À Davos, dans la petite station de ski de Suisse, la soi-disant élite mondiale de la politique et des affaires se réunie pour le forum annuel convoquée par Klaus Schwab. Ce sera une semaine pleine de débats formels et informels, au cours desquels les « philanthropes » milliardaires définiront les principales orientations pour les politiciens sous leurs ordres.
Naturel jusqu’à un certain point, l’étroit partenariat public-privé devient carrément criminel lorsque les grandes entreprises imposent leur point de vue en cas de pandémie ou de guerre. Big Pharma, l’industrie de l’armement, ignorent brutalement les intérêts des citoyens ordinaires, dans le seul but de maximiser le profit. Et peut-être remplir les objectifs de la Grande Réinitialisation.
Dans ce contexte, les politiciens deviennent de simples marionnettes, souvent indécemment cupides puisqu’ils recourent également à des actes de corruption pour compléter leurs modestes revenus, de plus de 30 000 euros par mois.
De retour à Davos, il convient de souligner que la présidente Maia Sandu participera également à la réunion qui a débuté aujourd’hui, en tant que représentante de la République de Moldavie (et de l’empire Soros). De la longue liste des 2 500 participants, Olaf Scholz et Ursula von der Leyen se démarquent, le chancelier allemand étant le seul dirigeant du G7 présent. Le directeur de l’OMS et le secrétaire général de l’ONU sont déjà à Davos.
Tenue sous le slogan « Coopération dans un monde fragmenté », la réunion se déroule sans aucun représentant de la Russie. Parmi les pays non hostiles au Kremlin, il convient de noter que le Brésil a envoyé cinq délégués (deux ministres et trois gouverneurs), la Hongrie a son ministre des Affaires étrangères et l’Inde est venue avec pas moins de 11 hommes politiques, dont beaucoup de ministres dans le gouvernement de à New Delhi.
Les Iraniens ont dit PAS cette fois (alors que l’Irak vient avec quatre délégués, dont le président du pays), la Chine a quatre représentants à Davos (le plus important, un vice-ministre des Finances et le gouverneur de la Banque centrale), les Nord-Coréens ne sont pas présents, et l’Afrique du Sud compte sept délégués, dirigés par le président. A noter que la Turquie n’a envoyé qu’un seul homme, le chef du parti DEVA.
D’autres nombreuses délégations, d’au moins dix hommes politiques, viennent des USA (sans noms importants), de l’Union européenne, de l’Allemagne et des organisations sous les auspices de l’ONU. Bien sûr, les Ukrainiens ne manquent pas : le Premier ministre, le maire de Kyiv et le vice-Premier ministre du gouvernement Zelensky. Côté roumain, on retrouve le même Bogdan Aurescu (ministre des Affaires étrangères), également présent à l’édition 2022. En figurant, bien sûr.
Les citoyens ordinaires qui restent à l’écart et regardent le spectacle se demandent à juste titre où va-t-on. Où mènera la dictature des entreprises ? Est-elle moins « meurtrière » que la dictature de ceux qu’ils désignent comme « autocrates » tels que Orban, Erdogan ou Poutine ? Les mondialistes de Davos réussiront-ils à mettre en place le gouvernement mondial tant rêvé ? À quoi cela ressemblera-t-il sans la Russie, la Chine et l’Inde ?
Peut-être que le monde fragmenté qu’évoque Schwab n’est qu’une étape. Après tout, le projet remonte à des siècles, donc 20-30-40 ans de plus ne seraient pas une véritable catastrophe. Les générations d’hommes politiques changeant (y compris en Russie et en Chine), la bande de Schwab n’a plus qu’à attendre le moment optimal pour conquérir les derniers bastions.
Mais Davos, ce n’est pas que l’air pur des montagnes et ce club d’aspirants à remodeler le monde, la géopolitique et l’économie entre gros messieurs voyageant en jets privés et applaudissant des conférenciers. Il y a pour eux un temps réservé à la détente et on s’y laisse aller aussi à d’autres « activités ». Pas plus ragoutantes…
Ces puissants, dont la Suisse assure la sécurité en mobilisant plus de 5 000 hommes de ses forces armées, ont droit au « repos du combattant ». La prostitution de luxe y sévit et y tourne à plein régime ! Des agences suisse prennent même leurs quartiers à Davos pour pouvoir satisfaire ceux qui réclament une galante compagnie.
Ceci en collaboration avec les hôtels. Un « patron » d’une de ces agences zurichoises expliquait il y a quelques années que « en règle générale, le client commande les services souhaités directement à la réception de l’hôtel qui contacte alors l’agence. Et le paiement s’effectue via la facture de l’hôtel, ceci en toute discrétion. Il faut alors 2 à 3 heures de préparation pour les filles et les garçons de l’agence afin de répondre au plus près aux besoins du client ».
Les agences « d’escort » recommande même à leurs clients de « réserver » bien à l’avance pour s’assurer « les meilleurs soins et compagnie possibles » (agence d’escortes « Sensuallounge ») pendant le Forum. Certaines agences de prostitution de luxe ont même mis en place des sites Web dédiés. Et bien sûr, avec « toutes les orientations sexuelles » en catalogue et une « fine sélection de dames et messieurs ». Jusqu’où le choix est-il proposé ?
C’est l’occasion aussi d’apprendre qu’outre la prostitution massive, les femmes participantes accréditées, comme les hôtesses, ont été mis en garde contre le « harcèlement sexuel », pratique courante, paraît-il… Et un journal comme The Times pouvait titrer il y a deux ans : « Le côté obscur de Davos : un repaire de prostitution et de prédateurs ».
Nous, on tire la chasse, côté pile, comme côté face !
Librement inspiré de @Kompromat et @AdinadeSouzy
Y aller peut être utile, simplement pour s’informer de ce qu’ils préparent. Il faut juste mettre le masque de camouflage !