Assurément, les semaines et les mois à venir ont toutes les chances d’être fortement animés et de réserver bien des surprises, bonnes ou mauvaises.
Une dissolution, pourquoi ?
La dissolution de l’Assemblée nationale élue voici deux ans par Macron a pris tout le monde par surprise et ouvre une période de grande incertitude politique, tant par le fait qu’aucune majorité stable semble envisageable que parce que le cirque politicien « républicain », manœuvré par un magistère d’anti-France agite en sous-mains, discrètement, la « gauche » contre la « droite » sans que les idiots utiles de ce cirque s’en rendent compte. Après tout, Macron pouvait continuer son quinquennat en jouant de la balance entre la droite, principalement les Républicains, pour faire approuver des projets favorables à l’oligarchie dominante et contraires aux intérêts des classes moyennes et ouvrières (pour ce qu’il en reste) en matière sociale, et la gauche pour faire adopter des projets inspirés par le satanisme, tel l’euthanasie des vieux. Et même tabler sur leur quasi consensus, comme nous l’avons vu avec le vote quasi unanime de la constitutionnalisation de l’assassinat des enfants à naître en mars 2024. Et puis, il pouvait aussi continuer à jouer du 49-3 pour faire passer des budgets toujours plus déséquilibrés.
Quelle mouche l’a donc piqué ? Dans cette affaire, comme dans les autres, il faut se demander si, parmi ses mentors, l’un d’entre eux au moins qui a inspiré cette décision apparemment irrationnelle, et dans quel but. Notons entre autres que, la semaine précédant le 9 juin, Larry Fink, le patron de Blackrock était discrètement à Paris et nous savons que son couvert est mis à l’Elysée.
La première hypothèse, maintes fois développée, est de faire en sorte que les lepénistes marinistes, le RN, puissent arriver au pouvoir et se discréditer par leur incapacité à obtenir des résultats tangibles, et cela d’autant plus que l’oligarchie occidentale ne manquera pas de leur savonner la planche : Macron gardera des pouvoirs en matière de politique étrangère, notamment et pourra, à l’instar d’un Mitterrand, jeter des peaux de bananes, à la condition expresse qu’il en ait le talent car, si Mitterrand a été essentiellement calamiteux, il était un politicien madré. Il y a aussi la haute administration, un panier de crabes aux neurones éclissés, divisée entre ceux qui sont prêts à collaborer avec le RN, ceux qui le feront par opportunisme ou tout simplement par esprit de service, et les autres, les « gardiens » de leur République, drapés dans leur « vertu » qui joueront le jeu du refus de toute coopération. Il y a aussi la rue, gauchiste, aisément instrumentalisable et il semble que cela a déjà commencé.
Toutefois, sauf à obtenir une majorité absolue, le RN devra composer avec d’autres partis ou députés et là, les errements divers sont innombrables, principalement délétères.
Il peut aussi arriver, même si l’hypothèse n’est généralement pas retenue, que l’union de toutes les gauches l’emporte : la haute administration collaborera certainement mais les mesures démentes en matière d’écologie, en matière financière notamment, aggraveront l’existence de chacun d’entre nous et, si elle « veut faire payer les riches », comme aux plus belles heures de la mythologie de la lutte des classes à la sauce marxiste-léniniste, gageons que ce seront d’abord les classes moyennes qui en seront les seules victimes, comme d’ordinaire dans un tel cas de figure, et bien sûr l’ensemble de la société française.
Une deuxième hypothèse est que, en écartant les « extrêmes », pour reprendre la terminologie macroniste, les élections dessinent une majorité de marécage centriste dont les macronistes seraient la cheville ouvrière. En l’état de l’opinion publique, même bien manipulée, cela parait très hasardeux.
Cependant, observons le bourrage de crâne médiatique permanent relatif aux dangers que constituent les « extrêmes », Mélenchon et Le Pen étant mis dans la même charrette, avec toutefois un discours d’effroi cent fois plus développé contre le RN, lequel est pourtant devenu une coquille vide nationaliste à force de reniements successifs, et cela depuis le début des années 1980. Mais les discours jouant sur la peur semblent bien moins fonctionner aujourd’hui qu’en 2002, lorsque Jean-Marie Le Pen était arrivé au second tour de l’élection présidentielle. A trop emmener la cruche à l’eau, elle finit par casser.
