Il y a un mois, Gerd Ittner était libéré après trois ans et demi passés dans les geôles de la dictature allemande. Ce militant nationaliste, adhérent de l’Union populaire allemande (Deutsche Volksunion, DVU) puis du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD, Nationaldemokratische Partei Deutschlands) et toujours proche aujourd’hui des nationalistes sincères d’Allemagne, défend depuis de nombreuses années les idées révisionnistes. Il est assuré que la délivrance de l’Europe et des maux qui la minent, de l’invasion au libéralisme, de la dictature financière à une jeunesse droguée et sans idéal, passe par la destruction des mensonges qui ont fait tant de mal à l’Europe depuis 1945, et singulièrement à l’Allemagne.
Son courageux engagement lui a valu une lourde condamnation en 2004 après plusieurs mois de persécutions. Il avait alors pris le chemin de l’exil. Traqué par les forces « démocrates », il avait été arrêté au Portugal en 2012. Déporté vers l’Allemagne, Gerd Ittner a été emprisonné durant trois ans et demi ; il n’a été libéré qu’en octobre dernier.
À l’issue de la 27e audience de son dernier procès devant le tribunal de grande instance de Nüremberg-Fürth, le nationaliste a écopé de 18 mois de prison supplémentaires. Le procureur de la dictature juive avait requis 30 mois.
« On ne se rend pas. Le combat continue ! »,
a écrit après cette condamnation Gerd Ittner.
« La répression ne nous fera pas reculer – en avant, comme toujours, pour la liberté d’opinion et la vérité ! Le mensonge qui asphyxie le monde doit tomber ! »,
a-t-il précisé dans un communiqué.