce que trop associé à Hollande et aux années de sang du Bataclan, la Macronie lui avait refusé l’investiture en 2017. Lors de la campagne présidentielle, il avait été giflé par un jeune breton, Nolan.
En 2022, LREM avait consenti à lui offrir une des circonscriptions des «Français de l’étranger», facilement gagnables, en Espagne.
Saluant «l’engagement» de Valls, Christophe Castaner, briseur des Gilets jaunes, s’est félicité que «sur les onze circonscriptions [de l’étranger], il y aura un candidat de la majorité présidentielle.»
Nul doute que Valls disposera d’autres parachutes. En 2021, il avait trouvé un petit job de chroniqueur sur BFM.
Source : @Kompromat
Voir aussi :
Mort politique de Valls, acte 2 : chronique d’un Système à l’agonie
Valls, le marchand de sable, a cessé d’enfumer, par Yvan Benedetti
En recherchant « Marseille Manifestation russophobie… » je suis par hasard tombée sur votre site.
Merci d’exister.
J’y reviendrai.