Une troisième hypothèse est plus vicieuse, en ce sens que, misant sur un chaos politique avec l’installation d’un gouvernement que l’on rend incapable de gouverner – en supposant qu’il le soit – et cela dans le contexte des Jeux Olympiques que beaucoup pensent être un fiasco politique et sécuritaire, de détruire l’image de la France et de mettra à bas ce qui tient encore debout de « l’exception française » au sein d’un monde occidental à dominante et direction anglo-saxonne ; bref, « casser » durablement la France. Financièrement, il ne faudrait pas forcer beaucoup pour que la casse soit importante. Et, une telle casse de la France pourrait permettre de supprimer l’indépendance nucléaire de la France (un Macron par exemple piaffe d’impatience) et de faire disparaître cet atout majeur que constitue le fait que la France dispose du deuxième territoire maritime mondial, en commençant par le bradage de la Nouvelle Calédonie, sujet que nous ne pouvons aborder ici.
Tout cela peut aussi se terminer par la démission de Macron. Mais cela dépendra aussi des acteurs politiques en présence, selon qu’ils ont l’âme de véritables hommes d’Etat ou qu’ils ne soient que des politicards sans envergure. Car un président, ça peut être poussé à la démission : pensons à Millerand face au Cartel des gauches en 1924. Mais Macron, profitant d’émeutes soigneusement provoquées, de désordres de rue, peut aussi jouer de l’article 16 de la Constitution…
Un jeu politique pour dupes
Mais cessons là d’imaginer des scénarios, sachant que selon les enseignements de la téléologie, les effets et conséquences d’un événement provoqué sont généralement totalement différents voire contraires de ceux imaginés.
Remarquons toutefois cette réalité : tous ces partis dits d’extrême droite sont judéo-compatibles, maçonnico-compatibles, à quelques variantes près. Aucun d’entre eux n’est prêt à remettre en cause le magistère des Loges et du judaïsme politique dont le CRIF est l’expression la plus visible : rappelons que chaque année, c’est la bousculade pour participer à son très coûteux dîner annuel et que, pour certains, il s’agit d’une flétrissure inguérissable s’ils n’y sont pas invités, comme la Le Pen, parce qu’il faut bien que le théâtre politique régimiste ait ses bons et ses méchants. Par ailleurs, pour savoir ce que le RN sera capable de faire une fois au gouvernement, il suffit d’observer son comportement durant les deux dernières années au Palais Bourbon pour perdre toute illusion quant à une quelconque volonté de rupture avec la déliquescence nationale en cours.
Dans ce que les media régimistes appellent « l’extrême droite », il n’est que de remarquer qu’un Bardella se fait donner l’accolade par Meyer Habib, que Marine Le Pen se fait le défenseur zélé de l’Etat d’Israël et des crimes perpétrés par l’équipe Netanyahou à Gaza, tout comme un Ciotti et bien sûr un Zemmour, tandis que la nièce Le Pen dont le père Roger Auque était agent du Mossad et dont elle n’a pas renié l’engagement, n’est pas en reste. Et puis, lorsqu’un Klarsfeld annonce qu’il votera au second tour pour le RN, l’office est dit : c’est que les pierres angulaires de leur République ne sont pas menacées.
Quant au chaos annoncé par Macron et autres pythonisses de l’oligarchie régimiste, il est déjà là. Il ne lui reste plus qu’à se développer puisque personne, en dépit des discours n’est en mesure d’y remédier, pour la bonne et simple raison qu’aucun ne remet en cause, autrement que par des discours de plus en plus édulcorés d’ailleurs, le régime lui-même et ceux qui l’inspirent et qui sont la cause du mal qui ronge la France. Alors, sachons-le, prenons-en notre parti, la situation va s’aggraver ; la France va continuer à se dégrader et, d‘un point de vue personnel, en pratique, tout ce que nous devons faire c’est, autant que possible, nous protéger de cette dégradation.
