François Hollande est hué partout où il va en France : ouvrier dont l’usine a fermé, parent qui rejettent l’idéologie du genre à l’école, policier qui dénonce la politique du chiffre de Manuel Valls, justiciable qui refuse les réformes de Taubira en faveur des criminels et au détriment des victimes. Chaque Français a au moins une bonne raison de vouloir le départ de François Hollande dont la cote d’impopularité bat des records.
Il s’abstient désormais de tout déplacement en France, multipliant au contraire les voyages à l’étranger, une technique déjà utilisée par François Mitterrand avant lui. Il a visité plus de 10 pays en deux mois : l’Afrique du Sud, le Brésil, la République centrafricaine, le Mali en décembre, et puis l’Arabie séoudite ; le Vatican, la Turquie, les Pays-Bas en janvier. La semaine dernière, il était en Grande-Bretagne et hier, c’est en Tunisie qu’il se trouvait, avant le soir venu de se rendre dans un autre coin d’Afrique : Trappes.
À l’invitation de Jamel Debbouze et de la Fondation Culture et Diversité – financée par le contribuable –, il a assisté – O sujet important en ces temps de crise – à un « match d’improvisation théâtrale » entre deux collèges de cette ville occupée.
François Hollande s’est ému « d’un moment très authentique […] d’échange […], un grand moment d’improvisation […] de surprise totale ».
L’épuration ethnique à l’œuvre en France réjouit François Hollande.
La photo montre la disparition complète des Français à Trappes.