À Bergerac, sous préfecture d’environ 30 000 habitants, « on a 10 à 12% de musulmans », revendique le maire de la ville. Parmi eux, selon l’édile, on compte une majorité de Marocains, issus d’une vague d’immigration ayant accompagné les arboriculteurs, repliés dans la vallée de la Dordogne et du Lot dans les années 60. Pour pratiquer leur religion, quelques membres de la communauté musulmane ont racheté à la fin des années 70 une maison mitoyenne dans le centre-ville pour en faire des salles de prière.
Des populations tragiquement importées pour les besoins de l’activité économique et profiter d’une main d’œuvre à bas coup – première trahison des autochtones – et dont on a jamais avertit les Français qu’elles étaient destinées à s’implanter durablement – deuxième trahison.
L’idée de construire une mosquée a donc fait son chemin à Bergerac. Et à l’été 2015, la ville vendait un terrain communal d’environ 5 800 m² à l’Association culturelle des Marocains de la Dordogne.
La nouvelle, révélée dans la presse locale, a provoqué l’ire des riverains. En pôle, Christian Peyrouny, président du Collectif de défense des droits des riverains en Bergeracois (CDDRB). D’abord initiateur d’une pétition, cet entrepreneur a finalement décidé de porter l’affaire devant les juges, fustigeant le manque de concertation du maire. «Il a dit en conseil municipal que s’il avait consulté, tout le monde aurait été contre», rapporte ce cinquantenaire. Selon lui, le terrain, vendu à 128 000 euros, l’a été à «un tiers du vrai prix». Le tribunal de Bordeaux est saisi de ce dossier.
C’est le comportement typique des élus de cette actuelle Ve république finissante qui préfèrent accompagner la colonisation de leurs territoires par des populations importées et des mœurs étrangères à notre Europe.
Mais le 26 mars dernier, les agents de la police nationale de Bergerac ont fait une découverte peu commune, à l’aube : alors qu’ils patrouillaient dans le quartier du Tounet, au sud de la ville, les fonctionnaires ont été alertés par une tête de porc, encastrée sur la porte du chantier de la future mosquée. À l’intérieur du bâtiment, encore à l’air libre au vu de l’avancée des travaux, les murs ont été maculés de sang. Un acte « infâme », une volonté de « blesser, de choquer », s’indigne le maire Daniel Garrigue.
Enfourchant la vieille antienne politico-médiatique, le maire Daniel Garrigue tente de rallier à son projet les forces qui veulent dissoudre l’identité pluri-millénaire française, et de détourner l’attention en fustigeant cette contestation qui vient selon lui d’un « petit groupe proche de l’extrême droite ». On connait la chanson pour une vulgaire tête de porc et quelques gouttes de sang de cochon.
Ces édiles – futurs dhimmis – ne devraient pourtant pas s’étonner des légitimes réactions que suscitent leurs projets de lâche collaboration avec l’envahisseur et dans le mépris de leurs administrés, des Français autochtones sur leur propre sol !
Et Christian Peyrouni avertit : « Les riverains sont sur les nerfs, certains veulent faire sauter la mosquée quand elle sera construite ».
Dans son combat, l’ex-élu de la chambre de commerce de Paris est également soutenu par Georges Barberolle, président de l’association Protection et avenir du patrimoine et de l’environnement en Dordogne.
En attendant une décision de justice, le projet de mosquée a pris forme: le lieu de culte de 273 m², pourra recevoir jusqu’à 600 fidèles. On y trouvera notamment une salle polyvalente de 150 m², ainsi qu’un grand parking de 190 places. En octobre 2018, un second permis de construire – le premier a été amendé pour manque de places de parking – a été déposé. Alors que les travaux devaient débuter, Christian Peyrouny a également engagé une procédure en référé pour stopper la construction.
Aujourd’hui le président du Collectif de Défense des Riverains en Bergeracois continue la lutte et dénonce l’acharnement du maire de la ville : « Alors que Bergerac compte déjà deux salles de prière avec 290 inscrits, dont seulement une soixantaine de pratiquants le vendredi soir, la Mairie tente d’imposer la construction d’une Mosquée de 1000 m² implantée sur un terrain de 7000 m² au sein d’une zone résidentielle, qui pourra accueillir plus de 740 personnes et 4 classes d’enseignement coranique ! »
Une réunion publique à Bergerac est organisée le 3 juin 2019 à 19h00 pour sensibiliser les habitants sur les risques que va occasionner la construction de cet édifice : « On veut attirer tous les musulmans des départements voisins qui sont dans cette pensée d’école coranique ».
La réunion se tiendra en présence de Monsieur Alain Wagner, président de l’UDCC mais également Président de l’ICLA, ONG pour la défense des Droits de l’Homme et contre l’oppression religieuse qui représente à elle seule plus d’une dizaine de pays, partant de l’Australie en passant par l’Inde jusqu’à l’Angleterre, la Belgique et la France.
Source : Collectif de Défense des Droits des Riverains en Bergeracois (CDDRB, 36 rue de L Abbè Jean SIGALA- 24 100 Bergerac – France)
10 à 12 %, hein, soyons précis sur les virgules ça donne toujours l’impression que c’est vrai.
40 à 60 % plutôt non?