La situation de la France a continué à se dégrader à l’instar de cet Occident sataniste dans la mesure où il est aux mains des sectes mondialistes qui s’abreuvent aux sources de l’anti christianisme et développent un projet d’anti civilisation fondé sur l’inversion de tout ce qui constitue l’ordre naturel du monde, l’ordre universel ; car le satanisme, au sens propre, n’est rien d‘autre que l’inversion et la dénaturation de toute chose.
La crise est déjà là et s’aggrave
Macron nous promet une crise économique ? Mais elle est déjà là. L’abaissement de la note financière de la France n’est que l’expression, tardive et indulgente en regard de la situation réelle de l’économie française, du chaos qui s’installe depuis plusieurs décennies : rappelons qu’aucun budget de l’Etat n’a été en équilibre depuis 1974, aliénation de notre souveraineté monétaire auprès des banques aidant, cela, avec la loi de 1973 et plus encore le traité de Maastricht de 1992. Et si une crise économique aggravée devait se produire, sachons qu’elle n’est pas due à l’arrivée de tel ou tel parti au pouvoir, mais parce que le système financier et bancaire a décidé de restreindre les émissions de crédit, tout simplement. Et cela, pour des motifs moins techniques que politiques visant à domestique tel ou tel Etat. Rappelons que la crise commencée en octobre 1929 a été décidée en mars 1929, dans des bureaux feutres de New York, entre banquiers influents, en utilisant le contexte réel, effectif d’un emballement malsain de l’activité financière. Qu’elle ait dégénéré hors de contrôle est une autre chose : il y a là encore une illustration de la téléologie.
Présentement, il faut observer les mouvements de capitaux, les notes de Moody’s s’inquiétant des risques financiers de l’arrivée du RN à Matignon, risques évidemment provoqués, de ce que la BCE est récemment intervenue (semaine du 10 juin) pour éviter que le « spread », c’est-à-dire l’écart entre les taux allemands et français n’augmente trop etc. Une fois de plus, ne soyons pas dupes. Et craignons plutôt que les quelques économies que chacun possède soient vite anéanties, spoliées. L’expérimentation qu’a été la spoliation des comptes bancaires à Chypre en 2011 conjuguées à cette répétition générale qu’a été l’emprisonnement général de la période covidienne décrété sans que personne ne bronche, peut laisser espérer à l’oligarchie occidentale qu’elle pourra pressurer les peuples assez durement sans qu’ils bougent.
Plus fondamentalement, le monde occidental est l’homme malade de la planète. Le tableau est simple à dresser : cet Occident à magistère mondialiste est en crise spirituelle et morale, communiant dans le satanisme, comme expliqué précédemment ; en déclin démographique et en situation d’invasion migratoire organisée et couplée à un génocide ethnique dument organisé ; économiquement vidé de sa substance en ce sens qu’il produit de moins en moins les biens qu’il consomme en pensant que les activités financières de tous ordres suffisent à créer de la richesse – comme si l’on peut se nourrir de contrats d’assurance ou de titres financiers ; il privilégie l’esprit de jouissance à l’esprit d’effort, souffrant d’un système d’instruction et de formation de plus en plus dégradé – par intention parce que des gens incultes se laissent plus facilement manipuler que des gens instruits – mais aussi parce que le sens de l’effort n’est plus valorisé alors qu’une certaine forme d’épuisement atteint une société sans autre objectif que le court terme consumériste.
Le phénomène est aggravé par la montée en puissance des autres Etats de la planète, organisés autour des BRICS, lesquels, même s’ils ne constituent pas un bloc uni, croient en leur destin, ne renient pas leur être millénaire, ne veulent plus subir l’arrogance occidentale, son satanisme, et cela d’autant plus qu’ils montent en puissance économiquement, évolution normale des choses mais encore plus visible avec cet occident malade.
Or, loin d’en prendre la mesure et, par pragmatisme, lucidité, en tenir compte dans sa politique, les Occidentaux, sous l’impulsion des Etats Unis, n’acceptent pas cet état des choses. Plus encore, ils veulent empêcher cette évolution. Les Etats Unis, qui jusqu’alors, et surtout depuis 1991, dominaient sans partage le monde, bénéficiant du privilège du dollar, monnaie internationale, voient ce privilège du dollar menacé un peu plus chaque jour : la Chine se débarrasse de ses bons du Trésor américain, l’Arabie séoudite n’a pas renouvelé l’adossement des paiements en dollar du pétrole comme cela se faisait depuis 1974, entre autres faits récents majeurs.
