D’Oussama Ben Laden aux escroqueries massives de la mafia juive
Dire que l’information a été peu commentée serait un modèle d’euphémisme. C’était en 2010 : lors d’une mission pour rechercher Oussam Ben Laden, des soldats de l’OTAN investissent un refuge utilisé par des talibans. Dans cette cache, les militaires découvrent des documents, parmi lesquels d’une pile de factures.
Transmises aux services concernés en Europe, elles arrivent jusqu’à la justice italienne qui a mis à jour un nouveau pan de l’escroquerie à la TVA, la spécialité de la mafia juive qui a volé aux Européens par ce biais plusieurs dizaines de milliards de francs. Dans cette seule affaire, l’Italie a perdu l’équivalent de 7,5 milliards de francs. Le principe est toujours le même : des sociétés domiciliées en Italie et dirigées depuis l’étranger achetaient des « droits de polluer » sur le marché du carbone mis en place par l’Union européenne (UE). S’agissant d’une transaction intereuropéenne, ils ne payaient pas la TVA ; ils revendaient ensuite ces « droits » à des sociétés complices, avec la TVA, et ces dernières les remettaient dans le circuit économique. Ils empochaient entre-temps les 20 % de TVA qui n’étaient jamais reversés aux États, ici l’Italie. Les sociétés disparaissaient ensuite et l’argent partait sur des comptes dans les paradis fiscaux, à Hong Kong, à Dubaï, à Chypre, dans les Émirats arabes unis.
Le mécanisme est bien connu depuis plusieurs années et plusieurs affaires similaires ont été découvertes. Plusieurs membres de la mafia juive ont été identifiés et sont recherchés ; la plupart sont actuellement réfugiés en Israël où ils coulent des jours heureux avec l’argent volé en Europe.
Cette affaire italienne sort un peu du cadre habituel : outre la mafia juive et les criminels franco (sic)-israéliens identifiés, la justice italienne s’intéresse à des Pakistanais à papiers britanniques. L’argent volé aux Européens aurait non seulement été recyclé dans l’économie traditionnelle, notamment l’industrie du luxe – les diamants bien entendu, l’un des principaux marchés aux mains de la mafia juive qui sert à blanchir des milliards au vu et au su des États européens et nord-américains qui laissent faire – ou dans l’immobilier, mais aurait de surcroît, comme l’ont signalé les services secrets américains et britanniques, financé le terrorisme islamique.
À partir d’Imran Yakub Ahmed, un Pakistanais identifié en Grande-Bretagne, trente-huit personnes ont été inculpées et environ 530 millions d’euros ont pu être bloqués – à peine un quinzième du préjudice total.
Source originale : Luigi Ferrarella, Giuseppe Guastella, « La grande truffa dell’Iva in Italia per finanziare i gruppi islamici », Corriere della Sera, 24 septembre 2014.
Il suffit de voir ce qu’il traîne au gouvernement, cela donne un aperçu