C’est une heureuse décision que vient de rendre, une fois n’est pas coutûme, la justice française.
Le vendredi 12 janvier 2018 la Cour d’appel de Lyon a en effet condamné les injures racistes anti-françaises perpétrées dans une production rapeuse, sous le même titre que le livre « Nique la France », ayant pour auteur le dénommé Saïd Zouggagh, sur plainte de l’Agrif (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) qui avait été précédemment déboutée par la Cour d’appel de Paris.
La Cour de cassation, ayant cassé l’arrêt de Paris d’une manière très sévère sur le fond, elle avait ordonné que le procès soit réexaminé devant la Cour d’appel de Lyon. Cette dernière a donc tranché et a jugé que les propos poursuivis étaient de nature à mériter une condamnation, certes à la peine symbolique d’un euro de dommages et intérêts, mais condamnation explicite et significative assortie de l’injonction de verser 3000 € à l’Agrif pour ses frais de procédure et d’avocat.
Cette satisfaction judiciaire met le doigt sur l’entreprise de haine contre la France, les Français et les Blancs, inspirée par Houria Bouteldja, la porte-parole du très islamo-marxiste et raciste PIR (Parti des Indigènes de la République). Ce parti, fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile, a toujours avancé dans le sillage de « l’antiracisme ».
Mais sa dialectique a été démontée, mettant en évidence le fait que l’antiracisme n’est en fait qu’un racisme en sens contraire : un racisme anti-Blancs et anti-Français.
On ne citera pour mémoire que les propos d’Houria Bouteldja prononcés dans une émission de débat sur France 3 le 21 juin 2007, dans lesquels elle détaillait son projet pour les Français et les Blancs, sans oublier de les injurier au passage en les qualifiant de « sous-chiens » :
« On met toujours la focale sur les quartiers populaires (…) en déficit de connaissances, de conscience politique, il faut les éduquer, etc. et on occulte complètement le reste de la société et ses privilèges (…) et moi, j’ai envie de dire : c’est le reste de la société qu’il faut éduquer, (…) c’est le reste de la société occidentale, enfin de ce qu’on appelle, nous, les sou[s-]chiens — parce qu’il faut bien leur donner un nom —, les Blancs, à qui il faut inculquer l’histoire de l’esclavage, de la colonisation… […] la question de l’identité nationale, elle doit être partagée par tout le monde et c’est là qu’il y a un déficit de connaissances. »