Bruits de bottes toujours plus forts
Et, plutôt que de s’adapter pour mieux rebondir après avoir réalisé un effort de redressement spirituel et économique intérieur, la réponse est de vouloir s’attaquer à ceux qui contestent un pouvoir qu’ils estiment leur revenir exclusivement par don divin pour dominer la planète, laissant voir ici l’inquiétante filiation, d’un christianisme protestant, nourri d‘Ancien testament, lequel rejoint ici l’exclusivisme talmudique bien connu avec ce que cela comporte d’arrogance et d’esprit de domination. Cet état d’esprit a pour conséquence de conduire le monde au bord d’une guerre mondiale. Or, lorsque l’on joue avec des allumettes, on finit toujours par se brûler.
Justement, il faut observer l’inquiétante escalade des Occidentaux en Ukraine, dont les têtes – que l’on a de la peine à qualifier de pensantes car ce sont de véritables psychopathes et des dangers planétaires – ne cessent de provoquer la Russie, de la pousser dans ses retranchements et « à la faute », en ce sens que c’est celui qui tire le premier pour se défendre d’une agression qui est présenté comme l’agresseur. Cela prépare non seulement un conflit majeur à venir – le président serbe Aleksandar Vučić, certainement bien informé, craint le déclenchement d’une guerre générale d’ici trois à quatre mois – mais plus encore l’effondrement de l’Europe qui travaille d’ailleurs elle-même activement à sa perte… mais espérons-le, pour mieux renaître une fois la vermine nettoyée.
Former une élite nationaliste
Alors, que faire ? Dans le système de démocratie inorganique dans lequel nous vivons, que nous subissons et qui est le régime tutélaire de notre abaissement, c’est celui qui détient les moyens d’information qui forme et faonne l’opinion publique, la manipule. C’est ce que nous vivons actuellement. Même si une frange croissante de la population comprend qu’il ne faut avoir aucune confiance dans ces média, qu’une infime minorité se pose la question pourtant fondamentale de savoir pourquoi, tel personne, même mal pensant au regard du régime, bénéficie de quelque promotion, décryptant ainsi une inévitable manipulation, l’immense masse des gens est anesthésiée, formatée. Elle continue de penser que les dirigeants nominaux du pays veulent leur bien alors qu’en réalité, ils sont leurs ennemis jurés. Répétons-le : à défaut d’avoir l’envie, le temps pour analyser les événements, un réflexe salutaire est de se dire que tout ce que le régime nous annonce comme bon pour nous est en réalité un poison.
Il faut donc s’emparer de l’outil médiatique pour orienter les esprits, les opinions dans le sens que nous voulons. Facile à dire ; difficile à réaliser ; nous l’expérimentons sans cesse.
Car il y a ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. Il y a ce sur quoi nous pouvons agir, en fonction de nos moyens, que nous devons naturellement nous efforcer d’accroitre sans cesse ; et ce sur quoi nous ne pouvons rien.
Dans les présentes élections, sauf situation ponctuelle, nous sommes inaudibles. Les élections européennes – et il fallait y participer dans la mesure où elles ont constitué un moyen de nous faire connaître à moindres frais – ont montré (si nous l’avions oublié !) que sans moyens médiatiques le succès en nombre n’est pas là.
Il faut donc recruter, former, organiser ce qui existe et se met ne place grâce à nos efforts. Il existe un vivier de base, de l’ordre de 6 à 7000 personnes, si l’on en juge par les résultats obtenus par la liste Forteresse Europe excellemment conduite par Pierre-Marie Bonneau. Et, comme il l‘a dit lui-même, il faut travailler à partir des résultats obtenus territorialement. Mais le fond du travail est la bataille du savoir, la bataille culturelle ; et cela passe par la formation des jeunes générations. Le problème est d’autant plus crucial que, plus le temps passe, moins les jeunes générations sont cultivées, cela participant de la dégradation générale de l’enseignement. Certes, nous trouverons des individualités faisant exception en ce domaine. Mais elles ne sont pas ne nombre suffisant ; elles ne « font pas masse critique ».
