Google tente une deuxième fois de stocker des dossiers médicaux personnels. La société a exploré l’idée pour la première fois en 2008, mais l’a abandonnée en 2012 parce qu’une adoption généralisée n’était pas possible à l’époque.
Selon Stat News, Google travaille sur un outil de dossiers médicaux similaire à l’application Health Records d’Apple. Le géant de la technologie espère recruter environ 300 utilisateurs d’Android à Chicago, Atlanta et dans le nord de la Californie pour tester son programme d’accès anticipé, l’objectif étant d’explorer la façon dont les utilisateurs aimeraient consulter, organiser et partager leurs dossiers médicaux.
Google a tenté pour la première fois de créer une application de dossiers médicaux en 2008, lorsqu’il a lancé Google Health. Cette application était censée aider les gens à accéder à leur dossier médical en ligne. Toutefois, le projet n’a pas abouti et a été arrêté en 2008.
“Nous n’avons pas trouvé le moyen de traduire cette utilisation limitée en une adoption généralisée dans les routines de santé quotidiennes de millions de personnes”, a écrit la société dans un billet de blog en 2011.
Les experts avaient un certain nombre de théories sur l’échec de Google Health. Certains ont dit qu’il a échoué parce que Google n’a pas démontré aux gens qu’on pouvait lui faire confiance pour les dossiers médicaux (de la même manière qu’il n’a pas montré qu’on pouvait lui faire confiance pour beaucoup de choses).
D’autres ont dit qu’il a échoué parce que, à l’époque, peu de gens étaient intéressés par l’accès à leurs données de santé en ligne. D’autres encore ont déclaré que la société n’avait pas suffisamment investi dans le secteur de l’informatique de santé.
Selon Stat News, cette fois, le timing pourrait jouer en faveur de Google. Une règle fédérale de blocage des informations a été récemment introduite, qui permet aux patients d’accéder à leurs dossiers médicaux par le biais d’applications de santé. De plus, les applications de santé, telles que l’application Health d’Apple, ont été largement adoptées, ce qui signifie que les gens sont plus habitués à gérer leur santé au moyen de smartphones et d’autres appareils numériques. Merci la pandémie, la difficulté de consulter due aux confinements et à la psychose savamment entretenue par nos « élites » et nos médias.
L’application de dossiers médicaux de Google, qui en est encore à ses débuts, n’est disponible que pour les utilisateurs d’Android dont le fournisseur de dossiers médicaux est Epic. Dans une déclaration à Stat News, un porte-parole de Google a déclaré que l’entreprise “mettait en œuvre un programme de retour d’information pour tester les fonctionnalités qui donnent aux utilisateurs la possibilité de collecter des informations de santé à partir des portails de patients de leurs fournisseurs”.
Le porte-parole a ajouté que les données de santé collectées ne seraient pas vendues aux annonceurs ni utilisées pour les publicités Google. L’entreprise cryptera les données et les stockera dans le cloud.
On ne peut bien sur que faire confiance à Google et son éthique… Nous qui sommes déjà spammés de publicités en rapport avec nos goûts ou recherches internet effectuées à longueur de journée.
Le géant de la technologie travaille également sur une application de dossiers médicaux pour les praticiens, appelée programme Care Studio. Elle offrira aux praticiens un moyen plus facile de rechercher et d’accéder aux dossiers des patients. Parmi les autres efforts déployés dans le secteur de la santé figurent Nest Hub, un logiciel de suivi du sommeil, et une application de recherche qui permet aux utilisateurs d’Android de participer à des études médicales.
Selon Bob Wachter, le chef du département de médecine de l’Université de Californie à San Francisco, Google “fait des progrès” dans le secteur des dossiers médicaux grand public.
“Cela ne m’a pas épaté”, a déclaré M. Wachter, qui aide Google dans ses programmes de dossiers médicaux. “Mais je pense qu’ils le font d’une manière réfléchie, mesurée et mature”.
De la même manière que Google fait tout le reste ? En censurant les contenus déviant ou dissident sur la tyrannie sanitaire – ou autre – et en offrant une plateforme à tout ce qui est progressiste, anti-nature voir ouvertement anti-blancs comme BLM ?
Le piège de la tyrannie techno-sanitaire se referme sur nous, jours après jours un peu plus, et ce avec l’accord des masses médusés ; il appartient aux révolutionnaires d’aujourd’hui et de demain de rester sur leurs gardes, d’informer au maximum, de protéger leurs proches, leur cercle, et d’éviter les pièges de ces lendemains qui ne chanteront plus jamais.
Source : reclaimthenet.org