Bulgarie : les autorités taisent les crimes des envahisseurs pour ne pas enflammer les tensions ethniques
Le 13 octobre dernier un envahisseur pakistanais a violé une jeune fille dans le centre-ville de la capitale bulgare, Sofia. La jeune étudiante a été attaquée par un Pakistanais, qui était accompagné d’un compatriote. L’individu lui a mordu les lèvres et a tenté de la violer. Ayant pu s’enfuir, les vêtements déchirés, elle a immédiatement déposé plainte. La description de son agresseur a permis de l’interpeller dans une des casernes de la ville reconvertie en centre d’accueil pour envahisseurs. Le Pakistanais, drogué, a avoué avoir agressé l’étudiante.
Les suites données à ce crime ne sont pas connues, les autorités n’ont pas précisé si l’envahisseur sera jugé et/ou expulsé… Mais à cette occasion, les médiats citant des sources dans la police criminelle révèlent que tous les crimes et délits commis par les pseudos « réfugiés » ne sont pas portés à la connaissance du public afin de ne pas créer un soulèvement, une vague de ressentiment contre les envahisseurs. Ainsi une bonne douzaine de crimes identiques, commis chaque semaine à Sofia, sont passés sous silence afin de ne pas enflammer les tensions ethniques selon les consignes données à la police. Selon les médiats et les sources dans la police, l’ordre viendrait directement de la ministre de l’Intérieur, Roumiana Bacharova, du gouvernement tenu par le GERB, parti conservateur (équivalent « Les républicains »).