Peu après la victoire de 27 fermiers blancs en Afrique du Sud lors d’un procès, les incidents se sont multipliés dans la région de Gamalakhe (sur la côte, dans le sud-est). Les agriculteurs et leurs familles ont commencé par recevoir des menaces de mort puis ont subi des intrusions sur leurs terres. Les squatteurs ont été de plus en plus nombreux. Les plaintes déposées à la police locale n’ont donné aucun résultat.
Le 14 juin 2014, une importante foule de Noirs est arrivée en bus de la ville, accompagnés par des membres du SAPS (South African Police Service), la police sud-africaine. La « manifestation » des extrémistes s’est achevée par l’incendie et la destruction de trois fermes, bâtiments d’habitation comme hangars de stockage, sous le regard impassible des policiers. Malgré les appels des fermiers attaqués, ils ont laissé faire les émeutiers.
Les Afrikaners souhaitent déposer plainte contre la police. Mais s’ils venaient à le faire, ce serait l’officier Robert McBride qui mènerait l’enquête. Ce terroriste communiste avait tué 3 femmes blanches dans un restaurant dans une série d’attentats, commis justement le 14 juin 1986 à Durban, blessant également plus de 300 personnes, certaines très grièvement.
Cet acte fut si odieux, que même Desmond Tutu le qualifia de « crime contre l’humanité ». Malgré cela, le condamné à mort fut finalement non seulement gracié, relâché, mais il a pu rentrer comme officier dans la police. Ce cadre du Congrès national africain (ANC, African National Congress, le parti terroriste de Nelson Mandela) dirige maintenant la Direction d’enquête indépendante de la police (IPID, Independent Police Investigative Directorate), l’organisme chargé des enquêtes internes à la police.
Les Sud-Africains blancs sont désormais confrontés à de nouvelles «lois » sur les droits de la propriété, qui autorisent les « responsables locaux de l’ANC » à confisquer les biens privés (terrains agricoles, maisons, comptes bancaires, etc.) s’ils jugent cela « nécessaire pour le bien de l’État ».
L’Afrique du Sud suit le chemin du Zimbabwe où le racisme institutionnalisé contre les Blancs a conduit le pays à la ruine et à un nettoyage ethnique qui s’est déroulé dans le plus grand silence médiatique. Dans cette région, quatorze fermiers blancs ont été assassinés en 2012 et 2013. Interrogé sur ces crimes, Sandy La Marque – une blanche –, qui dirige l’Union agricole du Kwazulu-Natal a déclaré :
« Il n’apparaît pas [que les meurtres] soient directement lié à des motivations raciales, territoriales ou politiques ».
Bien entendu, cela ne dérange aucunement nos associations antiracistes européennes.
Normal. Anti-raciste est un nom de code pour anti-blanc.
En ayant préférer appliquer une ségrégation raciale entre quartiers, et non un Apartheid au niveau du pays, les Blancs ont dans un premier temps profité d’une main d’œuvre de proximité, corvéable et bon marché, mais ont finalement creusé leur propre tombe. Avec en toile de fond ces parasites juifs cachés derrière de fausses idées humanistes qui ont eu tout loisir de les exproprier avant de les chasser. Où es-tu Hendrik Verwoerd pour voir les résultats de l’embourgeoisement de tes frères?