Des sites islamistes ont révélé que deux islamistes venus de France ont commis des attentats suicides à Haditha dans le nord-ouest de l’Irak (province d’el-Anbar). Les tueurs ont visé des casernes de combattants autochtones sunnites et de miliciens chiites venus au secours de leurs compatriotes pour sauver ce qui peut l’être de l’Irak, attaqué hier par les États-Unis et par Israël, aujourd’hui par les islamistes. Selon ces derniers, le double attentat suicide a fait de nombreuses victimes.
La date à laquelle auraient été perpétrés ces crimes n’a pas été précisée. Les auteurs sont Kévin, un Toulousain inverti à l’islam sous le nom d’Abou Maryam al-Firansi, et un individu identifié comme Abou Abdoul Aziz el-Faransi.
Le premier est célèbre pour avoir été mis en scène par ses maîtres dans une vidéo de propagande de l’État islamique (ÉI) à destination du public francophone. Les images montraient les islamistes brûlant leurs passeports français, appelant les étrangers musulmans en France à les rejoindre en Syrie ou à commettre des crimes sur le sol européen. Intervenant lui-même, Kévin menaçait les Français moyens, y compris ses frères et parents donc, de les terroriser pour le seul fait d’aller… faire leurs courses.
Rien ne pourra effacer la responsabilité personnelle de Kévin dans le crime terrible qu’il a commis et d’avoir trahi son peuple et sa terre.
Pourtant, c’est bien le régime d’occupation en France qui est le premier coupable de cette situation. C’est par sa propagande quotidienne contre les Français, c’est par ses mensonges continus sur l’histoire de France, c’est par ses scènes odieuses de repentances accordées aux pires ennemis des Français que le régime conduit de jeunes Français à se renier et à s’invertir. C’est par son nihilisme que leur République est coupable, incapable d’offrir à la jeunesse de France autre chose qu’un avenir de consommateur sans but dans une société déracinée, sans valeur, sans foi, sans ordre, sans identité.
Le parcours de Kévin est tristement exemplaire de ces Français corrompus par la République. En propageant le racisme antiblanc, la haine de soi des Européens, le système transforme les jeunes Blancs en proies pour les recruteurs islamistes, et les plus faibles succombent facilement. Abandonné par le régime dans un quartier envahi aux mains des mafias étrangères, Kévin est tombé dans la délinquance, perverti d’abord par cette drogue que le gouvernement a laissé se répandre dans la jeunesse de France via l’invasion. Avec cela, il est confronté aux conséquences société agonisante du monde moderne : après le divorce de ses parents, il est placé en foyer, séparé de ses frères, changeant fréquemment de famille d’accueil.
« J’ai grandi sans repères. Pendant longtemps, j’ai cherché qui j’étais »,
avait-il confié l’année de son départ. Il erre dans les cités du Miral et de Bourbaki, parmi les plus envahies de Toulouse. Grâce à la République, il peut se droguer toute la journée. Il ne se gêne pas et il est « défoncé » en permanence comme en témoignent des colons qui l’ont connu. Avec la drogue, le rap et tout ce que cette sous-culture made in USA implique, la violence, la haine, la bassesse, la criminalité, l’exaltation des instincts les plus vils, il est tout ce dont le gouvernement rêve pour la jeunesse de France, avec un parcours qui s’achève parfaitement par une mort inutile à l’autre bout du monde.
Son inversion à l’islam – survenue après qu’un islamiste lui eut prêté un livre pour enfant et s’étant renseigné sur internet avant de rallier la mosquée Basso-Cambo, repère des terroristes autorisé par leur République et que fréquentait notamment son ami Mohamed Merah – n’a rien changé à son esprit de racaille : c’est d’ailleurs pour fuir un règlement de comptes qu’il a rejoint la Syrie en mai 2013. Entre trafics de drogue et vols, ses besoins d’argent l’ont en effet conduit, peu avant son départ, à cambrioler la maison d’un gros pourvoyeur de drogues de Toulouse. Identifié par sa « victime », il est enlevé, séquestré et violemment battu. Le lendemain, il s’enfuit vers la Syrie pour Allah… et surtout pour sauver sa peau.
Sur place, il commettra divers crimes, allant jusqu’à se filmer en train d’égorger un homme, pour finir par se faire exploser dans un pays inconnu de lui, au milieu d’hommes auquel il n’avait rien à reprocher sinon ce que ses maîtres lui avaient dit. S’il a rejoint l’enfer promis aux criminels, il laisse derrière lui trois femmes et au moins deux enfants.
« Je mène la même vie que toi, sauf que moi, j’ai une kalachnikov en bandoulière »,
avait avoué le nihiliste à son frère il y a quelques mois, témoignant de l’échec de son inversion.
Après la France et la Syrie, c’est l’Irak qui subit les assauts des islamistes. Ce n’est pas le premier massacre commis par des criminels étrangers à Haditha. Le 19 novembre 2005, des soldats américains du 3e bataillon de la 1re division des Marines avaient massacré au moins 15 civils, femmes et enfants compris, en « représailles » à l’explosion d’une mine dans le secteur.
Faudrait-il que l’on s’appitoie ?
Voudriez-vous que l’on se cotise pour lui ériger un monument ?
Que Hollande lui delivre la légion d’honneur à titre posthume ?
Que ses enfants soit déclarés comme Pupilles de la Nation ?
Que sa veuve touche une pension ?
On s’en bat les c……,et qu’il aille en enfer.