Former des esprits ancrés dans la tradition, instruits selon les principes du réalisme aristotélicien, refusant tout compromis en matière d’idées, exclure les tièdes, tel doit être l’objectif.
Nous avons besoin d’un socle de cadres à partir desquels il sera possible d’essaimer. Mais s’il faut des cadres hommes d’action, il faut aussi susciter des penseurs capables de créer un foyer intellectuel qui, inévitablement, à un moment donné, s’embrasera et embrasera les autres, par effet de proximité. Car lorsqu’une crise grave se développe, les éléments qui se décident à agir politiquement se révèlent inévitablement. Mais pour cela, il faut que préexistent des catalyseurs.
Pour le moment, la situation en France n’est pas assez dégradée pour que percent dans le public nos idéaux, notre doctrine nationaliste qui peut se résumer à la volonté de mener une politique conforme aux intérêts de la France dans la continuité de son être forgé au cours de au moins 1500 ans d’histoire. L’omerta, les dénigrements médiatiques orchestrés à dessein par l’oligarchie régimiste qui craint notre développement, jouent leur rôle mais la situation générale a le sien. Le changement de nature révolutionnaire que nécessite le rétablissement de la France dans l’intégralité de sa personne ne peut certes se produire qu’à partir d’une minorité inaccessible au découragement, mais aussi en rencontrant une partie significative du peuple qui veut ce rétablissement. L’adage selon lequel les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent signifie que, pour qu’un pouvoir s’installe durablement et réussisse, il faut qu’il soit « voulu » part le peuple. A nous d’œuvrer à ce que les français nous veulent. Généralement, seuls des électrochocs événementiels créent les conditions d’une telle rencontre et du redressement voulu.
Or dans le contexte français, européen et mondial, les potentialités d’électrochocs s’accumulent, tant parce que l’Occident judéo maçonnique sombre, que parce que son oligarchie est tenue par des personne atteintes objectivement de démence : vouloir l’escalade contre la Russie envers et contre tout en est un signe inquiétant.
Nous ne disposons peut-être que de peu de temps pour nous mettre en état de marche. Et, pour ligne de conduite, référons-nous à Jeanne d’Arc : « combattons et Dieu donnera la victoire ». Rien ne se fera, quelles que soient les conditions favorables qui pourront se présenter, si d’abord un nombre croissant de personnes retroussent les manches et prennent inévitablement des risques.
CHAOS / Juju la drayfonce qui parade dans les réunions mondaines avec sa montre bracelet à 35.000 euros avait été pris la main dans le pot de con,fiture avec sa copine du bureau de SOS Rapine et l’argent des subventions de la Mite-errante disparaissait dans leurs poches : il s’en était suivi une mise en examen bidon et un non-lieu en guise de Grand Pardon car les allogènes garnissaient leurs tirelires et voila que Juju, si on décripte ses grossiers commentaires lance un appel au meurtre de ses anciens potes, avouez qu’il a des motifs pour ça puisque des vieux sauvageons forcément « antisémites » de 11 et 12 ans violent une gamine juive de 12 ans, il faut admettre que ce crime vaut bien une ratonnade du Bétar sur les ouvriers à la chaîne maghrébins des usines Renault ce qui fera oubier la mort des 12.000 fillettes palestiniennes traitées au phosphore blanc en un semestre, une pécadille en quelque sorte et en plus un bonus : elles n’enfanteront pas de futurs terroristes ! D’habitude on a droit à un attentat juste avant les élections mais là l’appel au vote surprise décidé par Macaron est trop rapide pour une conspiration élaborée alors on continue à surfer sur l’antisémitisme héréditaire des gaulois malgré une propagande « mémorielle » permanente suivie de la perte de nos libertés d’expression, il ne faut pas oublier que « nous sommes en guerre » d’après Jupiter qui arme le régime de Kiev et donne des milliards au clown judéo-nazi Zelensky pendant que 10 millions de français sont en dessous du seuil de pauvreté !! A l’Elysée on adoube une Marine nationale sioniste et franc-maçonne ! La troisième guerre mondiale la vraie devrait arriver en complément du Covid-Circus pour que ceux de la dernière soient pas morts pour rien et pour continuer le programme « Guidestone » des Illuminati …
excellent synthèse.
