L’Union européenne (UE) a annoncé le versement de 234 millions d’euros au régime criminel de
Robert Mugabe au Zimbabwe. Le dictateur africain a mis en place durant des années une véritable politique génocidaire à l’égard des Blancs. En seulement cinq années, entre 2000 et 2005, 90 % des fermiers blancs ont été assassinés ou ont dû quitter le pays. Son parti avait d’ailleurs proclamé : « Tous les Blancs dehors avant 2005 ». Le dictateur a lui-même multiplié les annonces en ce sens :
« Notre parti doit continuer de faire entrer la peur dans le cœur de l’homme blanc, notre véritable ennemi »
« Le seul homme blanc que vous pouvez croire est l’homme blanc mort »
« L’homme blanc est ici comme le second citoyen : vous êtes en numéro un. Il est numéro deux ou trois. C’est ce qui doit être enseigné à nos enfants. »
Voilà à quel gouvernement l’UE va donner 234 millions d’euros volés aux Blancs d’Europe qui doivent déjà supporter sur leur propre sol le racisme antiblanc.
La politique raciste antiblanche avait conduit le Zimbabwe au chaos et à la famine. Ce sont donc désormais les Européens qui financeront les services publics dans ce pays qui déteste les Blancs, mais qui accepte volontiers leur argent. C’est d’ailleurs principalement au secteur de l’agriculture et de la santé, où les Blancs avaient réussi à faire du Zimbabwe un pays performant, que ces 234 millions seront dilapidés.
Depuis plusieurs mois, l’UE a multiplié les gestes envers la dictature, notamment en levant en 2013 l’embargo pesant sur la Zimbabwe Mining Development Corporation (ZMDC) qui commercialise les diamants trouvés dans le pays et permet ainsi au régime criminel de se maintenir, et à la mafia transnationale de s’enrichir sur le dos d’ouvriers exploités. En février dernier, l’UE a autorité les visas et procédé au dégel des actifs de huit criminels proches de Robert Mugabe et d’une entreprise complice.
Entre 2002 et 2014, alors que le pays était censé être isolé, les Européens, par l’UE et les différents pays européens, ont été rackettés à hauteur de 1,5 milliard d’euros pour financer le régime criminel de Robert Mugabe.