Dans sa quête insatiable de recettes fiscales, le gouvernement cible l’un des symboles les plus enracinés de notre culture populaire : la bière. Avec cette nouvelle taxe, c’est une fois de plus la France profonde que l’on piétine, celle qui prospère loin des bureaux impersonnels et des chiffres de Bercy.
En imposant ce fardeau, on ignore les artisans brasseurs, ces créateurs de saveurs qui perpétuent une tradition séculaire, une identité française qu’on sacrifie pour colmater les brèches d’un endettement devenu abyssal.
Depuis des années, sous la gouvernance Macron, la dette publique grimpe à des niveaux sans précédent, et plutôt que de s’attaquer aux véritables causes de cet endettement, l’État préfère multiplier les ponctions sur les petits producteurs, transformant chaque verre en une contribution forcée à l’océan de dettes. Ce mépris des élites, cette incapacité à valoriser ce qui fait notre terroir, trahit un gouvernement déconnecté des réalités de la France qui vit et respire au rythme de ses traditions.
Le brasseur local, enraciné et engagé dans sa communauté, est aujourd’hui frappé par une loi aveugle. À l’heure où chaque région défend ses produits et son savoir-faire, cette taxe apparaît comme une trahison. Elle dénature la France de la bière, celle des brasseries familiales et des cafés de village, pour renflouer un trésor public malmené par des années de gestion opaque et inconséquente.
Mais que faut-il penser de Français qui s’en prennent plein la gueule, chaque jour un plus, sans JAMAIS réagir ?
Oui, la vérité est là, de ne pas se rebiffer durement n’amène que de la misère.