Excellente analyse. Ma seule divergence est qu’il me paraît illusoire de vouloir s’emparer de l’outil médiatique, et la conséquence est qu’il est tout aussi illusoire d’espérer ramener une partie importante du peuple dans le « droit chemin ».
Je pense que les temps chaotiques annoncés dans le titre de l’article vont profondément affecter la France, qui pourrait être touchée par la guerre, des destructions massives et une réduction de population. L’essentiel sera selon moi de garder un pouvoir de réensemencement du peuple français, une fois passé l’orage dévastateur qui s’annonce.
L’enjeu du moment est donc d’abriter de l’orage ce qu’il reste de sain dans la population du pays, en promouvant une action de terrain à partir du « vivier de base », qui ne se limite pas selon moi aux suffrages exprimés sur la liste de Pierre-Marie Bonneau. La tentation sera grande pour certains de se mêler aux combats d’une éventuelle guerre civile. Je crois au contraire qu’il faudra s’en éloigner.
Pour réensemencer, le moment venu, il faudra disposer d’un ferment sain et vivace. Ce ferment doit être nourri aux sources de la tradition, comme mentionné dans l’article, et de la foi, car aucune victoire ne peut être acquise par le seul combat, mais bien par l’agrément de Dieu. La référence à Jeanne d’Arc est certes posée à la fin du texte, mais le caractère primordial de la foi demanderait selon moi un accent plus explicite encore.
Les évènements politiques en cours semblent marquer le début des grandes turbulences. À chacun de se tenir prêt. Qui se ressemble s’assemble, dit le proverbe. Que ce soit pour le Bien, et la victoire viendra.
Cette synthèse très réaliste s’inscrit dans le droit fil du « Que faire » d’Yvan Benedetti.
Il faut espérer qu’elle reste prioritairement accessible sur ce site le plus longtemps possible !
Si nombre de textes méritent à peine d’être parcourus en diagonale, comme on lit un roman de gare, d’autres doivent être lus et relus à la vitesse à laquelle ils ont été écrits, et avec les mêmes temps de réflexion permettant d’en tirer tout le bénéfice.
Respect à l’auteur pour les réponses qu’il laisse entrevoir, mais aussi pour les questions qu’il suggère.
Il est des textes qui ouvrent l’esprit à la réflexion.
UNE SEULE PISTE, MAIS DESTINEE A DE RARES INITIES : FAYARD, 1er JANVIER 1974, AUTEUR CHRISTIAN COFFINET. Et éviter tout commentaire !
Plus terrifiant qu’une guerre prochaine , c’est la possible entrée de la MOLDAVIE dand l’UE !
.Il nous faudra boire le calice jusqu’à la lie avant le dénouement final et peut étre un sursaut survivaliste ?
Jeanne d’Arc ne nous sera d’aucun secours ,pas plus que le petit Jésus qui a déjà assez de boulot comme ça en allant accueillir tous les morts de chagrin de France . »Aide Toi et le ciel t’aidera ! » Reste à savoir ce qu’on entend par « Le ciel » …
Très bonne analyse pertinente à tout point de vue. Une minorité inaccessible au découragement, agissante & réfléchie, c’est ce que nous sommes. Espoir & Salut de la France
Ce n’est pas la dissolution qui ouvre le chaos.
C’est le chaos qui entraîne la dissolution.
On cherche des causes extérieures à l’effondrement actuel : « les Américains », la finance, la Subversion rouge, Satan, et autres.
Mais les causes premières, préparatoires, le terrain, sont intrinsèques, et ont plusieurs siècles d’existence :
– tyrannie croissante de l’Etat central,
– sa confiscation par les milieux dirigeants,
– confusion des coyoyens (d’où qu’ils viennent) et du peuple (ethnos) sous le nom fallacieux de « Nation »,
– alignement total sur la ville Centre du pouvoir,
– minoration du peuple suivant cette conception par cercles concentriques,
– domestication de la population par l’Etat,
– massification de la société,
– destruction des communautés,
– intellectualisme sans frein,
– mépris implicite ou exprimé pour le peuple des campagnes,
– idéologie universaliste, active sous tous les régimes.
Tous ces traits existent ailleurs aussi, mais en France ils sont plus marqués et constants.
En bout de course, ces déterminations se paient.